Reconnaître Holodomor comme étant un génocide supposerait une intention criminelle préalable. Or la démonstration n’est pas faite. L’accusation est à charge contre la seule URSS.
En dehors de faits documentés que des famines ont sévi en dehors de l’Ukraine pendant cette période comme aux États-Unis, ceux qui jugent cet événement « famine » [US, Canada, Union €uropéenne, ukrainiens,...] oublient (consciemment ou inconsciemment ?) de le contextualiser, comme de contextualiser leur propre part de responsabilité.
Tout ce succès aurait pu lui monter à la tête. Thierry Lhermitte est l’un de nos acteurs comiques (mais pas seulement) les plus connus. Il a même incarné un ministre des Affaires étrangères très inspiré de Dominique de Villepin dans Quai d’Orsay. Et pourtant, l’acteur, dans l’interview qu’il accorde à nos confrères, se montre admirablement banal. Pas fait pour l’école, constatant que ses trois enfants non plus, Thierry Lhermitte se révèle en père affectueux et attentif, livrant au passage une intéressante réflexion sur le système scolaire à la française :
« Je regrette aujourd’hui d’avoir été ce gamin qui ne s’intéressait à rien. Partout où j’étais, je voulais être ailleurs. Je ne savais pas où, mais juste ailleurs. Mes parents étaient désespérés. Il y a des milliers de gamins qui n’ont aucun intérêt pour les études et, tout à coup, deviennent excellents dans un domaine parce qu’ils y trouvent de l’intérêt. Ce fut mon cas. »
Eh oui, en France, c’est taille unique. Le lit de Procuste de l’Éducation nationale formate des citoyens mais ne rend pas les enfants heureux.
Du coup, pour ses enfants, c’est pareil : « Je dois avouer que les études ne sont pas vraiment leur truc non plus. Nous, les parents, commettons l’erreur d’espérer que nos enfants réussiront là où on a échoué, mais c’est souvent une désillusion. J’ai fini par accepter qu’ils ne partagent pas mes ambitions pour eux. L’important, c’est qu’ils soient heureux. »
D’abord ce n’est pas « La France qui veut... » mais le petit ministre Attal sorti de l’école Alsacienne
En plus qu’il s’y prend mal, ce n’est pas quelques remontées de bretelles, quelques internats par-ci par-là qui changeront l’école de la république dont le destin actuel depuis de nombreuses années n’est que la conséquence de réformes politiques plus ou moins heureuses de prédécesseurs.
L’équation de la pédagogie est, a toujours été, qu’elle doit s’adapter au marché, à l’économie...
juste pour l’exemple, finis les cours de couture pour les filles, l’industrie textile s’est délocalisée en Asie