L’oeuvre de Momo sur Agoromo c’est comme l’alcool des drogués de la colle, y peut plus s’arrêter et ça devient flou dans le tube des analyses d’urines prises au cul du camion.
Bon, il était d’astreinte dans les cuisines, à la plonge quoi. Pour sauver l’humanité des dangers planqués dans le syphon. La nuit il écrivait des machins pour la presse à sensas mais tout c’qu’il y a de plus gratis, un peu comme la fête à neuneu mais le 31 juillet à Tourcoing la zone quoi autour la baraque à frites de nyouyork.
Momo c’est un homme un vrai qu’a vu la femme. C’est simple quand il en voit une sur le trottoir, il se souvient toujours de sa première fois quand il a ouvert le dico médical à la page qui manque arrachée par papa la pogne à Mandrak, et qu’il a arrêté là ses recherches de la planète môme et pépés girondes. Depuis il a tourné à l’aigre qui appelle le cornichon comme un effet du manque et du contrôle parental. Le contrôlé c’est lui. Il en a la tronche et la vocation intérieure.
Il faut dire qu’il a été violé dans l’enfance du dard, par un sextoy tout monté pendant ses loisirs en allumettes collées, selon la version officielle de la clinique Pastaga roulez-au-pas.
Dans le couloir des poubs post-opératoires avec sélection écolo des déchets, ses parents ont vachement trinqué et soufflé, y pensaient qu’il devenait pyromane comme son cousin l’Pyralène ex pompier.
Et dans le sud de Tourcoing ça pardonne pas le feu d’brousailles entre les fesses, ça attise la vengeance des cloportes fumants du silencieux.