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Panzerfaust

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  • Jacques 18 avril 2008 10:47
    Toujours les mêmes reflexes conditionnés en France. Un industriel propose quelque chose : haro ce salopard qui veut faire du fric (quelle révélation !). Le pharmacien lui est un héro rempart contre l’odieux profiteur.
     
    Faut arrêter, la santé n’a pas de prix mais elle a un cout : certaines professions aux revenus stratosphériques doivent saigner. Si (dans le respect de la santé publique) Leclerc peut faire baisser certains couts, il faut en profiter.
     
    Un peu de concurrence dans d’autres professions médicales (médecins, dentistes, spécialistes) serait aussi bienvenue. Mais la aussi tout le monde préfère renouer avec la bonne vieille tradition française (suppots de l’économie de marché = salopards, seul le peuple est vertueux) et s’indigner des profits scandaleux de l’industrie pharmaceutique.

     



  • Jacques 8 avril 2008 16:19
    Intéressant et pour moi une conclusion s’impose ; message aux jeune diplômés : fuyez les métiers de l’informatique ou trop en rapport avec l’IT.
     
    Aujourd’hui ce secteur est auréolé High Tech, demain grâce aux réseaux de plus en plus performants, il sera un champ de massacre de l’emploi, théâtre privilégié de délocalisations massives et d’économies d’échelles.

     



  • Jacques 7 avril 2008 15:22
    « Il faut arrêter d’imaginer que supprimer un poste public signifie licencier quelqu’un. »
     
    Je suis très sceptique quant à la possibilité de réformer le service public, tant qu’on continuera de tourner autour du pot.
     
    Certains emplois dans le public ne sont-ils pas tout simplement redondants et dans ce cas il serait logique de les supprimer (comme par exemple les départements) ? N’est ce pas le nœud du problème ? Le licenciement dans le service public reste une vache sacrée en France : même Sarkozy prend des pincettes, lorsque cette question arrive sur le tapis : les gouvernements sont encore toujours tétanisés par le pouvoir de nuisance des salariées du public. Cependant seul le ‘dégraissage des mammouths’ permettrait des économies significatives.
     
    Pour le reste, imaginer transférer des activités de service public vers le privé pour diminuer les couts, susciterait tout aussi immanquablement une levée de boucliers. En effet les fonctionnaires concernés savent qu’ils ont à l’ère de la mondialisation infiniment plus à perdre que du simple pouvoir d’achat.
     
    En tout cas merci, pour votre article courageux, qui sera sans doute peu apprécié ici.

     



  • Jacques 4 avril 2008 10:18

    … doivent inclure des “vraies” suppressions de postes (pas seulement des non-remplacements) : cela implique de lancer pour de bon le chantier de redéfinition des missions de la fonction publique, pour mettre fin à l’hémorragie. Du courage sera nécessaire, c’est le moins que l’on puisse dire !

     
    Vous vous arrêtez lorsque ca devenait intéressant !
     
    Ce fameux ‘chantier de redéfinition des missions de la fonction publique’ pourrait-il envisager du bout des lèvres et en ménageant les susceptibilités en tournant autour du pot et en enrobant ca dans un terme incompréhensible mettre fin à la sacro-sainte garantie de l’emploi dans la fonction publique ? Une telle remise en cause reléguerait la chute du mur de Berlin au rang d’anecdote de l’histoire.
     
    Pour l’instant sauf faute gravissime l’entreprise France ne peut pas licencier. On est obligé lorsqu’on veut adapter les effectifs de ne pas remplacer les départs en retraite. Ce qui rend comme vous le soulignez toute modification dans la fonction publique non significative.
     
    Malheureusement Sarkozy, bien qu’il ait une quelques initiatives courageuses comme la suppression des régimes spéciaux de retraite, ne semblent pas envisager de ‘dégraisser les mammouths’. Qu’est ce qui pourrait bien faire bouger les choses En France ? Je ne suis pas sur que le courage politique suffirait pour s’attaquer aux privilègiés de la fonction publique.


  • Jacques 14 mars 2008 12:24
    S’en prendre aux fonctionnaires (enfin à leurs effectifs), c’est un véritable blasphème en France ou ils passent pour des martyrs. Curieux pays ou les contribuables (du moins ceux qui ne sont pas fonctionnaires) aiment bien se faire entuber !
    Existe-t-il des associations qui militent pour la suppression de leur statut (garantie de l’emploi, retraite avantageuse) ?

     

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