Cet article est un tissus de banalités qui n’apporte strictement rien au débat et qui est écrit par un gugus qui parle de ce qu’il ne connais pas.
la pertinence politique ne s’évalue pas en misant sur la génération de celui qui exprime les idées qu’il partage avec ceux qui l’ont élu pour porter leur parole.
Désolé mais je ne suis pas sûr que prétendre voter pour tout ce qui est différent des 2 grands partis de droite et de gauche simplement au titre du « y en a marre » ou du « tous pourris » : soit à la hauteur des enjeux.
Seule compte la constitution d’une majorité présidentielle à l’Assemblée Nationale.
Car ce n’est pas seulement pour un parti ou une personne que l’on vote, mais pour une alliance politique qui est d’accord sur un compromis lui permettant de gouverner pendant 5 ans.
JL Mélenchon avec une majorité de droite : il fait quoi de ses promesses ?
M. Le Pen avec un majorité de gauche : elle fait quoi de ses promesses ?
J’exagère à peine, mais c’est simplement pour dire qu’on ne gouverne pas qu’avec des symboles, on gouverne aussi avec des marges de manœuvres permises par une entente préalable donnant les moyens de gouverner dans la durée.
Alors qu’on nous dise comment ces 2 là prennent le leadership des rounds de négociations pour qu’ils soient tranquilles à l’AN. Le reste c’est du vent.
La phobie affichée du PG pour un leadership PS sous l’emprise
du dieu Soc Dem DSK, est non seulement un mauvaise tactique de nature à
contredire le discours sur l’aspect mortifère de la personnalisation des
institutions, mais pire encore : c’est une mauvais service rendu à ses
électeurs en leur faisant croire que les camarades de Mélenchon seraient en
capacité de se devancer une candidature PS.
Nos camarades du PG devraient plutôt se mobiliser pour une bataille des urnes autrement plus importante que les présidentielles, je veux parler
des législatives qui les suivront immédiatement. Car c’est en prenant des voix
à la droite et en attirant les abstentionnistes de gauche que le PG et le PCF
augmenteront leur présence à l’assemblée nationale, afin de faire pencher la politique du président socialistes
le plus à gauche possible.
Si c’est un social-démocrate qui prend la présidence de la
république en 2012 (Hollande, DSK ou un de ses amis), pourquoi la gauche du PS
ne serait-elle en mesure de lui imposer une cohabitation (avec
pourquoi pas JLM comme 1er ministre) ?
Là où l’auteur à raison, c’est qu’on est bel et bien
tributaire des choix éditoriaux scandaleusement partiaux, qui écartent volontairement tout ce qui n’est pas adoubé
par les sondages pour être en position gagnante. Il est anormal que soient ignorés
des représentants du PCF, du PG, du NPA, du Modem.
Comme d’habitude, ce discours larmoyant sur une prétendue « indécence » des Verts, vient des partisans de la droite libérale ou fasciste qui ne s’assume pas en tant que telle.
Qu’on se le dise : tout est politique ; y compris les problèmes d’environnement.
Démasquons ces « sans étiquette » et autres « apolitiques », qui n’osent plus défendre l’emblème flétri de l’UMP.
Lors des prochaines élections cantonales, les électeurs qui auront le courage de se déplacer pour voter, le feront pour sanctionner massivement ce pouvoir UMP qui ne sait plus à quel saint se vouer depuis la déchéance de son chef suprême.
La droite cherche à éviter la confrontation démocratique sur un terrain nettement défavorable pour elle ; elle croit s’en tirer en dénonçant piteusement ce qu’elle appelle de la « récupération » politique, eh bien elle va en avoir une indigestion.
Avec la gauche unie, tous aux urnes les 20 et 27 Mars, pour précipiter la chute d’une droite que l’on a que trop vue.
morice a écrit : « Johnny Winter, ah ah ah : il est inécoutable désormais, son son a trop vieilli et sa technique était trop frustre. »
Navré, mais nous ne parlons pas de la même chose.
D’une part, je ne suis pas certain que ton jugement de valeur sur le vieillissement d’un tel artiste, soit de nature à remettre en cause son incomparable contribution (tu vénères pourtant Peter Green, qui est devenu méconnaissable pour les raisons que tu connais).
Et d’autre part, sans parler de son érudition dans l’art d’appliquer des plans de blues les plus variées, la virtuosité de Johnny Winter est en tout points extra-ordinaire, notamment par ses capacités à jouer des tempos ultra rapides avec un rare foisonnement d’idées ; ce qui n’a d’équivalent que chez des consurrents aussi doués (ex : Ronnie earl, Melivin Taylor, Robben Ford, + et encore) ou bien chez les Jazzmen bluesy (ex : John Scofield, Larry Carlton, Mike Stern, Pat Metheny, George Benson, + et encore).
Face à de telles confrontations : tu vois bien que Gary Moore est loin de prétendre à un tel niveau de performances.