Je consate avec effarement le manque de discernement, sinon l’aveuglement, de certains (MPM, BOF,...) à se limiter au simple juridique.
Bien sûr qu’une dette doit être remboursé mais, j’insiste, dans des proportions qui ne frisse pas l’indécence.
Maintenant qu’on justifie les fonds vautours, moi j’ai du mal à comprendre ! faut-il que je me fasse faire une ablation du coeur ou de la moitié du cerveau ?
Cela fait pas longtemps que je suis sur AV mais je remarque que tu as toujours quelques commentaires nauséeux et haineux à faire quelque soit le sujet. Il n’y a que de la crasse, de la bétise et aucun arguments... minable !
Question à Fred : Un patron assez bête pour embaucher un incompétent et ne pas s’en rendre compte pendant la période d’essai ne mérite-t-il pas son sort ?
Concernant l’article, je pense qu’il ne faut pas voir le CTU comme la panacée. Avant tout, les problèmes sont les suivants :
- La représentation syndicale qui ne représente qu’elle même. Quand on voit la CGT qui refuse tout et la CFDT qui accepte tout, cela pose un problème dans la négociation !
- Il faut protéger les employés et non les emplois. Si une personne doit partir de son emploi (volontaire ou non), elle ne doit pas tomber dans la précarité et pouvoir entreprendre un projet (formation, création d’entreprise, etc...) avec l’aide de l’état et non être assisté.
- Enfin, mettre en place un vrai système de suivi de parcours professionnel lorsque l’on quitte son emploi. Le système en place, je parle de l’ANPE, ne sert qu’à pointer les chômeurs en les laissant totalement à l’abandon et en les culpabilisant.
Le CTU, à mon avis, ne réglera rien si il n’y a pas une refonte du système d’aide à l’emploi qui reste une machine à assistanat.
Au final nos politiques et nos industriels se méfieraient au point d’être obligé de devenir « ethique » (je mets entre guillemets car c’est vraiment un gros mot pour eux )