Considérations pécuniaires mises à part, l’obsession éminemment sécuritaire du fichage généralisé émane d’une longue tradition de volonté de quadrillage de ce qui est de moins en moins considéré comme le peuple, de plus en plus comme un « cheptel » citoyen (qui a parlé de traçabilité ?). L’avis d’un expert, Mathieu Rigouste : http://www.algeria-watch.org/fr/article/div/livres/rigouste_introduction.htm