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Olivier Rimmel

Olivier Rimmel

Presque 25 ans d'expérience managériale, dirigeant de société depuis l'âge de 18 ans. Etudes scientifiques mêlées à l'école de la vie. MBA à Colombia University New York.
Présence et expériences fortes en Europe, aux USA en Asie et surtout au Moyen-Orient.

Innovation et Technologies. Spécialiste en Business Development, Business Management et Stratégies de Développement dans tous les domaines technologiques. Senior Consultant. Fin connaisseur du monde arabo-musulman et de la transversalité Occident vs Moyen-Orient. Mes mots clés, "vision", "anticipation", "créativité", "réalisme", "objectivité", "pragmatisme".

Analyses prospectives et anticipation dans les domaines stratégiques politiques, économiques, sociologiques, scientifiques, sécuritaires, et technologiques.

Tableau de bord

  • Premier article le 20/03/2006
  • Modérateur depuis le 06/12/2006
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Derniers commentaires



  • Olivier Rimmel Olivier RIMMEL 22 septembre 2008 10:00

     Bonjour et merci, les rachats de position se sont exécutés essentiellement (en "panique", en catastrophe, à la dernière minute, le jour même) sur les valeurs affectées par les décisions des régulateurs de marchés, donc les titres des sociétés financières et des assurances, mais pas seulement. En effet, l’annonce d’interdiction de VAD est tellement spectaculaire et tellement inattendue, et peut avoir des conséquences tellement importantes sur les sociétés boursières, et sur les traders, que ça a affecté des titres en dehors du périmètre des sociétés financières et des assurances. Du coup, beaucoup de traders se sont donné le mot à propos de l’interdiction de VAD pensant que ça allait être étendu potentiellement à tout le marché, et donc on racheté des positions baissières partout où ils étaient "en VAD". En outre, les systèmes informatiques ont été reprogrammés à la hâte (les systèmes qui vendent, et qui achètent automatiquement) et donc ça a eu un impact également.

    Pourquoi ils ont rachetés leurs positions sur les paris à la baisse ? Parce que d’une part les autorités boursières mettaient en application leur nouvelle règle dès ce lundi matin (sous peine de poursuites, aux conséquences judiciaires, financières, et légales) et que ça n’est pas bon, à partir de ce matin, de faire de la VAD sur les marchés financiers, c’est devenu très mal vu (alors que jeudi encore, c’était la règle de base de la spéculation financière MONDIALE).



  • Olivier Rimmel Olivier RIMMEL 9 juillet 2008 11:50

    Le vrai taux de marge en moyenne restauration est de l’ordre de 55 à 70% brut.
    Ce taux de marge est en baisse, c’est à dire qu’il ne se stablise pas, ni n’augmente, il baisse, continuellement (les charges augmentent plus vite que les gains).

    Le problème, n’est pas tant la marge, mais de savoir si la marge dégagée dans une activité de restauration moyenne suffit à assumer les charges dans l’activité.

    Et c’est là que ça pose un problème : ce n’est plus le cas, ce qui pousse de plus en plus de restaurateurs à pratiquer la defiscalisation (se payer au "black" et payer le staff partiellement au "black", voir les fournisseurs).

    Un patron restaurateur aujourd’hui ne parvient à pas à la fois

    - à se fournir en nourriture de haute qualité, ce qui serait la moindre des choses pour un restaurant

    - à s’entourrer d’un staff de qualité payé dignement (c’est à dire bien au delà du smic et à temps plein)

    - à vivre dignement de son exploitation (c’est à dire à générer un salaire fiscalisable d’au moins 4000 euros par mois brut) pour 220 à 300 heures de travail par mois

    - à faire face aux échéances lourdes, loyer, remboursement de l’investissement souvent lourd, charges sociales et patronales, et autres aléas de leur quotidien d’entrepreneur.

    Concrêtement, aujourd’hui les restaurateurs, malgré les marges qu’ils réalisent, sont très "serrés", ont du mal à faire face à leurs échéances, voient la fréquentation de leurs établissement baisser, les coûts et charges monter, les employés démotivés, et ne parviennent pas à générer bien souvent des salaires fiscalisables bruts supérieurs à 2000 euros par mois.

    La marge supplémentaire lée à la baisse de la TVA sur leurs notes aux clients va donc leur permettre de mieux faire face financièrement, leur stratégie n’étant absolument pas la baisse des prix pour le consommateur.



  • Olivier Rimmel Olivier RIMMEL 30 juin 2008 14:33

    LEAP 2020 vous voulez dire ?
    pour les initiés. un think tank incontournable.



  • Olivier Rimmel Olivier RIMMEL 8 mars 2008 00:19

     1/10000 aujourd’hui...

    ...mais 1/100000 hier...

    ...et demain, 1/1000...



  • Olivier Rimmel Olivier RIMMEL 7 mars 2008 13:09

     Je ne partage par ce point de vue, mais je sais que l’idée est répandue.

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