zerech c’est le grain à la source, mais au sens de grain de feu, verbe employé surtout pour le lever du soleil au sens de brûlant (zerech ha-chamach).
pas d’accord sur le reste, du fait que c’est au moins trois siècles avant le texte d’esther que l’aphrodite guerrière prédomine encore (style « vénus en armes » de sparte), à l’époque d’esther, aphrodite est désormais bien cantonnée au guilis et autres acrobaties moelleuses.
étonné que mon raisonnement sur le nom esther soit confirmé en talmud.
mais sur hadassa il vous faut être prudent, car la myrte, si elle est plante de mort, et renvoie à ishtar (par exemple présence de la myrte au décès d’Adonis, possibilité de lien entre hadassa et « a’adassa » en arabe ou la lentille, encore un élément qu’on retrouve dans des situations de pertes sérieuses, ne serait-ce que le légendaire « plat de lentilles »), cette myrte qui se dit hadassa renvoie plus à perséphone qu’à aphrodite, pourquoi ? à cause de la racine en clair : hadès, or esther est un texte tardif, et les grecs sont déjà passés par là.