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piquecul

Je suis un petit retraité d'un service public avec un bagage scolaire négligeable. Mon vote n'a jamais été à la droite sauf cas de force majeure mais si mon penchant est à gauche, je ne suis pas non plus satisfais de la gauche. J'adore poser des question dérangeantes. Je tente de rester les yeux grand ouvert sur mes semblables et je déteste les discours nébuleux et mensonger dont nos politiciens et responsables de tout bords, niveaux et espèces nous abreuvent. Bien entendu je ne suis pas un parangon de vertues et je me trompe aussi. La critique ne m'est pas insupportable si elle est bien argumentées et surtout courtoise et franche. En gros je suis un vieux septique qui aime gueuler quand ça lui fait mal. 

Tableau de bord

  • Premier article le 12/07/2007
  • Modérateur depuis le 15/10/2020
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Derniers commentaires



  • piquecul 15 décembre 2014 05:22

    Ce n’est pas la réalité économique qui empèche les employeurs de respecter la loi, et le code du travail, c’est la loi. Beaucoup trop de citoyens ne respectent pas la loi, que ce soit le code du travail ou le code de la route. Les employeurs n’ont qu’à se structurer administrativement, et oui je connais très bien les prud’hommes. Parler de jugements éloignés de la réalité économique lorsque des employeur ne cotisent pas aux caisses de retraites de leurs employés sciement ça c’est de la réalité économique. Et si le respect du formalisme est sanctionnable, alors qu’ils payent ce manque de rigueur qui les arrangent bien. Selon que vous soyez riches ou misérables, les jugements de cours vous ferons blancs ou noirs, disait il.

    Adichats


  • piquecul 14 décembre 2014 09:51

    A tout prendre, je préfère ne pas être Suisse. Ce « pays au dessus de tous soupçons » qui n’est pas mieux ni pire que tous le autres. 

    Ce n’est pas le « Spartacus » qui me fera râler n’oublions jamais que ce fut un esclave.
    Non ! J’appartiens à une classe sociale qui connait bien ses adversaires et qui n’en a pas peur. Bien faire et laisser braire et un joli proverbe.
    Lorsque j’entends dire par exemple que les conseils des prud’hommes sont partiaux, je souris car, lorsque l’on est logique et connaisseur on sait la vérité. 
    La vérité est que cette instance est composée de quatre juges. Deux représentants de syndicats ouvriers et deux représentants de syndicats patronnaux. Si le jugement penche en faveur d’une des parties, cela veux dire qu’il y a trois voix pour et une contre. 
    Donc, si la majorité des jugements rendus sont en faveur des employés et ouvriers, il y a donc une majorité de décisions appuyées par au moins un syndicat patronal. CQFD.
    Sous des dehors policés, les employeurs, d’après un sondage effectué à la demande de la CGPME (organisation de patrons de petites et moyennes entreprises) et Le Figaro en 2010 se versent un salaire mensuel (ramené à l’euro constant) de 5433 E alors que le smic est aujourd’hui 1128,70 E.
    La mauvaise foie est un bien étonnament partagé pas comme les salaires.
    Adichats. 


  • piquecul 13 décembre 2014 11:12

    Ce pays ou plongent mes racines encore fraiches a des lois étonnantes qui perdurent malgré les observations de plusieurs instances internationnales. Un exemple :

    l’acheteur d’un bien immobilier qui a obtenu un pret garanti par une hypothèque doit payer ses traites ce qui est normal. Ce qui l’est moins est que s’il ne peut plus honorer ses payements, il est expulsé (normal) sans période de protection (inexistante dans ce pays), puis il continue à payer ses remboursement alors que le bien a été saisi et même parfois vendu. Pour agraver son sort, les prêts étaient à remboursement évolutifs (classique mais impossible d’en trouver d’autres) mais avec une clause plancher pour éviter les baisses qui auraient soulagé l’emprunteur. Pas mal Non ! 


  • piquecul 17 novembre 2014 09:22

    Hispanique de descendance proche, très concerné par l’Espagne de part mes liens familiaux, ce pays est un repaire de magouilleurs de toutes sortes.

    Le premier d’entre eux est le prédécesseur du roi actuel. Dans le même cortège son successeur qui, toute honte bue, a profité du poste vacant sans la moindre gêne. Pour moi le seul véritable gouvernement légal est la République victime du putsch franquiste.
    La question posée par le successeur désigné par franco et qui lui avait juré fidélité (j’étais là pour le voir et l’entendre), était :voulez vous d’un roi ? Il s’est bien gardé de donner le choix entre lui et la République. Ceci dit, depuis de trop nombreuses années le peuple Espagnol est victime de gouvernants sans scrupules qui usent et abusent de leur pouvoir pour maintenir leur privilèges et leur parti. Ils remplissent les poches d’un sérail de suiveurs et de copains sans oublier les leurs.
    La situation de la majorité du peuple est incroyablement dégradée. Les seuls à tirer leur épingle du jeu sont, en général, certains des employeurs serviles qui, sans faire de bruits, peuvent encore profiter de la situation. Les droits sociaux ont étés, pour la plupart, anéantis et la hache n’a pas fini d’élaguer les branches jugées inutiles.
    Ne nous croyons pas à l’abris de ce genre de situation. Le problème est différent chez nous mais il est là. L’attitude de nos dirigeants est, elle aussi, comparable à bien des égards et les mesures annoncées vont dans le même sens. Le populaire Français est tellement le nez dans ses petits avantages, qu’il ne lève même pas les yeux sur le bruit ambiant comme si cela ne le concernait pas. Le réveil risque d’être rude avec tous ces gourmands qui guettent la bonne place sans état d’âme. Les événements Espagnols sont exemplaires et nous devrions bien en prendre de la graine.
    Adis chats. 


  • piquecul 1er mars 2012 15:16

    Lorsque l’on parle de l’éthique en politique c’est à celle des autres que l’on fait référence. Je me garderais bien de mesurer l’éthique d’un politicien de quelque bord qu’il soit.

    La confiance que l’on peut avoir avec ces messieurs doit être utilisée avec parcimonie. Les exemples sont légions de mouvements de girouettes jusqu’aux silences éloquents.

    Pas plus le sujet de l’article que vous évoquez qu’une pléthore d’autres de son genre ne sont à l’abri de compromissions utiles ou de détournements de regards complaisants.

    Désolé, mais la confiance et le respect cela se partage et ce n’est pas une denrée qui s’achète. Cela ne se donne qu’a ceux qui fond preuve d’un peu d’échantillon.

    Si aujourd’hui nous n’éprouvons plus de confiance ni de respect, ce n’est malheureusement que le résultat d’une longue et vaine attente de notre part. Le chat échaudé craint l’eau froide comme dit le populaire.

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