• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Philippe Vassé

Philippe Vassé

Historien de formation initiale, humaniste attaché au savoir, libre penseur et laïque, je réside à Taïwan, au bord de l'Océan Pacifique et aux pieds de magnifiques montagnes.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/05/2007
  • Modérateur depuis le 26/06/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 107 1602 5286
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Philippe Vassé Philippe Vassé 5 juillet 2007 14:16

    Philippe,

    Si vous ne trouvez pas sur le Net les éléments sur l’ACCORD DE PRINCIPE, donc non encore formalisé à cette heure dans une structure déterminée, je vous invite à suivre le lien suivant pour votre information, en ligne sur le site du Taipei Times du 3 juillet 2007.

    http://www.taipeitimes.com/News/biz/archives/2007/07/03/2003367926

    De plus, je vous ai copié-collé l’article qui préparait le terrain, issu du Taipei Times du 26 juin 2007, page 10, rubrique : « World Business ».

    Vous le trouverez aussi en ligne sur le site du journal : www.taipeitimes.com/News, puis en cliquant sur l’édition du 26 juin 2007, puis en sélectionnant en haut à gauche le lien « World Business ».

    Espérant vous avoir apporté les sources officielles médiatiques demandées,

    Bien cordialement vôtre,

    ADB urges infrastructure investment `ABSOLUTELY CRITICAL’ : A senior Asian Development Bank official said Asia will need about US$3 trillion in physical infrastructure over the next 10 years to maintain growth

    AP, SINGAPORE Tuesday, Jun 26, 2007, Page 10

    Asia should use some of the US$3 trillion lying idle in foreign exchange coffers for sorely needed infrastructure projects that are crucial for the region’s development, a senior Asian Development Bank (ADB) official said yesterday.

    « Foreign exchange reserves have to be first of all used exactly as reserves — to protect your currency, » Rajat M. Nag told the Associated Press.

    « But beyond a level you have to make sure that those reserves are made best use of, » he said.

    The ADB has been talking to Asian governments about this issue, said Nag, the managing director general of the Manila-based development lending institution.

    The biggest reserves of about US$1.16 trillion are held by China. Japan has US$890 billion, Taiwan US$268 billion and India US$205 billion. Asian foreign exchange reserves account for 62 percent of the world’s reserves.

    Nag, who earlier attended a conference of the World Economic Forum on East Asia, said Asia will need about US$3 trillion in physical infrastructure — highways, power projects, drinking water projects, airports — over the next 10 years.

    Infrastructure investment remains low in most developing countries including India, which spends only about 4 percent of its gross domestic product on it compared to 9 percent in China.

    The ADB, which lends about US$7 billion to US$8 billion a year, cannot meet that shortfall in the demand where it is most needed — India, Vietnam, Indonesia and Pakistan.

    « You name it. Any of these countries that are growing, and growing very well, have a huge infrastructure deficit, » he said.

    Nag said foreign exchange reserves need not be used for « risky investments, but certainly in good solid infrastructure projects. »

    « It has to be done with due care and attention to the design of the project. But yes, one way for Asia to use its reserves more productively is in infrastructure in the region, » Nag said.

    Nag said infrastructure investments were « absolutely critical to continue the momentum of growth » in Asia, whose collective economy grew 8.3 percent last year — the highest in a decade.

    If this growth continues, only 2 percent of the region’s nearly 4 billion people would be living under US$1 a day compared with 18 percent now, Nag said.

    But if the development does not reach the poor people, the poverty rate would be 10 percent, Nag said.

    « Elimination of poverty in Asia is not preordained. There has to be growth and there has to be inclusive growth, » he said, adding that rising income disparity is the biggest challenge facing the region.

    « There are two faces of Asia. One which is growing very well and you see it in the glitzy towers in Singapore or Mumbai or Jakarta ; and the other Asia which is falling behind. Those two faces have to converge, » Nag said.



  • Philippe Vassé Philippe Vassé 5 juillet 2007 12:19

    Nicolas,

    Votre commentaire est intéressant, mais je crains que vous ne confondiez, comme un autre commentateur, problèmes politiques entre le pouvoir central et certains groupes (ethniques ou religieux) et...conflits ethniques.

    Pour l’heure, que je sache, il n’existe pas de « conflit ethnique » en Chine ! Ce serait plus le cas en Thaïlande.....

    Le pouvoir central, certes, évoque des menaces « séparatistes » ici ou là, pour tenter de faire diversion aux menaces et tensions sociales, afin de justifier précisément ses actes de répression qui obéissent à des buts strictement politiques.

    Quant aux Ouïghours, je ne dispose pas d’informations fiables pour me prononcer sur ce que vous affirmez- notamment leurs « revendications avivées »- mais j’observe que, s’ils sont de confession musulmane, ils sont pour le moment considérés comme « calmes » par le régime.

    Probablement, cela est dû au fait, que vous soulignez avec pertinence, de l’effort d’investissement en infrastructures matérielles et à l’expansion économique qui améliore sensiblement leur situation quotidienne.

    Quoi qu’il en soit, les problèmes cruciaux actuels de la Chine ne sont pas « ethniques »- quoique le pouvoir central en dise pour valider sa politique répressive- ils sont avant tout sociaux et économiques.

    Bien cordialement vôtre,



  • Philippe Vassé Philippe Vassé 5 juillet 2007 11:54

    Phil,

    Je vous remercie de votre commentaire qui fait suite à un article qui me semblait pourtant d’une clarté limpide.

    L’origine de l’idée, l’article vous la donne, je ne vais donc pas me répéter.

    La BDA-qui ne recueille que les fonds publics que les Etats donateurs qui y participent consentent à lui verser, entre 7 et 8 milliards de $ par an, n’est qu’une institution financière régionale avec des moyens limités.

    Ce qui est examiné et analysé par l’article est un accord de principe en vue de doter le continent d’un Fonds Monétaire Asiatique ou FMA qui pourrait, lui, recevoir et utiliser les réserves de changes monétaires des pays de la région afin de financer les besoins continentaux en infrastuctures matérielles dans le but de donner à l’Asie les bases de son expansion future dans le temps. Sans le FMI et sans compter sur les banques étrangères, avec leur taux d’intérêts.....

    L’article vous donne aussi toutes les sources sur les données chiffrées des réserves monétaires du continent -données collectées par la BDA auprès des Banques Centrales concernées.

    Vos autres questions sont bien légitimes, mais, pour y répondre de manière précise, il semblerait utle, pour le moins, d’attendre que le projet accepté voie réellement le jour. Sa mise en oeuvre apportera les réponses à vos interrogations car je ne suis pas devin pour prédire le futur.

    Je n’oppose pas la BDA à la Banque Mondiale, bien que les rancunes contre cette dernière existent bien en Asie. J’observe, sur la base des discours publics cités par les médias asiatiques et l’article, que le FMI, sa politique et ses experts y sont par contre nettement critiqués, voire rejetés. Et par des personnalités reconnues de premier plan !

    A ce sujet, ce que les participants cités évoquent en clair, c’est que leur continent peut devenir son propre fournisseur de crédits pour se développer alors que le FMI est un organisme qui étouffe les pays qu’il « suit » sous le poids de la dette et de ses intérêts, étranglant et paralysant leur développement possible. Un argument manifestement très entendu, qui porte dans l’opinion publique et pas seulement en Asie !

    Bien cordialement vôtre,



  • Philippe Vassé Philippe Vassé 5 juillet 2007 09:05

    Bonjour,

    J’ai lu l’article qui a généré ce fil et, qui, si j’ai bien compris, est une oeuvre collective.

    J’en ai retiré un certain nombre de faits et d’informations que l’on trouve aussi en ligne sur les divers sites officiels de l’Union Européenne, avec le même langage abscons, froid et impersonnel, si éloigné des réalités quotidiennes des citoyens.

    Arrivé à la fin de l’article, une question posée de facto par le titre de l’article reste sans réponse des auteurs : à qui et quoi exactement a donc « profité » le côté « positif » de la Présidence, non pas « allemande », mais d’Angela Merkel, pendant 6 mois, à la tête de l’UE ? Le texte est muet là-dessus alors que c’est son but déclaré.

    Ceci dit, si l’article est formaté sur le moule ou, comme on voudra, sur le mode utilisé généralement- peu lisible il est vrai- par les rédacteurs de textes de l’UE, je suis resté sur ma faim quant aux faits positifs concernant les citoyens, non de l’UE comme il est écrit par erreur, mais des Etats membres de l’UE.

    Je rappelle au passage un « léger » point de droit- j’allais écrire un « détail »- qui ne peut échapper à personne, surtout pas aux auteurs:l’UE est une entité juridique d’Etats membres, laquelle n’a pas, en soi, de citoyens relevant directement d’elle !

    Je n’ai pas non plus lu dans cet article des avancées concrètes quant au niveau de vie des citoyens des Etats membres, des progrès dans le fonctionnement des services publics qui leur sont dûs, des pas positifs qui auraient diminué la distance- on peut aussi dire le fossé que tous constatent- entre l’UE, ses institutions fort éloignées des pratiques démocratiques- et les citoyens des Etats membres.

    En résumé, j’ai donc vainement cherché dans le corps fort long de l’article ce qui était annoncé dans le titre comme « positif », en quoi et pour qui. En vain !

    Mon impression finale, fondée sur les faits exposés par les auteurs eux-mêmes, est que l’article n’apporte pas la preuve de ce qu’il annonce en entrée. En clair, il aligne beaucoup de mots et de belles déclarations, mais ne donne à l’appui de sa position aucun fait positif concret pour le citoyen de base d’un quelconque Etat membre de l’UE...

    En conclusion, cet article copie bien, certes, les textes habituels, assez creux que les hauts fonctionnaires de l’UE savent produire à la perfection et à foison, mais sans rien apporter ni au débat qu’il prétend alimenter en le fermant d’entrée par son titre laudateur sans motif donné ensuite, ni à l’information intéressante des citoyens de base.

    C’est bien regrettable, car le titre était accrocheur, mais le contenu ne tient pas la promesse du début.

    Et ce n’est pas ainsi, dans la forme et le fond, que l’on pourra nourrir un débat sain, large, ouvert et démocratique qui pourrait restaurer le lien inexistant entre l’UE et les citoyens des Etats qui en sont membres.

    Bien cordialement vôtre,



  • Philippe Vassé Philippe Vassé 5 juillet 2007 03:41

    Michel,

    Voici un article que j’ai pris ce jour dans le Taipei Times, journal anglophone de Taiwan.

    Je vous le livre sans commentaire. Juste pour information, le journaliste qui signe est un aborigène de Taiwan comme...le Ministre qui annonce le plan dont il est question.

    Bon courage et mes meilleurs sentiments à Arborinews,

    Philippe

    Indigenous peoples’ council overhauls reconstruction plan

    By Loa Iok-sin STAFF REPORTER Thursday, Jul 05, 2007, Page 2 The head of the Council of Indigenous Peoples announced plans yesterday to speed up the rebuilding of Aboriginal communities damaged by disasters over the past three years.

    The NT$37.4 billion (US$1.1 billion) plan includes 394 reconstruction projects and the relocation of 15 communities, Council of Indigenous Peoples Minister Icyang Parod told a news conference in Taipei.

    More than 810,000 people — Aborigines and non-Aborigines alike — living in 55 Aboriginal townships in 12 counties will benefit from the plan, a council news release said.

    « Although efforts are in place to reconstruct Aboriginal villages damaged by natural disasters, the progress has been slow, » Icyang said. « That’s why we’ve decided to integrate resources from different ministries to come up with a new, integrated reconstruction plan. »

    He said the plan was drafted after a detailed survey of Aboriginal communities nationwide.

    « The entire plan is expected to be completed in 2009, » he said.

    The plan will focus on restoring public facilities, disaster prevention efforts and accommodation or relocation for disaster victims, the council said. Projects will include river dredging and road improvement as well as the reconstruction of private homes. The council will also help out with loans and land ownership transfer procedures for people who are willing to relocate, the release said.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv