Asselineau avait dit, avant même l’élection de Tsipras, que strictement rien ne changerait dans la situation grecque. Pire, qu’il serait un larbin dévoué de la Troïka. Il y avait des signes qui ne pouvaient tromper personne, notamment lorsqu’il s’est rendu à Washington prendre ses consignes avant les élections. Ce qui prouve bien l’étroite complicité entre les USA et l’UE qui parlent décidément d’une seule voix : la voix américaine. Ne vous demandez plus qui pilote la Grèce et les autres Etats membres (l’Allemagne étant à mettre à part).
Il faut vraiment que la France sorte de ce piège à rats.
Portons François Asselineau au pouvoir le plus vite possible.
Notre homme providentiel, c’est lui.
Le seul en qui nous pouvons croire.
Le seul a être intègre. Le seul à se battre contre l’emprise de l’empire et à nous éveiller aux enjeux considérables que l’on nous cache.
Le seul à dire que l’UE est une volonté américaine en vue de notre annexion aux EU planifiée pour 2015 par le biais du marché unique transatlantique où ils nous imposeront : langue (c’est en bonne voie), culture (aussi), monnaie, politique, guerres, normes et réglementations économiques, industrielles...
Le seul à dire que nous sommes témoins de notre propre colonisation sans qu’aucun média vous le présente ainsi.
Le seul à dire que c’est la fin de notre pays si nous laissons faire.
Le seul à dire que l’Allemagne en n’a rien à faire de la France, que son véritable partenaire est les Etats-unis, que le couple franco-allemand est une duperie (une de plus).
La France est soluble dans l’UE. Nous assistons à sa fonte inexorable jusqu’à sa disparition complète. Tous les autres pays de l’UE le sont aussi (seules l’Angleterre et l’Allemagne auront un traîtement à part).
Voilà le but recherché et qui est en passe d’advenir.
Je ne sais pas pour vous, mais moi, si rien de capital ne se passe à court terme maintenant, tant le temps nous est compté, je crains d’être pris par des crises d’ angoisse de plus en plus fréquentes.
Alors après le réveil : les urnes ou la rue ? Les deux ?
Oui claquons la porte de l’UE, de l’OTAN, de l’Euro... et à jamais !
Le ton enjoué que l’auteur prend pour nous annoncer un non-événement est pathétique.
Comment peut-on aujourd’hui encore croire à ses salades ? Comment peut-on encore essayer de nous vendre un fédéralisme dont personne ne veut ? Comment peut-on encore vanter une institution de façade d’un grand-tout dictatorial imposé aux peuples européens qui est entrain de les faire crever ?
L’UE nous sera profitable seulement le jour de sa disparition. Espérons que ce jour arrive vite.