Définition du gauchisme : mouvement de pensée dont les membres, revendiqués ou non, sont généralement des individus gagnant moins de 3000€ par mois (souvent beaucoup moins) mais qui typiquement adoptent des postures intellectuelles, idéologiques et morales : sur l’immigration, les frontières, l’Union européenne, l’Euro, le protectionnisme, la politique étrangère, la mondialisation, l’antiracisme, l’autorité, le féminisme, le gender etc.., qui sont celles qui servent exclusivement les intérêts de ceux qui en gagnent mille fois plus.
En cela ce mouvement de pensée est intrinsèquement bien-pensant et politiquement correct, ce faisant une des composantes majeures de l’idéologie dominante, et constitué essentiellement d’alliés objectifs de la ploutocratie cosmopolite transnationale, c’est à dire in fine d’éternels idiots utiles.
Il faut en effet être le dernier des dingos ou un suppôt du malin pour souhaiter un conflit ouvert entre deux puissances nucléaires. Ce discours pue la mort.
« On a surtout pas le choix, la dernière fois que Chirac a dit non aux Américains on s’est pris des sanctions économiques dans la figure. »
Poutine - et derrière lui l’ô combien estimable et courageux peuple russe - ont démontré que des sanctions internationales aussi ubuesques et inamicales soient-elles, n’avaient aucun effet sur la volonté d’indépendance et d’autonomie de ces grands peuple et dirigeant.
La France est une puissance nucléaire, auto-suffisante sur le plan alimentaire, capable de nouer des partenariats avancés avec des pays non-alignés dont au premier chef la Russie, en mesure d’assurer son avitaillement énergétique en cas de nécéssités. Il faut juste avoir la volonté de résister et d’être libre, mais pour cela encore faut-il avoir quelques couilles.
Le problème fondamental est qu’une majorité du peuple français en est dorénavant dépourvue, depuis l’intense campagne et de démoralisation, de culpabilisation, de brimades morales et intellectuelles, et d’anti-patriotisme qu’elle a eu à subir depuis les années 70, orchestrée par toutes les forces coalisées de l’anti-France.
Maintenant si la fatalité devait servir de leitmotiv à ne plus pouvoir agir sur les événements, politiquement s’entend, alors il n’y aurait plus qu’à tirer l’échelle.
La Nation n’a pas besoin de moi pour se génocider : dans cinquante ans les Français de souche européenne seront mis en minorité du fait de l’invasion migratoire planifiée par nos dirigeants, avec l’assentiment d’une majorité du peuple. Ce jour-là, ils sont morts. Ou convertis.
Et cela, c’est cette majorité du peuple même qui en est le responsable. C’est la définition même du suicide. Quand cela touche un peuple, c’est au auto-ethnocide.