Y en a qui écrivent pour ne rien dire, des autres qui écrivent pour ne pas être lus, et encore d’autres qui écrivent comme le hamster inconscient galope dans sa roue, et d’autres qui font les quatre. Mais on les connaîtra jamais, manquerait plus qu’ils soient connus pour nous faire chier en plus à la ville.
J’suis sûr qu’c’est les mêmes qui écrivent la nuit les factures postées aux pauvres qui savent pas lire.
Pendant ses premières vacances aux States, un gus a dit à Momo comment on dit "Je t’aime " en amerloque. Après il s’est ramassé des fabriques de râteaux sur toute la 5ème avenue des gonzesses quand il leur disait "I wanna have a coca-cola !" sur un ton salasse de Roméo de la lose.
Il a pas encore fini de payer les intérêts de la caution pour libérer le pervers. C’est pour ça que le Momo bosse au black pour les journaux laxatifs.
Momo a été conçu pendant un épisode lessivier des Shadoks. Tu sais celui que Catherine Langeais a coupé avec un interlude du petit train des rébus qui disait : " On-la-pelle-rat-mo-mo-oua-va-tard ? "
Porter plainte contre Avatar c’est comme remuer dans la réprobation lascive des magistrats qui reniflent le turban jusqu’à l’autre rive de la Seine. C’est dire si le pont en jette des Avatars par dessus les bords.
Au tribunal des tartiflettes du lardon, on l’appelle le condamné d’avance qui joue la montre quand le train de la guillotine entre en gare Saint-Lazare. Poussez-pas...
Sur le marché aux esclaves de Tombouctou à un €, y a la photo d’Avatar sur tous les modes d’emploi des boîtes à suppo. Pour montrer par l’image et par l’exemple qu’il faut bien serrer les fesses après usage et intromission.