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Panzerfaust

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  • Jacques 15 juillet 2008 13:25

    Bof, les médecins ne sont pas les seuls à faire des doctorats, certaines spécialités scientifiques me semblent être tout aussi difficiles sinon bien plus que la médecine. Quant aux responsabilités : vous avez déjà essayé de poursuivre en justice un médecin ? Les émoluments des professions médicales me semblent relever du franc délire. S’ils continuent comme ca, bientôt seuls les médecins pourront encore se payer les services d’un médecin. Mais bon, si certains aiment se faire entuber chaque fois qu’ils vont chez le généraliste, spécialiste et autre dentiste, c’est leur problème.

    Une chose est certaine : il semble extrêmement difficile de ramener les tarifs médicaux à des niveaux un peu moins indécents. Peut-être qu’en ouvrant le robinet à diplômes en grand et en faisant payer directement au patient certains actes pour que la concurrence puisse jouer ?

    Le salaire n’est pas le seul aspect à considérer au moment de décider des études qu’on va faire. Aujourd’hui la sécurité de l’emploi est au moins aussi importante que le salaire. A quoi sert d’avoir un job bien payé lorsqu’on a la trentaine, si on se retrouve ensuite le tiers de son temps au chômage, voire définitivement lorsqu’on a dépassé la cinquantaine ?



  • Jacques 10 juillet 2008 13:56

    Sacrément gonflé : les fonctionnaires en boucs émissaires, alors que c’est exactement l’opposé : dès qu’on ose se permettre la moindre remise en cause de l’emploi dans le public (et non pas du service public, confusion que se plaisent à entretenir les salariés de l’état), on assiste aussitôt à une levée de boucliers massive. Ne renversez pas les rôles, les lieus communs sont du côté des gardiens du maintien à tout prix des emplois d’état et des fameux avantages acquis. Et blablabla le fonctionnaire fainéant, râleur, c’est toujours sur lui qu’on tape… Rien de tout cela dans mon propos, vous essayez de noyer le poisson.

    Ne rêvez pas, ce n’est pas uniquement en s’asseyant autour d’une table que le problème se résoudra : un remaniement de la fonction publique bouscule trop d’intérêts (environ 5 millions). À un moment ou à un autre, il faudra bien passer à l’affrontement pour faire passer des réformes douloureuses pour eux.

    En outre, personne n’a jamais affirmé que la seule suppression de postes dans la fonction publique, qu’on réglera le problème de la dette. Et alors ! Il n’en demeure pas moins que la fonction publique est un endroit où il est grand temps de bousculer les acquis pour contribuer au règlement du problème de la dette. Il y a bien entendu d’autres pistes : les entreprises d’état, les avantages en nature, les retraites avantageuses dans l’armée, les revenus stratosphériques de certains médecins (pour la sécu) sans oublier les émoluments du président pour faire plaisir aux populistes.

    Mais il faut aussi secouer les vieux reflexes ‘service public pas touche’ : il n’y a de vaches sacrées qu’en Inde. Faut-il vraiment une poste, jusque dans le bled le plus reculé ? La SNCF dans le giron de l’état, est ce vraiment préférable à une privatisation ? En tant qu’usager captif de longue date je n’en suis absolument pas satisfait (grèves endémiques, retards) ! Etc. Etc. la liste est longue et les conflits qui résulteraient de la remise en cause d’avantages acquis s’annoncent épiques.



  • Jacques 10 juillet 2008 08:32

    Enfin un article qui nous change des sempiternelles litanies populistes, anti-Sarkozy.
    Bien entendu, il faut oser s’attaquer réellement au bastion du fonctionnariat français : le gouvernement doit prendre ses responsabilités et crever l’abcès. Ca ne se fera clairement pas sans d’énormes difficultés : il faudra s’attendre à des grèves longues et massives. Le mot licenciement ne doit plus être un terme interdit, dans la fonction publique moins qu’ailleurs. Oui les économies potentielles sont gigantesques : 5 millions de fonctionnaires, 10 à 20% de licenciement, sans compter les tâches qui peuvent être confiées au privé.
    Il suffit d’oser et dans 5 ou 10 ans, le dégraissage des mammouths sera une évidence. Le seul étonnement qui subsistera, sera de savoir comment on a pu laisser un corporatisme aussi couteux subsister pendant tant de décennies.



  • Jacques 9 juillet 2008 08:01

    Heureusement que l’entreprise n’est pas dénationalisée, on n’arrêterait plus d’entendre parler des méfaits de la privatisation !



  • Jacques 8 juillet 2008 13:07

    Cette levée de bouclier de la gauche, comme il se doit indignée, a quelque chose de savoureux. Sarkozy a le don et surtout le culot d’appuyer là où ça fait mal et l’opposition outrée et vexée, une fois n’est pas coutume, marche comme une seule femme.

    Ceci dit s’il entend nous prouver par là que la France est enfin grâce à lui réformée, il pousse un peu. Ses réformes ont été jusqu’à présent marginales : les grèves de fonctionnaires et des salariées des entreprises d’état restent toujours aussi gênantes pour les usagers et pénalisantes pour l’économie.

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