Je trouve cet article bien curieux quand l’auteur prétend vouloir, je cite :
« ... j’ai envie de lire une presse alternative où le politiquement correct et l’idéologie ne sont plus de mise ... »
Donc, « arrêt sur image » était dans le moule et était à la botte du politique.
Et, concernant le titre :
« La suspension de l’émission Arrêt sur image : premier signe d’ouverture de France Télévision ? »
Ouverture vers les programmes édulcorés et insipide à la TF1 ? OUverture vers le léchage de botte du pouvoir ?
c’est quoi la réponse ?
Autre élément curieux :
« En effet, cette émission avait pour objectif d’analyser et de critiquer la télévision. Mais ces analyses étaient-elles réellement objectives ou étaient-elles orientée politiquement ? N’oublions pas que M. Schneidermann n’a jamais caché ses orientations. »
En effet, M. Schneidermann n’a jamais caché ses orientations. Mais, à ce que je sache, ni ElKabach, ni Ockrent...
De plus, vous critiquez une émission sans propablement l’avoir vue. Avez-vous vu l’émission parlant de N. Sarkozy lorsqu’il s’était rendu dans les cités et vu sur aucune autre chaine, non j’en doute. Et lorsqu’ils parlent des réelles bourdes de S. Royale, pas celles qu’on a vu sur les autres chaines, j’en doute encore moins que vous ayez vu au moins une seule émission.
J’en rajoute une couche :
« Il est évident alors que le public de droite ne trouvait pas son compte dans les analyses partisanes produites lors de cette émission. »
Cela démontre de plus l’ineptie de votre texte et le fait que le bouton de télécommande sur la 5 n’a jamais été enfoncé.
Ensuite vous citez la phrase de Philippe Vilamitjana « Daniel Schneidermann n’a pas le monopole du décryptage ». Il a raison sur ce qu’il dit, même Schneidermann est d’accord. Par contre il a tord sur la forme, car il n’existe aucune émission sur le service publique ou privé, d’ailleurs, ayant le même sens critique. On supprime la seule émission, qui soit « alternative où le politiquement correct et l’idéologie ne sont plus de mise » et vous croyez qu’il y aura quoi à la place ? à part une information sans saveurs et conciliante !
D’ailleurs cet article ne méritait même pas que j’y réponde !
En effet il est de plus en plus difficile de se loger mais, ce qui est encore plus dramatique, c’est les conditions d’acquisition en location d’un logement. La situation est telle, que j’ai déjà vu des propriétaires demandés une caution parentale pour une personne avec un emploi stable et d’autres, bien que cela soit illégal, des attestations sociales.
Ayant une fonction professionnelle très spécifiques, je suis obligé d’être mobile au niveau national. Et, si je perds mon emploi, je devrais aller dans une autre région. Donc, comment présenter les trois feuilles de payes si je n’ai pas encore commencé ?
Je suis d’accord avec un commentaire plus haut concernant les locataires peu scrupuleux, le défaut de payement devrait être sanctionné rapidement. C’est un petit nombre de locataire qui font du tort à la majorité et qui rendent frileux les propriétaires. Libre au locataire de demander des réparations devant un tribunal si l’expulsion est non justifié.
Les restaurateurs ont fait un tintamarre pour la TVA à 5,5 % en disant qu’ils pourront embaucher des salariés avec de meilleures conditions de travail et mieux payé et, cerise sur le gâteau, réduire le prix à la carte. La TVA à 5,5% a été refusée par Bruxelle mais, notre ancien président dans sa grande bonté, leurs a donné la contrepartie en exonération et dons divers. Au final, après quelques années : Pas plus d’embauches, les salaires toujours aussi bas avec des conditions de travail identique et, enfin, une carte qui a augmenté de 20%.
La suppression des charges patronales sera considéré comme un effet d’aubaine pour les entreprises et les actionnaires. De plus, il ne faut pas oublier qu’il y a parfois de nombreux intermédiaires qui sont au % sur CA HT, qui ne sont pas tous salariés et, ce qui est légitme, voudrons garder leurs niveaux de vie.
Maintenant imaginons que l’on vive dans un pays où tout le monde joue le jeu et répercute la baisse des charges patronales sur les prix. Dans ce cas, l’inertie sera tel qu’il faudrait au plusieurs mois pour que la répercussion se fasse sur les prix et, donc, une inflation qui peut entraîner une baisse de la consommation, néfaste pour l’économie.
N’aurait-il pas été normal d’abaisser la charge patronnale, par exemple, à hauteur de 5% du salaire brut et diminuer de 5 % la charge salariale afin d’augmenter le Net perçu par le salarié. L’augmentation de la TVA serait perçue moins négativement vue qu’elle serait précédée d’une augmentation à peu près proportionnelle. A la rigueur, on pourrait déplacer la charge patronale, je parle des 5 % patronal, sur les bénéfices nets qui ne seraient pas réinvestis (pauvres actionnaires...).
Voilà, si j’ai tort n’hésitez pas à me le dire et avec des arguments autres que ceux de MPM...