PascalDemoriane

Ah la belle musique objet de tous les superlatifs vibrant... moins on y travaille pour en jouer un peu, plus on en parle pour n’en rien dire !
Bon ok, je vais encore me faire des amis... J’ai joué et accompagné du Schubert, j’ai rien à en dire d’autre que c’est beaucoup de travail et jamais acquis. Combien l’écoute partition en vue ? Le public devient musicalement illetré, bientôt analphabète.

@Clark Kent
A lire votre réaction j’espère que vous n’ayez pas eu à faire du droit pour autrui ni d’ailleurs des maths, ni finalement, à bien y réfléchir de la poésie, qui elle aussi est une affaire de nuance sérieuse.
Je retiens que vous nous avez déjà dit « qu’il faut appeler un chat un chat » ce qui, vous en conviendrez, est un approche de l’intellection humaine assez limitée.

Article catastrophique ! Pourquoi ? Parce que loin d’informer, il contamine.
On peut même dire que loin de prévenir ou d’informer, il propage.

Quelle est la technique élémentaire ? (j’ai appris çà en cour de psycho marketing, il y a fort longtemps)
on pose d’autorité un mot viral, une substantivation construite artificielle, ici « Le » sharenting, inconsciement perçu par le lecteur comme un fait sociologique avéré et d’actualité (alors que c’est complètement imaginaire), ce qui met ce lecteur en infériorité et en réceptivité passive, en dette informative.

Ensuite on fait mine de lui donner des conseils de distanciation critique, mais en réalité on sait d’avance que dans son cerveau, seul le mot viral aisé à mémorisé va rester comme un repère cognitif. Le lecteur va donc répéter autour de lui le mots-viral, pour sans le savoir, banaliser le comportement décrit, le message viral, pour finalement le faire intégrer dans les normes communes.
C’est une manip bien repertoriée.

L’auteur en est-il conscient ? J’espère, sinon c’est pire, c’est qu’il est déjà un propagateur contaminant manipulé.

Quand on annonce un néologisme en
- ing, précédé d’un article défini, en général, c’est qu’on vous prend pour un con. Mais bon, ici, çà passe crème, comme on dit !

@eddofr
Vous êtes gentil, mais aussi rêveur que M. Ayoli.
« Les moyens sont légions : amendes, taxes supplémentaires, boycott et pour les pire gel des avoirs et interdiction de commercer. »
Ah bon ! vous avez les moyens de faire cela ? l’embarras du choix ? Qu’est-ce qu’on fait dimanche prochain, nous aut’ prolos ? tiens, con, si on sanctionnait des multinationales entre le pastis et la pétanque ! oh oui, sympa !
Non mais je rêve à vous lire !
« multinationales (dont nous sommes clients, fournisseurs, salariés et parfois actionnaires) et les sanctionner chaque fois qu’elle se montrent excessivement « prédatrices » »
Vous rigolez ! la seule façon de les « sanctionner » c’est de renoncer massivement à leurs salaires de merde, à leurs prestations comme clients captifs, le reste, les boycotts, çà les fait rire ! c’est même elles qui les organisent !
Faut se réveiller !

@velosolex
« Le smarphone, est un miroir aux illusions déjà pour nous, mortel parfois pour nos gosses, à travers la pornographie et le harcèlement en ligne.. »

oui vous pointez là un fait majeur que j’ai observé il y a bien longtemps sur le sol africain / maghrébin populaire : la perception du féminisme occidental passe à 90 % dans les masses locales par la pornographie, belle réussite de la gauche sociétale, non ?
De quoi voir le problème de l’immigration sous un angle beaucoup plus dérangeant pour l’immigrationnisme bobo béat et le progressisme sociétaliste...