Les photos sont d’un magnifique et élégant noir & blanc. Ce qui l’est moins c’est la langue utilisée pour nous les faires découvrir. Quelle manie s’est emparée d’un certain nombre d’intervenants de vouloir nous imposer ce jargon, sous pretexte d’un prétendu enrichissement (celle là, fallait oser nous la faire) que seuls des ringards de mon espèce sont bien incapables d’apprécier. Utiliser la langue macdo pour parler d’art c’est comme préférer la bouffe industrielle à celle de la maison. La langue de l’empire, celle des maîtres vénérés. Il n’y a qu’un pas entre soumission et prostitution. Tu le franchis quand ?
Ah ! il est sûr qu’un boulot pénible pour les femmes est inaxacceptable. Par contre les hommes peuvent se crever à la tâche pour un salaire minable c’est tout de même plus égalitaire. Autant que leur plus grande force physique serve à quelque chose. Egalité certe, mais pourvu que les femmes n’en souffrent pas. Les hommes eux sont habitués et c’est normal. Hier, les féministes disaient déjà : Pire que la condition de vie des mineurs de fond, la condition de vie des femmes des mineurs de fonds qui restent à la maison avec les tâches à y accomplir et la crainte, l’angoisse du coup de grisou. On n’appréciera ! Déjà à l’époque les femmes donc se montraient plus vaillantes que les hommes en faisaient face plus courageusement à l’adversité.
De même aujourd’hui, si l’on trouve plus d’hommes à la rue, c’est parce qu’ils sont plus faibles et ne savent pas, comme les femmes, faire face aux situations difficiles. Ayant, elles, acquisent une plus grande résistance aux difficultés. Voir ci-dessus.
Je pense, mais Massaliote sera probablement d’un avis partisan contraire, que les femmes bénificient bien plus que les hommes, surtout si elles ont des enfants, de l’écoute et de l’aide de la société. Elles le savent bien d’ailleurs. Elles savent que la société ne peux laisser de femmes avec mômes dans la rue, c’est inhumain. Elles peuvent donc compter sur des structures et infrastructures qui leur viendra en aide. Les hommes n’ont rien de tel. Et ironie du sort, un bon nombre d’entre-eux s’y retrouvent (dans la rue) parce qu’ils ont justement perdu les leurs, d’enfants. Les femmes aidées en cela par la justice s’en sont chargées. Alors ils baissent les bras, oui, peut-être, certains allant même jusqu’au suicide (c’est lâche tout de même, non ?) plutôt que de faire face. Quelle manque de volonté. Et quand des hommes montent des associations de défense des pères et de la parternité, il y en a qui dise que ce n’est qu’un pretexte pour nuire aux femmes et revenir sur leurs acquis.
Et dernier petit mot au sujet de la contraception (c’est un peu hors-sujet, je suis la dérive), Je tiens à rappeler que c’est les femmes qui la maitrisent. Que les hommes n’ont plus aucun pouvoir décisionnel sur la question de la procréation. En voilà un déséquilibre flagrant qui mène à bien des drames. Les hommes n’ont aucun contre pouvoir et les femmes en abusent terriblement. Et contrairement à ce qui a été dit ici, c’est moins l’alcool qui est a l’origine des violences dans le couple, mais les séparations. Et le chantage aux enfants que les femelles (y en a qui parle de mâle ici, ça va bien ensemble) ne se privent pas de poser. Nous sommes dans une société matriarcale qui n’a pas encore dit son nom. Qu’importe elle est là. Je dirais que les choses se sont en fait complètement inversé en faveur des femmes, la société les plébiscitant, la société marchande aussi d’ailleurs. L’occident d’une façon générale est devenu une femme avec les dérives qui vont avec et qui fait bien évidemment le jeu du tout marchand. Ce sont les plus grandes consommatrices. Je consomme donc je suis, leur va parfaitement. Un billet un peu multidirectionnel pour répondre un peu à bien des commentaires lu à propos de cet article. Je prendrais la peine de développer chaque thème abordé dans ce commentaire avec des sources ultérieurement. Merci d’avoir pris la peine de lire.
Krokodilo, merci pour ce lien vers le site de Marianne.
Je me contente de faire un copier/coller de cet article. Il résume tout à fait ma pensée et ma colère. Alors pourquoi ne pas le mettre en lecture, ici, sur Agoravox, que tout le monde en profite ! Cela permettra peut-être à des « Asp Explorer » de réfléchir un peu. Ils ont tendance(probablement que cela est dû à un trop intensif usage du Globish) à ne plus savoir mener une réflexion. Un début de « décérébralisation ». Mais ça se soigne ! Lire le texte ci-dessous est le début du remède.
Le voici :
Pour Marc Favre d’Échallens, la déferlante de l’anglais d’aéroport, le globish, dans la publicité et la communication signe un échec culturel dû à une démission des élites. Oublier sa langue, n’est-ce pas s’oublier soi-même ?
Si le poisson pourrit par la tête, une nation, quant à elle, se perd en abandonnant sa langue. Mais cette liquidation linguistique, en France et aussi en Europe, n’est pas spontanée. Elle est voulue, programmée et souhaitée par une classe dirigeante qui ne se considère plus comme porteuse des espérances du peuple mais comme les bénéficiaires d’une idéologie mercantile. La cible première est la jeunesse, on vend l’anglais comme une friandise sucrée, sans modération, sans avertissement.
« Happy School » « Stars of School », « University », et autres « Right Way », voilà ce que l’on a proposé, à de rares exceptions près, à nos enfants. Nous avons assisté à l’occasion de la rentrée scolaire 2009 au déferlement du charabia anglo-américain sur les affiches publicitaires, sur les produits destinés à nos enfants, du blouson au cartable, en passant par les cahiers et les classeurs.
Affubler les élèves et les collégiens de slogans en anglais semblent devenir la préoccupation principale de certaines chaînes de magasins qui se vautrent dans le « tout en anglais ». Les enseignes commerciales « Carrefour market » ou « Simply market » en sont la triste illustration.
Sous couvert de mode et d’amusement, les enfants et les adolescents, proies sans défense, sont infiniment sensibles au matraquage continuel du tout en anglais des prédateurs commerciaux encouragés par les naufrageurs de l’indépendance française qui se pensent comme un petit rouage européen de la mondialisation anglophone.
Les grandes surfaces, éponges de l’air du temps, ne sont pas seules en cause. Le monde médiatique est aussi à la pointe de la déferlante anglolâtre destinée aux adolescents avec les « Miss VIP on Board » de M6 dans les trains TGV, les « Free Concerts » d’ARTE et les « Party at Home » de MCM, la chaîne musicale de Lagardère.
Cette intoxication linguistique est complémentaire à la volonté des pouvoirs publics de faire de l’anglais la seconde langue obligatoire en France. Le « plan d’urgence » que Nicolas Sarkozy a présenté le13 octobre 2009 pour l’apprentissage des langues étrangères au lycée en est sa mise en place pratique. Le but avoué par le Président est que « tous nos lycéens doivent devenir bilingues et pour certains, trilingues » et d’enseigner des matières dites « fondamentales » (sciences, histoire, éducation physique et sportive) dans une langue étrangère.
Le pluriel employé dans l’expression « apprentissage des langues étrangères » n’est qu’une rhétorique creuse, il ne s‘agit pas de développer l’enseignement DES langues mais d’une langue : l’anglais et un anglais d’aéroport pour reprendre la formulation de la commission Thélot de 2004. En outre l’utilisation des termes « bilingue » ou « trilingue » relève d’un abus de langage trompeur ou de la méconnaissance de la réalité du bilinguisme et de l’enseignement des langues. À moins que l’acception de « bilingue » soit celle en usage jusqu’au XVIIIe siècle et indiquée dans l’édition 1998 du dictionnaire historique de la langue française dirigée par Alain Rey (Le Robert) : « en deux langues », « fourbe, à la langue fourchue » et encore « ceux qui parlent autrement en particulier qu’en public » !
On ne conçoit bien, on ne travaille bien, on n’achète bien, on ne réfléchit bien qu’avec les mots de sa langue maternelle ; l’emploi forcé d’une langue est toujours cause de déclassement, d’asservissement moral, d’insécurité linguistique et de stress. Faire des Français des zombies décérébrés pour sociétés transnationales, gavés d’anglais, préparés à tous les renoncements par la pâtée médiatique quotidienne, sera le fruit âcre de la substitution de langue. Mais une main-d’œuvre docile qui dira « Yes Sir » aux maîtres du moment est le prix que nos élites sont disposées à faire payer au peuple pour qu’il parle la langue de la mondialisation, des « subprimes » et de la crise économique.
L’anéantissement des langues passe aussi par la destruction des symboles populaires comme le fait actuellement Citroën qui bascule sa communication commerciale en France à l’anglais de pacotille avec comme produit phare la marque DS qui signifie aujourd’hui « Distinctive Series » ! « Business center », « national key account manager » sont désormais en usage chez PSA PEUGEOT CITROEN sans oublier le « car policy » qui ne fait pas référence au fameux car de police de Citroën Type H ! L’abus d’anglais nuit à la santé mentale d’une nation qui perd ainsi ses repères, ses valeurs, sa résistance et sa cohésion sociale.
Non, il n’est pas temps de changer de langue comme nous enjoignent des publicités dans les transports en commun d’Île-de-France. On voit ce que le « Time to Move » de France Télécom donne comme résultat ! Veut-t-on en faire le mode de fonctionnement de la société française ? Qu’il est doux de ne plus penser le monde, de ne plus porter le destin collectif de son peuple et de renoncer à être un acteur pensent nos élites mondialisées, ces « profiteurs d’abandon et ces débrouillards de la décadence » comme les appelait le Général de Gaulle. Terminus tout le monde descend ! On veut bien être un « people » mais pas du peuple qui ne parle pas la novlangue ! Se débarrasser de sa langue, c’est trahir son destin collectif et renoncer à une représentation particulière du monde. Il est temps aux Français de s’unir pour s’opposer à ce nouveau totalitarisme qui commence comme une comptine… en anglais et se termine en un « Apocalypse Now » des langues. Liquider sa langue, c’est brader son avenir !
Les salaires des femmes restent inférieurs à travail égal dis-tu ? ça reste à démontrer. De quelles femmes parle t-on ? Certainement pas de celles qui travaillent dans la fonction public et les administrations. Les grilles et barêmes salariaux étant les mêmes pour tout le monde. Et elles sont bougrement nombreuses dans ce domaine. Très majoritaires. De plus les chiffres avancés sont des plus farfelus. Pêle-mêle, on parle d’une différence de salaire (et ça ne peut concerner que le secteur privé, nous sommes d’accord), de : (accrochons-nous bien ! relevés dans la presse, télés, radios) : 17%, 25%, 11%, 27%, 23%, et je garde le meilleur pour la fin : près de 30%. Excusez du peu ! Ça manque singulièrement d’approche scientifique, non ? Je me questionne sur la méthodologie employée. A la vue de ces chiffres loufoques, on ne peut que penser qu’ils ne reposent sur rien de bien tangible. C’est du grand n’importe quoi.
Quant à la représentation inférieure des femmes au parlement, et plus largement en politique, il n’est le plus souvent qu’à attribuer au moindre intérêt qu’elles ont pour la chose politique. Pour les listes « chabada », il a fallu aller les chercher, souvent parmi les proches, sœurs, filles, épouses, copines…, leur dérouler le tapis rouge, leur dire qu’elles étaient indispensables (ça marche beaucoup à la flatterie et elles aiment ça) pour qu’elles grossissent les rangs. Il fallait répondre à la loi obtenu par les féministes et votée sans sourcillé. Ils ont été jusqu’à modifier la constitution pour ça. Ce n’est pas rien. Créant ainsi un clivage des sexes sans précédent et amenant par propagation, la parité sur tout les terrains, devenue un reflexe comptable : Le 50/50. Du pur ratio, du chiffre, du quotas, de la discrimination… La parité est un dogme, une doctrine. Elle s’est substitué à l’égalité qui elle, est sur un tout autre terrrain, celui du respect de l’individu. La parité est donc pour moi, purement anti-démocratique puisqu’elle repose sur la division, « les communautés ». On ne répare pas de prétendues injustices par de prétendues discrimination-positives. Le mot positif me fait hurler.
Ce qui m’amène au sujet de cet article. Tout aussi anti-démocratique est la position infâme de cette fâmme. Sous couvert d’une plus grande représentation des fâmmes (la parité), elle exclut les hommes. Qui dans sa bouche n’en sont plus puisqu’ils deviennent des mâles et ne sont même plus sujets mais des choses. C’est d’un mépris absolument consternant que rien ne peut justifier. Certainement pas la plus grande représentation de son sexe, qui, ne l’oublions pas, a créé « les chiennes de garde » pour dénoncer les abus langagers des hommes et qui se permet aujourd’hui de commettre ces même abus pourtant dénoncés. La morale ne peut fonctionner à sens unique. Sinon c’est du foutage de gueule.
Elle tombe, cette Anne machin, sous le coup de loi par sa politique de recrutement. Recrutement qui doit être fait sans discrimination de sexe, de race… Elle devrait être démise de ses fonctions. Purement et simplement. Si les nanas sont si promptes à donner du ’macho’ à tire larigot, nous ferions pas mal, nous autres, de donner dans ’la vaginocrate’.