Qu’attends donc le Front de « gauche » de monsieur Mélenchon pour proposer d’abroger les statuts de la fonction publique, lesquels font apparaitre une discrimination intolérable, clairement assimilable à la proposition du Front national d’établir une préférence nationale ?!
La peur de perdre la majeur partie de son lectorat composé pour l’essentiel des bataillons de la fonction publique, et de faire ainsi moins de 2% aux prochaines élections, ce qui serait sûr et certain dans ces conditions ?
Pourtant c’est vous qui sous-entendez que ce statut serait discriminatoire et par conséquent condamnable, du fait précisément qu’il introduit une différenciation entre les citoyens de ce pays, vis à vis de tous les autres. Aller au bout de votre logique de « modernité » cher monsieur, ubuesque, mais craigniez que vous n’y allé bien seul !
Il a bruissé depuis quelques jours dans le microcosme politico-médiatique, le petit cénacle du parisianisme mondain à la solde des intérêts de la ploutocratie, que la sophiste Lapix (nous saurons bientôt grâce à l’article d’OU parle cette belle personne) aurait mis KO, dit-on, MLP sur son programme économique, notamment en ce qui concerne l’une de ses nombreuses mesures qui s’inscrivent dans un projet financé et d’une extrême cohérence, lui-même rompant avec 30 années de libéralisme délétère (et dont nous pouvons constater chaque jours les effets désastreux), et qui consiste à rehausser les petits salaires (jusqu’à 1,4 fois le Smic) de 200€, ces derniers seraient intégralement pris en charge par l’Etat - et non par les entreprises (surtout PME/PMI, premiers employeurs de France) pour ne pas les impacter et ruiner un peu peu qu’elle ne l’est déjà notre compétitivité globale. Ainsi donc j’invite chaudement chacun à lire cet article remarquablement exhaustif qui déconstruit avec maestria la vulgate de la classe dominante au pouvoir, et de son porte-voix servile Lapix, comme également la vidéo entretien avec Florian Philippot qui détaille très précisément le chiffrage et le financement des mesures préconisées : http://www.prechi-precha.fr/2012/01/21/clash-anne-sophie-lapixmarine-le-pen-le-journalisme-en-nuisette-au-service-de-la-caste-video/#more-4521
Il a bruissé depuis quelques jours dans le microcosme politico-médiatique, le petit cénacle du parisianisme mondain à la solde des intérêts de la ploutocratie, que la sophiste Lapix (nous saurons bientôt grâce à l’article d’OU parle cette belle personne) aurait mis KO, dit-on, MLP sur son programme économique, notamment en ce qui concerne l’une de ses nombreuses mesures qui s’inscrivent dans un projet financé et d’une extrême cohérence, lui-même rompant avec 30 années de libéralisme délétère (et dont nous pouvons constater chaque jours les effets désastreux), et qui consiste à rehausser les petits salaires (jusqu’à 1,4 fois le Smic) de 200€, ces derniers seraient intégralement pris en charge par l’Etat - et non par les entreprises (surtout PME/PMI, premiers employeurs de France) pour ne pas les impacter et ruiner un peu peu qu’elle ne l’est déjà notre compétitivité globale.
Ce qui est assimilable de facto à une relance par la demande de type keynésien. On peut comprendre dans ces conditions de manipulation tout azimut en vue de préserver les intérêts des possédants et dont le discours inégalitaire néolibérale sert d’alibi sinon de légitimation, on peut comprendre donc ils tout intérêts à tenter de disqualifier un programme politique qui remettrait en cause leurs prébendes et privilèges parfaitement indus. Ainsi donc j’invite chaudement chacun à lire cet article remarquablement exhaustif qui déconstruit avec maestria la vulgate de la classe dominante au pouvoir, et de son porte-voix servile Lapix, comme également la vidéo entretien avec Florian Philippot qui détaille très précisément le chiffrage et le financement des mesures préconisées : http://www.prechi-precha.fr/2012/01/21/clash-anne-sophie-lapixmarine-le-pen-le-journalisme-en-nuisette-au-service-de-la-caste-video/#more-4521
En effet un Etat ne fait pas faillite, un Etat fait DEFAUT sur sa dette, ce qui est tout autre chose. Ce qui à le mérite de rétablir la compréhension que l’on peut avoir du rapport de force qui oppose in fine le créancier à son débiteur, et spécifiquement dans la situation où le débiteur se trouve être une entité politique étatique.
Ce que n’arrive manifestement pas à réaliser l’auteur de cet article, c’est déjà d’être capable de s’extraire d’un schéma de pensée (certes dominant mais erroné) qui ne peut simplement pas avoir cours en ce qui concerne les Etats. C’est le premier point.
Secondement vous avez tout à fait raison de nommer « désinformation » le fait qui consisterait de rappeler la spirale d’un endettement devenu endémique car structurel, sans mettre en corrélation absolue le fait pour l’Etat français d’avoir abandonné depuis 1973 l’outil régalien de création monétaire sous la houlette du président Pompidou, ancien DG de la banque Rothschild !
Enfin et surtout, l’article échoue à démontrer les raisons fondamentales qui ont occasionné depuis plus de trente ans (soit depuis l’ouverture de nos économies à la mondialisation néolibérale), parmi les états occidentaux - tous sans exceptions et indépendamment de leurs modèles socio-économiques respectifs et différents (pour faire court : l’Irlande au même titre que la Grèce) - qu’ils soient entrés dans la spirale d’un endettement chronique qu’ils ne réussiront objectivement pas à surpasser.
De ce dernier point de vue, il n’y a donc pas de spécificité. Il y a en revanche une tendance lourde généralisée à l’ensemble des nations occidentales.