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  • mojo mojo 21 février 2011 23:27

    Bravo pour cet article.

    Le fan de blues rock que je suis, qui a biberonné au « British Blues Boom », ne peut qu’être impressionné devant un travail musicologique aussi approfondi.

    Il n’en reste pas moins que je ne suis pas un adepte de Gary Moore, qui à mon humble opinion ne tient pas la comparaison avec son légendaire ainé : Peter Green ; que je place au sommet des « Guitar Heroes » des 70’ (oui, devant : Clapton, Beck, Page), notamment pour sa créativité mélodique et pour l’incomparable finesse de son toucher.

    Malheureusement, si l’on se tourne de l’autre côté de l’atlantique, Gary Moore, qui reste un excellent guitariste capable de dynamiser n’importe quel standard, ne parvient quand même pas à se hisser au niveau des tueurs sudistes que sont ; Johnny Winter, Duane Allman, Roy Buchanan.

    Il en va de même si on le confronte par exemple à Buddy Whittington, comme le montre la vidéo cité dans ton article, où Gary Moore est un peu « plan plan », là où le guitariste de Mayall donne la preuve qu’il est de la trempe des « Guitar Heroe », car il fait preuve d’un registre technique plus étendu et de d’un style réellement original.



  • mojo mojo 12 février 2011 10:44

    Une fois de plus, Sarkozy utilise un fait divers tragique pour flatter ses électeurs les plus intolérants en leur disant ce qu’ils veulent entendre, à savoir que les juges seraient complices du « présumé coupables » (comme il dit) qui ont tort d’invoquer un manque de moyens pour appliquer l’inflation de lois mal rédigées ; lesquelles sont pourtant vendues au peuple comme autant de réponses à son intense émotion.

    Pour ce président qui n’a aucune envie de se confronter à une complexité qui le dépasse complètement, l’explication est simple.

    Sarkozy sait mieux que quiconque qu’il n’atteindra pas les objectifs sécuritaires qu’il a sur-vendu. Alors, comme tous les bons démagogues, il se rabat sur le « sentiment d’insécurité » qu’il a décidé de combattre avec des mots qui eux, permettent toutes les surenchères sans obligations de résultats.

    On voit bien que derrière ces questions soulevées à dessein par une droite sérieusement menacées par le FN, se profile l’argumentaire de l’automaticité des peines et de la transformation d’une justice indépendante en une justice auxiliaire de police.

    La présomption d’innocence, le doute profitant à l’accusé, l’individualisation des peines, les garanties de conformité au règles du droit et de l’égalité de tous devant la loi : tout cela est devenu insupportable pour ce gouvernement pré-dictatorial.

    C’est ainsi que Sarkozy en profite pour désigner à la vindicte publique ceux là même qui ont la mission de faire apparaître la vérité et de faire appliquer les sanctions prévues par la loi. Ça en devient maladif de la part d’un président qui considère que la sécurité est sa chasse gardée, terrain sur lequel il ne veut en aucun cas rendre compte de ses échecs, préférant caricaturer le rôle de la justice en la considérant comme un contre pouvoir abusant de son indépendance.



  • mojo mojo 5 janvier 2011 12:12

    Le problème de l’auteur, c’est pas ce que dit Valls, mais le fait qu’il ait l’étiquette d’un parti qui a l’outrecuidance de ne pas se ranger à son positionnement idéologique, consistant à supprimer la durée légale de 35h avec les avantages sociaux auxquels les Français sont pourtant massivement attachés.

    Dans la funeste déclaration de Valls sur la remise en cause des 35h, il y a d’une part le sujet de fond sur la pertinence du progrès social (que l’on soit en période de crise ou non), et d’autre part ce qui relève du positionnement politique qu’il sous tend. A ce titre je me demande comment Manuel Valls compte faire face à ses ambitions personnelles s’il commence par se mettre à dos ses principaux alliés de gauche.

    L’auteur de cet article (tout comme Valls) se trompe de postulat, étant donné que les 35h ont pour objectif de créer plus d’emplois. Les détourner de leur sens en affectant de croire qu’en les supprimant ça peut contribuer à l’augmentation des salaires : c’est une erreur économique, doublé d’un foutage de gueule envers les électeurs de ce monsieur Valls et de ses nouveaux copains de l’UMP.

    Si on veut débattre sérieusement des 35h en se demandant s’il ne faut pas les supprimer, alors il faut nous en dire un peu plus :

    - Est-ce que la droite n’a déjà pas été trop loin en démantelant les 35h et le code du travail ?

    - Est-ce que le coût que l’on donne des 35h est à ce point significatif qu’on aurait pas d’autre choix que de songer à les remettre en cause ?

    - Est-ce que l’augmentation du temps de travail est si importante que cela pour la compétitivité de nos travailleurs ?

    - Est-ce que les 35h ne correspondent pas à une aspiration légitime en terme de progrès social ?

    - Est-ce que les 35 h sont un bon moyen (parmi d’autres) pour la création d’emplois ?

    Jusqu’à présent, aucun des thuriféraires des 35h n’osent répondre sérieusement à toutes ces questions. Ils préfèrent l’argument massue : « on est en crise, donc on a pas d’autre choix que de demander des sacrifices supplémentaires (toujours aux mêmes) ».

    A ceux qui n’ont pas les moyens de maitriser leur destin, on leur demande doc de travailler plus tout en gagnant moins. Et bien sûr, on leur fait la leçon sur fait qu’ils auraient tort de se plaindre, vu la « chance » qu’il ont d’avoir un job ; ceux qui n’en ont pas ou qui sont en situation précaire, il va de soit qu’on est censé les ignorer.



  • mojo mojo 19 décembre 2010 20:55

    Avec cet article totalement dénué de convictions politiques, nous avons là le parfait exemple de l’aveuglement dont est capable un supporter de la camarade Royal.

    Je sens que ce genre de diatribes défaitistes vont pulluler chez ce genre d’individus.

    Incapables de concevoir le combat politique autrement qu’au travers de l’illusion médiatique des enjeux de personnes, il se vautrent dans leur posture de victimes en s’imaginant seuls contre tous.

    On se demande vraiment s’ils ont envie de gagner en prenant ainsi acte de la saleté du marigot politique, eux qui n’ont de cesse de nous prévenir à l’avance qu’ils sont incapable de livrer un combat qui n’est pas fait pour eux.

     



  • mojo mojo 12 décembre 2010 11:19

    Le vote blanc ne peut pas être comptabilisé comme une vote exprimé, car son but est exactement le contraire, à savoir une vote neutre de non expressions d’une décision sur une choix démocratique.

    De plus, l’idée saugrenue de cette association à but prétendument « non politique », est comme par hasard immédiatement récupérée par des petits blancs tout heureux de satisfaire leur fantasmes (en s’imaginent que le « vote blanc » correspond à leur droit à l’intolérance), et pourrait booster un vote FN poursuivant parait il les mêmes buts.

    Qu’ils aillent se faire foutre.

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