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Olivier Rimmel

Olivier Rimmel

Presque 25 ans d'expérience managériale, dirigeant de société depuis l'âge de 18 ans. Etudes scientifiques mêlées à l'école de la vie. MBA à Colombia University New York.
Présence et expériences fortes en Europe, aux USA en Asie et surtout au Moyen-Orient.

Innovation et Technologies. Spécialiste en Business Development, Business Management et Stratégies de Développement dans tous les domaines technologiques. Senior Consultant. Fin connaisseur du monde arabo-musulman et de la transversalité Occident vs Moyen-Orient. Mes mots clés, "vision", "anticipation", "créativité", "réalisme", "objectivité", "pragmatisme".

Analyses prospectives et anticipation dans les domaines stratégiques politiques, économiques, sociologiques, scientifiques, sécuritaires, et technologiques.

Tableau de bord

  • Premier article le 20/03/2006
  • Modérateur depuis le 06/12/2006
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Derniers commentaires



  • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 23 avril 2012 17:44

    Ceux qui m’ont critiqué et injurié dans les commentaires pourraient peut-être s’excuser en message privé au moins ? smiley


    Je plaisante, pas utile. Je n’en veux à personne.

    À bientôt pour d’autres analyses.


  • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 9 avril 2012 11:01

    Je comprends les espoirs de tous ces gens qui souhaitent absolument une vie meilleure après les élections présidentielles, en espérant faire le bon choix.


    Hélas, la réalité, l’objectivité la plus cruelle l’emportera sur l’utopie délicieuse.


    Vous devez tous garder à l’esprit, à tout moment que :


    - Seul un seul des 10 candidats va être le prochain président


    - Seuls trois candidats sont en situation objective, réaliste et mathématique d’être éligibles, il s’agit de Sarkozy, Hollande et Le Pen


    - Sarkozy est à 23% (officiel), Hollande quasiment pareil, Le Pen est à 17% (officiel, et deux fois au dessus de la statistique habituelle à la même période), mais il y a 30% d’abstention dans les sondages, et on sait qu’une grande partie de l’abstention est en réalité un vote Le Pen qu’on n’ose pas dévoiler, une partie des sondés abstentionnistes ira certes chez Mélenchon, mais rien n’est sûr, car personne n’a peur de dire qu’il vote pour Mélenchon aujourd’hui déjà, alors que Le Pen c’est impossible de le dire, ça reste un choix secret qu’on ne dévoile jamais, ce qui pourrait faire sortir Le Pen à plus de 30%, ce qui correspond par ailleurs à la moyenne de plusieurs douzaines de sondages indépendants sur l’internet à plus de 3000 votants, dont des sondages réalisés par des applications sur smartphone, qui empêchent les votes multiples avec un même terminal (très fiable donc !)


    - En aucun cas Mélenchon n’a la moindre chance d’être élu (si il passe au deuxième tour, c’est en éliminant Hollande, mais par vase communiquant, il ne dépassera pas 20%, quand Sarkozy sera alors à 22%, Hollande à 15% et Le Pen à... +25%), ni même d’être éligible au deuxième tour


    Par conséquent, tout ce qui découle d’une probable élection de Mélenchon est invalidé, et tout le blabla qui est fait à partir de l’espoir de voir Mélenchon élu c’est du temps perdu qu’on ne consacre pas à autre chose, notamment à mieux appréhender les conséquences des programmes des 3 autres éligibles.


    Mélenchon, et c’est très triste pour ces millions de gens qui voient en lui le révolutionnaire qui va changer leur petite existence, n’est qu’un outil supplémentaire pour tenter de canaliser les pauvres gens (dans le sens « désabusé »), du plus simple ouvrier ou chômeur jusqu’au patron d’entreprise qui cherche à tout prix à sauver son entreprise convaincu que ça se fera quand les gens, ses clients, seront plus heureux dans leur vie (et il a raison) vers Hollande, car Mélenchon sait évidemment, et il l’a dit, qu’il roule pour Hollande


    Donc rien du programme communiste de Mélenchon ne verra le jour, ni les salaires à 1700€ pour tout le monde, ni le « travailler moins pour gagner plus, universellement mes frères » qui est la résumé grossier du programme du FdG.


    Trois choix sont possibles à partir de mai 2012 pour la France. Voilà la réalité.


    Avec Sarkozy, les gens qui peuvent gagner plus, vont maintenir ou améliorer leur train de vie, mais dans l’ensemble tout le monde va gagner moins, et moins vite. Les forces vives du pays seront moins pressées de partir, ce qui maintiendra le pays dans un niveau haut (bien qu’il est bas). On continuera à se faire manger de l’extérieur, mais ça se passera lentement. À court terme, les choses vont s’emballer, on n’arrivera plus à suivre tous les changements, la plupart des gens auront juste le sentiment qu’ils ne peuvent plus lutter et tout le monde devra suivre le mouvement, baissier. À long terme, on aura une France composée de pauvres à 80%, les moutons tondus, et de riches à 20%, ceux qui tondent. Les moutons ne se révolteront pas. On fera moins de place aux assistés, même les plus nécessiteux, la vie sera plus dure pour les moins chanceux.


    Avec Hollande, les gens vont avoir le sentiment d’être moins pressurés, mais c’est un leurre, tout continuera à glisser doucement, même si on se fera manger de l’extérieur beaucoup plus rapidement, et même de l’intérieur. À court terme, les gens « qui se découvrent de gauche » seront ravis, les gens de droite auront très peur, ils sont généralement plus objectifs et pragmatiques, et ont des visions plus réalistes. À long terme, on aura une France composée de pauvres et d’assistés à 80%, et de riches à 20%, ceux qui assurent l’assistance. Personne ne se révoltera. Les riches paieront le prix de leur tranquillité. Les pauvres et les assistés seront… pauvres, mais assistés.


    Avec Le Pen, les protections du pays et de son peuple vont se mettre en œuvre contre les agressions extérieures et intérieures (économiques et sociales), et probablement qu’à court terme davantage de gens vont sentir ces protections et voir les effets positifs sur leur quotidien immédiat et direct, car objectivement, si les mesures de Le Pen sont mises en oeuvre, il y aura nécessairement des effets immédiats (ou assez rapides dirons nous) positifs sur les individus, sur les entreprises, et sur l’État. À long terme, toute la question est de savoir comment le gouvernement Le Pen parviendra à se mesurer à ses partenaires européens et globaux (certains seront adversaires), qui n’auront pas tous le même niveau de protection sur le plan national, et qui pourraient ne pas apprécier la nouvelle direction prise par la France. Des tensions inévitables envers les illégaux sur le territoire, ou les immigrés (non nationalisés ou précaires) seront douloureuses à traiter, surtout si ils sont plusieurs millions comme l’anticipe Le Pen depuis des années.


    Des trois projets, le plus couillu et le plus audacieux, transversal, jamais tenté, est celui de Le Pen, les deux autres ne feront que s’aligner dans la continuité de ce que nous connaissons déjà depuis 30 ans, avec la réussite que nous pouvons observer tous les jours.


    Si après m’avoir lu, légitimement vous me répliquez « mais non, c’est court de voir seulement ces trois seules options qui nous seraient offertes, il faut croire en Mélenchon, en Bayrou, en Joly, pourquoi pas en Poutou », je rétorque au risque de me répéter que je comprends les enthousiasmes, je comprends les espoirs des masses de gens, mais je rappelle la cruelle réalité, seuls trois candidats sont objectivement en position de gagner le poste de Président de la République. C’est Sarkozy, c’est Hollande, ou c’est Le Pen.


    Et puis, la France, ce n’est pas n’importe quel pays, c’est le pays qui doit ouvrir la voie de la réconciliation internationale, une autre voie, un autre modèle économique et humaniste, la voie des peuples libérés, la véritable voie démocratique, celle où le peuple gouverne sur son territoire par la sagesse, la vérité, l’honnêteté, avec clairvoyance, justice et respect.


    La France doit montrer au Monde un autre chemin, comme elle l’a déjà fait dans l’Histoire, en inspirant et non en ne contraignant.



  • Olivier Rimmel Olivier RIMMEL 6 mars 2009 16:11

     Je n’ai pas du tout la même analyse que l’auteur.

    Dubaï est "impactée" par la crise globale, c’est vrai, c’est un peu visible (ville fantôme en apparence)
    mais Dubaï à terme sera un des rares endroits au monde où il y aura encore un peu de business, de paix, de bien être, avec une qualité de vie qu’il sera absolument IMPOSSIBLE de trouver ailleurs.

    Et j’aime bien rappeler que les ouvriers pakistanais, indiens, afghans, iraniens, philipinos sont traités relativement correctement (logés, avec télé, nourriture, médecin, internet partagé) et sont payés bien souvent quatre fois plus que dans leur pays d’origine, où de toute manière ils n’auraient pas trouvé un travail.

    En ayant beaucoup parlé avec ces gens ces 5 dernières années, j’ai tellement souvent posé cette question "mais mon dieu, vous ne faites que travailler ? vous n’aimez pas faire la fête ? voir un film au cinéma ? boire un verre dans un bar ? avoir une vie un peu sympa ?" j’ai toujours eu la même réponse "oh non pas du tout ça nous intéresse pas du tout, nous ce qu’on veut, c’est faire de l’argent quelques années, envoyer les trois quarts à notre famille au pays, construire notre maison, payer les études de nos enfants, etc. Ces gens ont choisi de venir travailler dur dans le désert, ils n’ont pas été envoyés dans le désert par des mafias locales. Et le ministère du travail veille de plus en plus à ce que tout ça soit bien organisé et légalement, car ils savent que tous les médias mondiaux sont braqués sur ça.

    J’ai toujours été dépité par ces réponses, j’ai jamais pu forcer quelqu’un à sortir dans un club d’un grand hôtel, sauf une fois, mais le type n’a pas vraiment aimé je voulais qu’il voit comment les occidentaux s’amusaient, c’était pas son truc du tout, on peut pas les forcer. Ils font quelques centaines d’euros par mois de revenus, dans leur pays où on peut se nourir avec 2$ par jour, ça leur permet de nourir 6 personnes pendant un mois, de se payer une pétrolette pour se déplacer, des poules, et de construire peu à peu leur demeure.

    Ce qui m’a rendu dingue, c’est que souvent, ils me disent qu’ils ont pas une, mais deux femmes à combler au pays. Avec le même revenu.

    Et ils y arrivent, avec leurs standards de vie, qui ne sont bien sûr pas les nôtres, et qu’on peut difficilement leur imposer.

    Nous les occidentaux, on est incapable de comprendre ça. Et on va beaucoup critiquer, par contre.
    En attendant, c’est pas nous qui les faisons bouffer tous les jours.

    Si vous voulez des nouvelles fraîches que vous n’apprendrez pas avant 2 ou 3 ans en France, sachez que désormais, ces ouvriers pour la plupart ne vivent plus dans des barraques en tole dans le désert, mais dans une vraie banlieue "propre" de Dubaï, dans des batiments rénovés ou neufs spécialement fabriqués pour les travailleurs, avec de plus grands espaces, et les plus grosses sociétés locales ont désormais une politique de "rapprochement familial", un ouvrir bien noté aura le droit de faire venir vivre sa famille, enfants, à Dubaï, les moeurs évoluent.



  • Olivier Rimmel Olivier RIMMEL 10 novembre 2008 15:48

     Vous avez omis une autre option de sortie.


    - déclaration de faillite pure et simple de l’État, annulation des dettes auprès des prêteurs (banques)


    - changement radical de système, avec comme ligne de base : INTERDICTION AUX ÉTATS D’EMPRUNTER AUX BANQUES PRIVÉES (à inscrire dans la constituion) c’est à dire à peu près l’inverse d’aujourd’hui (puisque aujourd’hui, la règle c’est OBLIGATION AUX ÉTATS D’EMPRUNTER AUX BANQUES PRIVÉES.


    - changement radical également du côté de la production des liquidités : ce ne seront plus les banques qui produiront les liquidités, mais les états

     smiley amusant tout ça n’est-ce pas ?



  • Olivier Rimmel Olivier RIMMEL 1er octobre 2008 01:33

     Merci pour votre question.

    Permettez-moi de préciser que je ne fais pas de rapport direct, même indirect, entre la crise financière actuelle, telle que nous la vivons, et telle qu’on nous la présente, et "l’enrichissement" de certains des pays du Golfe (terme que je n’aime pas beaucoup, mais qui correspond pourtant bien à la réalité).

    J’amène simplement une idée qui va faire son chemin, volontairement sans apporter une solution, parce que cette solution est en train de se construire.

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