Beau texte, surtout quand vous nous faites visiter le paysage des Noces, la méditérranée irrigue votre prose d’accents authentiques.
Moins intéressant quand vous revenez à vos marottes habituelles, votre critique des « précieuses ridicules » qui selon vous sévissent sur France Culture, avec l’habituel pique sur la « toile blanche ».Comme le pire de ces « féroces philanthropes », en excluant toute compréhension et empathie avec ce qui pourrait faire l’actualité artistique actuelle, vous préférez utiliser la moquerie, le dénigrement.
Peut être qu’avec une decennie de plus vous découvrirez une de ces « vérités premières », c’est tout le mal que je vous souhaite.
Cordialement, une bonne année de vos articles délicieusement rétrogrades,
Quand dans un article on trouve le nom du King Krimson et de Hakwind, l’apriori est favorable.
A la lecture malheureusement on retrouve les mêmes ressassements scrogneugneux qui me font penser que vous n’êtes toujours pas sorti du tunnel musical des années soixante dix, qui si il était intérressant parce que témoin d’une réelle marginalité, et capable d’une réelle inventivité, a finit par s’ankyloser dans un maniérisme béat et un peu embrumé par les trop grandes quantités de drogues ingérées.
Si comme moi aviez vu Police en public, l’énergie incroyable de ce groupe, vous n’auriez pas ce jugement définitif.
C’était sûrement mieux avant, mais aussi parce que cet « avant » était celui de votre jeunesse (et de la mienne) donc forcément......
Au cimetière de Lourmarin, dans ce Lubéron austère qu’il avait choisit, en bonne compagnie, Henri Bosco cet autre amoureux de la lumière du sud de la France y est aussi.
Pour avoir écouté et vu Espéranza Spalding cet été lors d’un petit concert éblouissant à Vienne, je retrouve dans le cliché la fraicheur et l’inspiration de cette musicienne.
La beauté ( autre cliché) est intérieure, mais là.......