En tout cas ils donnent de bon coeur, lorsque tu les voient se ramener avec une dizaine de truites et qu’ils insistent pour que tu en mange toi et tout ceux qui sont présent, ça n’a pas l’air de tellement les tarauder l’inflation du vers de terre.
Chasser pour le plaisir ? Exclusivement, je ne crois pas non. J’ai des amis qui sont d’ailleurs d’extrême gauche et qui chasse et pêche pour le plaisir, oui en partie, mais aussi pour manger presque gratuitement, donc il y a bien encore des contraintes monétaires derrières ces pratiques. Le problème est plus complexe que vous ne le pensez et j’ai bien plus de respect pour eux qui mangent une nourriture saine que pour toutes ces personnes qui mangent de la nourriture empoisonnée issue de l’élevage, qui n’a jamais connue la lumière du jour et dont l’espèce est amener à la dégénérescence par l’appétit humain.
De plus lorsque vous vous serez fait coursez une seule fois par des sangliers et que vous aurez dû pour cela sacrifier un malheureux champ de maïs, re-venez nous dire que les sangliers sont sans dangers, qu’ont à pas besoin de les réguler etc. Les 20 sangliers qui ont dû être abattus en plein centre-ville de Chambéry était assurément là pour faire du tourisme... Ne vous trompez pas de combat ! La chasse c’est marginal et ci c’est intelligemment réglementé ce n’est pas nocif : pour la nature comme pour les hommes. Proposez ce que vous avez à proposez, mais l’interdire ? Je pense que ça revient à supprimer une espèce de la chaîne alimentaire : l’homme, reste à savoir si ce serait réellement un bien... J’ai comme un doute.
Je ne pense pas puisqu’il est ici question de l’impôt annuel. Si l’on vend un bien il est logique d’en tirer les bénéfices car sinon ce serait de la vente à perte, de plus si j’ai tord il aurait été extrêmement facile de contourner la loi concernant ce cas précis : suffit que l’entreprise soit au nom d’autres personnes soit de votre famille soit de vos associés. Ou encore de ré-investir avant que le prélèvement ne soit fait, c’est enfaîte tellement simple à contourner que je doute que cela s’applique sur ces cas spécifique.
Mais, si vous le voulez bien passons à l’essentiel :
Instructif en effet, mais sur le fait de faire des montagnes de peu de choses.
Voyons ces moyennes en question :
51 heures de travaille cumulé pour l’homme.
54 heures pour la femme.
53 heures de travail rémunéré
52 heures de travail domestique.
54+56 heures si vous dormez huit heures par jour+58 heures de loisir divers : 168.
51+56+61 = 168
En gros vous êtes en train de me dire que le féminisme ne sert à rien et qu’en 25 ans rien n’a changer et que si caricaturalement on en été resté au statut quo tout le monde s’en tirerait mieux niveau stress... J’ai du raté quelque chose, non ?
Parce-que si l’on suit le raisonnement il serait bénéfique de retourner en arrière on aurait une meilleure qualité de vie, moins de chômage et le coût de la vie baisserait pour compenser la diminution des revenus par foyer. De féministe tiéde je risquerait bien de passer à anti-feministe convaincu, merci Najat et l’INSEE. Encore une fois c’était de l’humour mais pas concernant l’analyse de ce que nous a potentiellement réellement apporter le féminisme... Tout ça pour dire que ça sent mauvais la manipulation et que je me méfie des conclusions qui seront tirer de tout cela.
Mais c’est tout à fait légitime de vouloir vendre une boîte et le FDG n’est pas contre, il est contre la délocalisation qui laisse derrière elle des terres en friches.
Il est contre les dérives de la mondialisation, il n’est pas contre le privé il est pour le national. Je trouve ça normal. On place le FDG à l’extrême, mais je pense qu’il tient beaucoup plus du centrisme que ceux qui se réclament l’être. J’ai l’intime conviction que le futur modèle économique dominant sera chinois et le FDG est le seul à avoir la lucidité de faire cohabiter capitalisme apatride et communisme nationaliste et à terme je pense que si l’on fait entrer en concurrence ces deux systèmes ce sera le système communiste nationaliste qui l’emportera. Voyez, même moi je me mets à trouver que la compétitivité ne manque finalement pas de vertus et avec un peu de chance elle enverra voir les marionnettistes ailleurs, concernant ce dernier point j’émet toutefois de grosses réserves, je dois l’avouer.