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Philippe VERGNES

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Tableau de bord

  • Premier article le 27/04/2012
  • Modérateur depuis le 17/12/2012
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Philippe VERGNES 18 décembre 2012 11:55

    Bonjour JL,

    « « la clinique du pervers narcissique. » dites vous ??? »

    Oui ! C’est bien ce que j’ai dis.

    Non ! Ce n’est pas une métaphore et vos connaissances, comme malheureusement beaucoup de monde prétendant s’y connaître sur le sujet, ne sont pas à jour.

    S’il est vrai de dire que "les pervers narcissiques, et les pervers en général, n’ont pas la particularité de consulter pour ce trouble !«  Il est faux de croire qu’ils ne consultent jamais. Bien au contraire. Tout le problème pour le thérapeute consiste justement à ne pas se laisser »berner« et à identifier la source du »problème" auquel il est confronté. Ce que parviennent de plus en plus de praticiens, grâce notamment à la richesse des travaux de Paul-Claude RACAMIER. Mais une immense majorité de psys sont encore dupés par ce type de personnalité, d’où les approximations, les erreurs de diagnostics, etc., etc., j’en passe des vertes et des pas mures.



  • Philippe VERGNES 18 décembre 2012 09:55

    Bonjour Jason,

    Je n’ai parlé dans ces deux articles que de la « face cachée de l’iceberg ». C’est-à-dire des points de cette théorie occultées par les médias qui, tout au long de l’année 2012, n’ont eu de cesse de traiter ce sujet.

    En aucun moment, je n’ai tenté de définir ce qu’était un pervers narcissique car les différents articles paru dans la presse en ont dressé le portrait en long, en large et en travers. J’ai mis des liens à seul titre d’exemple en fin de mon premier article.

    Si vous découvrez cette problématique par ce seul article, il n’y a rien d’étonnant à ce que vous soyez un peu noyé. Oui, la psychologie possède ses propres codes qui sont identiques à l’apprentissage d’une nouvelle langue. D’où la difficulté de vulgariser ce type de concept.

    Maintenant, votre remarque vient s’ajouter aux déjà très nombreux commentaires qui soulignent l’absence de « points de discriminations » permettant de distinguer le pervers narcissique du non-pervers narcissique. Les seules grilles de lecture proposées dans les articles grand public sont comportementales et elles présentent des inconvénients tels que signalé dans le nota de cet article. Certains sauront les utiliser en prenant en compte ces notions essentielles de fréquences, d’intensité et de durée. D’autres, occultant cette information, les nieront farouchement.

    Il existe d’autres outils, plus complexe car principalement destinés à clinique et donc incompréhensible pour qui ne parle pas le langage psy, mais certains restent tout de même abordable par tout un chacun et cela fera l’objet d’un article portant spécialement sur la clinique du pervers narcissique. Ceux qui cherchent à comprendre cette problématique pourront y trouver leur compte au-delà de ce qu’ils connaissent déjà.

    Que l’appareil proposé soit complexe, je ne peux que le confirmer, d’où la grande difficulté à le vulgariser sans y faire perdre sa fonctionnalité. Mais que vous généralisiez en décrétant que : « ça ne marche pas tout simplement », c’est une toute autre histoire (cf. la métaphore de l’électricité que ma fortement inspiré easy que je remercie sur le coup, smiley !).



  • Philippe VERGNES 18 décembre 2012 01:19

    @ easy,

    « Elle est très bien votre comparaison avec l’électricité. Vraiment très bien. »

    Merci !

    « Je m’attendais donc à voir l’existence de quelque chose que je ne pouvais voir. »

    J’aime bien smiley ! Ni voyez aucune ironie de ma part, mais je crois que ce que vous souhaitiez traduire devrait plutôt s’exprimer ainsi : « Je m’attendais donc à SENTIR l’existence de quelque chose que je ne pouvais voir ». Il me semble que cela aurait été plus juste.

    « Alors que si j’ai bien compris, vous le professeur de PN, vous en avez vu plein, en vraie viande. C’est bien ça ? »

    Ne serait-ce pas un peu ironique ça ?

    « Et en plus, vous dites que tout le monde peut les voir, même moi. »

    En fait, beaucoup de monde : oui ! Mais pas tout le monde. La métaphore du vampire est, comme déjà soulignée par Morpheus dans d’autres commentaire, parfaitement adaptée en la circonstance à plus d’un titre. Outre le fait que les vampires se nourrissent de la vitalité d’autrui (et leur créativité), tout comme le vampire, le pervers narcissique ne se voit pas dans le miroir d’autrui. D’où également la nuance qui existe avec les narcissiques.

    Sur le discours de votre professeur : je vous répondrais simplement que nous sommes souvent touchés par les éclairs (et les fils rouge et bleu). Le problème c’est que nous nous en apercevons qu’après avoir subit une guerre et les années de totalitarisme qui en résulte. Et forcément, lorsque l’organisation autocratique est en place et que la foudre nous a touché, elle fera tout pour nous convaincre que ce n’est pas un éclair qui nous a atteint ou que nous avons vu... et nous le croirons au point de nier les évidences parce que nous ignorons la portée des manipulations dont nous sommes victimes.

    "Pendant que vous, vous parlez d’un être humain en ne procédant que de logos.« 

    Faux ! Je démens formellement cette assertion, il suffit de relire les articles pour s’en rendre compte : je parle de : »mouvement pervers narcissique« ou »mouvement perversif« , de »pensée perverse« et de »noyau pervers« , mais absolument pas de pervers narcissique même si c’est le titre que j’ai choisi pour mes articles.

     »J’ai beau chercher vos émotions, vos battements de cœur, je ne les ai pas perçus.« 

    Pas étonnant dès lors que vous ne puissiez pas non plus »voir« les p.n. Votre sens de l’observation a, comme qui dirait, quelques sérieux »ratages« si vous assimilez un »mouvement« , une »pensée« telle que décrite et un »noyau« (dans le sens d’une coalition) à un être humain. Il y a des nuances à faire qui apparemment vous échappent.

     »Bon, quand vous aurez inventé la machine à mesurer l’amour dont les gens sont capables, vous me ferez signe et je serais enchanté de comparer entre vous, vos enfants, votre douce, et le monstre que vous n’aurez pas manqué de convoquer.« 

    Bhein... pourquoi réinventerais-je le »fil à couper le beurre«  ? La nature a déjà inventer cette machine-là. J’en parle dans mon article. Vous ne l’avez pas vu ? Cela s’appelle l’empathie et si vous ne sentez pas  »mes émotions, mes battements cœur« , vous devriez sérieusement vous interrogez sur vos capacités empathiques.

     »Voudriez-vous répondre à ces questions« 

    Oui... du moins à la seule qui ait un intérêt pour cette discussion. Les autres sont redondantes où hors propos :  »Comment vous est venue l’idée de faire cette comparaison ?« 

    Au moment même où je vous écrivais ma réponse et c’est la première fois que je l’emploie (probablement le miracle du transfert, pourtant, on aurait compris en lisant cet article que ce n’était pas ma tasse de thé). Mais apparemment, j’ai su trouvé la bonne allégorie qui suscite chez vous  »des émotions, des battements de cœur" que vous n’êtes pas parvenu à percevoir chez moi.

    Cordialement,



  • Philippe VERGNES 18 décembre 2012 00:18

    Bonjour subliminette,

    « Comment arrêter un noyau pervers dans son élan ? »

    C’est extrêmement difficile et compliqué. Je ne connais pas suffisamment le contexte dans lequel vous évoluez, mais une chose est sûre, si vous avez affaire à un noyaux pervers tel que vous m’en avez fait part et dans le cadre qui est le votre, je ne saurais trop vous conseiller de suivre le conseil de Morpheus.

    Maintenant, vous trouverez quelques pistes sur un plan individuel dans l’ouvrage dont je vous ai déjà parlé. Mais avant de les mettre en pratique il faut y être rudement préparé. Le jeu n’en vaut pas la chandelle lorsqu’il n’y pas d’attaches qui mettent en péril l’existence de quelqu’un (comme dans le cas d’un couplesavec enfants par exemple).

    « D’autre part, vous parlez de l’envie comme moteur des PNM, mais quid de la haine ? »

    Il ne faut pas se formaliser pour ce qui est de l’envie ou de la haine des p.n. Ce ne sont que des « temps » d’observation dans le « mouvement perversif ». L’envie est à l’origine de la prédation morale que le pervers opère et la haine ne se manifeste que lorsque et envers ceux qui lui résiste.

    Si vous en êtes à subir la haine du noyau pervers que vous avez identifier, si vous engagez la lutte vous risquez d’y perdre la santé au delà de ce que vous imaginez. Lisez à ce sujet ma longue réponse à M. Christian LABRUNE dans l’article précédent là ou je dis que la perversion narcissique est « génocidaire ».



  • Philippe VERGNES 17 décembre 2012 21:36

    @ Volt :

    Et bien, cela devient de plus en plus évident pour moi. L’étude des théories de RACAMIER m’avait réconcilié avec la psychanalyse et le Freudisme, étant initialement plus orienté sociologie. Si je continue à vous lire, vous allez finir par me réconcilier avec LACAN dont certaines de ses paraboles ont toujours eu le don de m’irriter.

    Ce qui ne serait pas un mince exploit compte tenu de mon aversion envers certains auteurs dont le verbiage n’a de sens que pour eux. Je constate et je concède, sur le coup, avoir méjugé LACAN.

    Merci pour vos interventions (qui sont cependant très pointues).

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