Je croyais naïvement qu’après avoir mis en évidence les dangers de l’intégration à outrance (qui existent, mais c’est un détail), vous commenceriez à parler :
-d’évasion fiscale (30 milliards officiellement… on peut deviner l’officieux),
-d’usure, de dette et de création monétaire (actuellement presque 100% du PIB en France, principalement des intérêts que l’on ne remboursera jamais),
-de libertés individuelles (état d’urgence),
-de corruption du pouvoir et de la non-démocratie qu’est la France (système représentatif - ce n’est pas une démocratie, ça commence d’ailleurs à se voir !),
-des inégalités rampantes entre le petit peuple et le 1% depuis quelques décennies,
-de la NED et ses ONG qui détricotent les régimes à travers le monde (Yougoslavie, « printemps arabes », Hong Kong…), conduisant au chaos,
-de la perte de valeurs et de cultures à tout va,
-des soit-disant « traités de libre-échange » qui sont tout autre chose,
-de la déforestation, de la sur-utilisation du sable, ...
Quid de l’impact environnemental sur les animaux marins ? Poissons décapités ? Et si un dauphin ou une baleine rentre dans l’hydrolienne, il se passe quoi ?...
À supposer que 50% des électeurs votent blanc le week-end prochain, on entendra crier dans les médias la « victoire » de l’UMPS et du FN dans les différentes régions, la routine
CQFD
À moins d’une loi obligeant la dissolution du gouvernement et à une refonte totale du système suite à, disons, 40% d’abstention (en vraie démocratie, c’est déjà absolument énorme), s’abstenir ou voter blanc fait « plouf ». Et ce n’est pas demain la veille qu’une telle loi sera votée…
J’ajouterais que dans le système actuel, les votes blancs ne sont toujours pas comptabilisés dans les « votes exprimés », donc « Baloti blanka ne estas baloti »...