Mon avis perso est que le plus simple est que tout le monde renage en maillot, ça coupera les polémiques. Par contre pour les équipementiers, adieu la gloire !
Pour ce qui est des records, il suffit de faire comme pour le record de l’heure cycliste où il a été créé une deuxième catégorie « vélo libre » qui englobe les records de Francesco Moser à Chris Boardman ; le record « officiel » ayant été réattribué à l’époque (battu depuis) à Merckx.
Pour préciser, une revue à comité de lecture n’est pas un titre de presse qui publie ce qu’on lui donne à publier ou ce qu’il a envie de publier :
Les équipes scientifiques lui envoient leur article qui est relu par un comité éditorial composé de scientifiques du domaine concerné. Ce comité peut ensuite accepter ou refuser l’article et il peut aussi demander des corrections ou des précisions.
Selon cette définition, pas plus Le Monde que Biofutur ou Science & Vie ne sont des revues scientifiques.
Je le redis, ce processus garantit l’honneteté intellectuelle des travaux publiés.
Le rapport du giec est un peu rédigé selon le même processus : voir un commentaire un peu plus bas qui explique la procédure !
Sans rentrer dans le débat sur le réchauffement climatique, une précision d’importance :
Le GIEC ne démontre rien et n’émet aucune théorie, le rôle du GIEC est de faire la synthèse de tout les articles et travaux scientifiques paraissant dans des revues à comité de lecture et qui concernent le changement climatique.
Cette méthodologie ne garantit pas l’exactitude de ce qui y est écrit mais valide ’l’honnetetté" des travaux quant à la méthodologie, aux sources et aux conclusions.
Si les outils, les courbes et les modèles utilisés dans le rapport changent, cela traduit simplement ce qui se passe au sein de la communauté scientifique
Les deux mécanismes mentionnés dans mon commentaire ne peuvent agir en même temps sur le prix du baril :
S’il y un goulet d’étranglement au niveau du raffinage alors c’est le prix des produits raffinés qui doit augmenter et pas celui du brut puisque, dans ce cas, la demande de brut par les raffineries est inférieure à l’offre de pétrole des producteurs.