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  • Polity 7 juillet 2014 08:52

    Oui tout ça c’est bien beau, mais la vérité est ailleurs...

    Et c’est en général le sujet que l’on évite soigneusement..

    La France était un pays libre, mais nos élus n’ont eus de cesse que de vouloir s’immiscer dans la vie du peuple en procédant à des répressions absurdes et impossibles depuis plus de quinze ans..

    Résultat, le pays est sclérosé de trafics et de mafias organisées qui emploient les jeunes à tours de bras... Le trafic de stupéfiants est le premier employeur des jeunes précaires (ils ont tous eus cette proposition), et leur seule école est la rue ou la prison pour le meilleure et pour le pire...

    Et puis il y a le dirigisme d’état (code du travail, sécu, etc), ou l’actif est mis dans une servitude absurde qui rends tout le monde acerbe et agressif.. Car l’emploi n’est plus l’activité vitale et passionnée, mais de la survivance soumise à condition..

    Le pays croule sous un fardeau de règlements auto-bloquants qui ne permettent pas la liberté d’emploi, ni la liberté tout court.

    C’est pourquoi les sempiternelles réunions et mesures ouvertes aux négociations ne débouchent sur rien, puisqu’elles ne peuvent aboutir que dans cet espace restreint. Alors nombreux sont ceux qui partent des villes et vont essayer de vivre libre ailleurs, hors de l’organisation opprimante de la société du commerce pour relancer courageusement les vieux métiers agricoles, de l’artisanat ou du service.. Mais depuis deux ou trois ans, les plus jeunes quittent la France « .. on peut rien faire et on se fait arnaquer.. » vers les pays plus libres pour vivre autre chose.

    Changer cela sera très long, car il faut d’abord retrouver la liberté perdue depuis trop longtemps.



  • Polity 17 juin 2014 13:39

    Un sujet récurent depuis ces deux dernières décennies...
    La représentation de l’écolier Français de la république porte une blouse, et ça ne date pas que du siècle dernier !
    Mais il faudra préciser toutefois que l’école d’avant 1968 était plus égalitaire sur le plan vestimentaire, et les écoliers ne portaient pas une blouse grise (qui était le style des années 40-50), mais bleue-france ou bleue-foncé pour les garçons, et beige ou rose pour les filles, la majorité étaient en nylon léger dont le lavage-séchage étaient facile et rapide.

    Alors l’élan libertaire de cette époque avait rompu avec cette coutume vestimentaire ancestrale, il était le reflet d’une société en révolution culturelle vers l’ouverture à la liberté participative et l’échange d’initiatives innovantes, les classes des années 70 furent librement édulcorée et les tables étaient rondes avec au moins trois bons élèves parmi le groupe de cinq, qui pouvaient émettre de nouvelles idées avec une expression libre (l’élève n’avait pas droit de parole avant 68), ce qui fait que tout le monde avait une bonne moyenne en fin d’année et se rendait à l’école avec bonne humeur.. 

    Il y donc deux visions de la scolarité en France :
    Celle qui tient d’une organisation classique ou les classes ont des tables alignées et les élèves doivent observer un ensemble de règles strictes, ou les élèves sont sous l’autorité d’une éducation dirigée où le symbole de l’uniforme représente une appartenance nationale égalitaire.

     
    Celle dont les classes sont libres de disposition ou les élèves participent à la structure et aux méthodes éducatives, dont les règles sont débattues entre parents-école-élèves, et dont la liberté vestimentaire et d’expression, apportait la responsabilisation individuelle des élèves pour travailler en groupe.

    Pourtant l’école évolutive de 1970 souffrait encore des bribes coutumières de l’ancien « monde scolaire » ou s’affrontaient les partisans de l’ancienne éducation et les partisans de la nouvelle. Mais au fil des remaniements de l’éducation nationale qui a voulu (encore) régenter ce concept, elle aura fini par le mettre à bas, au point ou l’élève est exclu de toute initiative d’organisation de sa classe ou du déroulement des cours, à cela vient s’ajouter des règlements irritants qui contribuent aux conflits parents-écoles ou les élèves rejouent les dérives sociétales à l’école.

    Alors en effet, puisque les Français n’arrivent pas disposer de la liberté d’innover pour une meilleure éducation libre et que les différences de classes sociales sont génératrices de conflits intra-muros, il est évident que la solution est de remettre les citoyens sur un même pied d’égalité scolaire et éducatif.

    Comme on peut le constater, la société Française évolue vers une idéologie sur-protectrice, et est en demande d’une meilleure organisation scolaire ou les conflits sociaux et idéologiques restent au dehors de l’école. Par ailleurs, la France qui est une star de la mode, arbore des uniformes partout dans la société. Les employés de nombreuses professions portent une blouse ou tenue de travail et le personnel d’entretien scolaire aussi. On constate également que de nombreux enfants contestent les différences vestimentaires ou les marques de fabricants déterminent des statuts sociaux sujets aux conflits.

    Après avoir posé la question de porter une blouse de couleur identique à toute la classe, 8 élèves sur 10 y sont favorables et expriment le besoin d’effacer les différences et signes extérieurs de richesse. 

    Il faut également préciser que la plupart des gens qui ont portés une blouse d’écolier quelque soit l’époque, en gardent un bon souvenir nostalgique. Il est alors évident que cette demande rémanente est légitimée par la protection et l’égalité vestimentaire, où l’appartenance commune au groupe scolaire est toujours plus rassurant pour tout le monde. 

    Cela étant, laisser libre le port ou non d’une tenue scolaire est absurde, car l’indécision sera le théâtre de conflits ou seront exclus du groupe solidaire leurs opposants, rendant difficile le déroulement des cours. Dans la mesure ou les élèves en sont demandeurs comme actuellement, l’obligation n’est pas absurde mais légitime, car elle est consentie par une large majorité des personnes interrogées. 



  • Polity 9 février 2014 23:07

    En effet la démocratie est en danger , mais si la loi de programmation militaire vient y apporter sa pierre, question législation, ce texte est un petit joueur !

    Car il y a un autre texte de loi encore plus révoltant, et qui fort de menacer la démocratie, soumet la république (et les droits de l’homme) à des lois internationales de circonstance (sécurité, trafics, espionnage, etc.) par l’Article 55 de la Constitution qui dit ceci « Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l’autre partie. » ainsi les lois de la république sont sous-jacentes aux lois internationales, par seule décision du président de la république selon l’Article 52 qui dit « Le Président de la République négocie et ratifie les traités. Il est informé de toute négociation tendant à la conclusion d’un accord international non soumis à ratification. ». Finalement, d’aucuns n’en à décision et le président peut donc imposer n’importe quelle loi internationale sans en demander audience au peuple Français. Puisqu’il le représente, il en écarte son avis....

    Cette abstraction de la souveraineté détermine l’orientation totalitaire du pouvoir dans l’exercice d’un texte aux fins d’accords politiques que nul citoyen n’a jamais consenti. 
    Ainsi,ce principe sournois est déjà employé pour la législation des stupéfiants qui viole de nombreux droits fondamentaux tels que : Les libertés ; d’usage, de culture, d’expression, d’opinion, incite à la discrimination et à l’inégalité devant la loi (drogues licites et illicites ).
    En effet, cette législation ne trouve pas de « victime qui porte plainte » dans l’usage d’un stupéfiant, et le législateur ne peut alors que s’appuyer que sur l’Article 55 pour « faire passer » cette inconstitutionnalité faisant référence à une législation étrangère de nature à dégrader les droits de l’homme, et par conséquences criminogènes, la sécurité de la république.

    Il en va de même pour d’autres lois internationales qui n’ont en principe aucun droits sur notre territoire, mais qui seront appliqués par des lois Françaises comme l’article 20 de la loi de programmation militaire, elle aussi faisant fi des droits souverains du peuple.

    A moins de changer la constitution, il sera impossible de revenir sur les centaines de lois liberticides et anti-républicaines de ces 50 dernières années..



  • Polity 2 février 2014 10:17

    Une lettre ouverte, qui témoigne de la prétention de décrédibiliser les nouvelles générations, qui espérons-le malgré leurs « lacunes morales », sauront diriger notre nation autrement que dans la « croyance » de ce « bien commun moral » qui n’existe pas ..

    Si je dois admettre le ressenti nostalgique d’une époque révolue ou les dogmes paternalistes moraux issus de la religion Catholique étaient les références incontournables du citoyen Français infantilisé, je ne peux pas le cautionner, et accessoirement m’oppose à la déresponsabilisation de ces « valeurs » portées à l’encontre des nouvelles générations qui en sont les premières victimes.

    La très critiquée reforme sociale de 68 qui revient souvent sur le tapis ( n’en déplaise aux conservateurs de tous poils), était une avancée inexorable pour notre pays confiné dans un autoritarisme omniprésent, toute la jeunesse de France ne pouvait plus supporter cette austérité avilissante, qu’il fallait abolir absolument pour que notre pays puisse évoluer librement.

    Cette évolution ne peut pas s’exercer dans une société aux concepts moraux issus majoritairement de l’église Catholique, alors que notre nation est laïque, et de surcroît, l’inventeur de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen que la planète entière reconnait encore aujourd’hui. 

    Ainsi, les générations actuelles, sont très bien au fait des dérives liberticides et de la dégradation des droits fondamentaux du peuple Français dans les réformes à caractère morales, et savent qu’elles sont souvent fondées sur des causes communautaires totalement absurdes et inacceptables en l’état.

    Vous évoquez le respect de nos ancêtres ? Pensez-vous que nos ancêtres seraient d’accord de soutenir une politique qui génère des trafics et provoque une guerre ouverte ou des jeunes sont assassinés chaque année dans des règlement de comptes sanglants, simplement pour « croire » empêcher des millions d’individus de savourer les sensations euphoriques de Marie Jeanne (Cannabis) en faisant payer cette utopie hygiéniste aux citoyens ?
    Je doute fort que des Baudelaire ou autres pères fondateurs de la république, puissent cautionner ce genre de politique communautariste fondée sur un diktat faussement moral (que l’on sait raciste à l’origine) de vouloir interdire à son prochain de disposer de la nature et de sa personne, comme il est clairement défini dans notre constitution.

    La France évolue, et le peuple est majoritairement défenseur de cette évolution ou les lois de la république doivent coller à cette évolution, ce qui n’est pas le cas, puisque nombre d’entre-elles sont issues de principes conservateurs scélérats, ou de sophismes désuets que les dernières générations refusent farouchement et détournent sans scrupules, pour en avoir subi les cuisantes conséquences de ces 30 dernières années.

    Pour conclure, il n’y point d’honneur à plébisciter un conservatisme qui met un frein à la nécessaire ouverture de notre société, et cette évolution des meurs est inévitable.
    Alors vouloir revenir à ces références morales hors du contexte social actuel, n’aura pour conséquence que la division du pays.. Ceux qui se soumettent au dogme moral, et ceux qui même s’il le considèrent, restons toujours libres de leur initiatives et de leur modes de vie.

    Le jour ou les gouvernements seront plus confiants envers leur population, la déresponsabilisation de l’individu disparaitra au bénéfice de son épanouissement.

    Je suis conseillé politique en sécurité (localement) dans ma circonscription, et la plupart de nos problèmes sont principalement issus des conséquences de politiques publiques qui ont fait abstraction de l’avis des citoyens (en dehors de sondages manipulés), en imposant une vison morale qui a précipité la France vers le fléau de l’insécurité et de la corruption. Résultat, la liberté coute moins cher en vies humaines, que l’autoritarisme achrané et incongru. Et ceci, juste pour les résultat accablants que l’on peut constater au fil du temps et qui ans initiatives courageuses, promettent un pire avenir aux générations futures....

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