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QuanticEnergy91

QuanticEnergy91

Ingénieur Physicien/électronicien en retraite.
Passionné par la physique fondamentale et quantique, j'ai donné quelques conférences de vulgarisation sur la réalité de notre univers : pas de matière ni de particules, juste un réseau d'ondes d'énergie multidimensionnel (théorie des cordes et Schrodinger)
Je suis la "fusion froide" depuis 15 ans environ sur Energytimes. Pour moi, c'est clair que la fusion de protons peut intervenir autrement qu'à haute température. C'est une question de compréhension de la physique quantique et de technologie. Même si les années passent vite, je pense que l'on est sur la bonne voie. Encore un peu de patience ! dès les vrais balbutiements ( 2013 ??) La physique officielle va s'emparer du sujet et les explications théoriques vont fleurir.
Ca a toujours été comme ça dans le passé !

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  • Premier article le 22/02/2013
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Derniers commentaires



  • QuanticEnergy91 QuanticEnergy91 26 février 2013 17:05

    oui, quand je parle d’optimisation d’entropie, je veux dire que le système va diminuer son niveau d’énergie ( et donc en libérer), donc augmenter son entropie.

    Bien sûr je pense à la fusion dite froide en évitant le terme qui gêne ! un jour viendra, j’en suis convaincu, où ces technologies ne seront plus tabou.



  • QuanticEnergy91 QuanticEnergy91 24 février 2013 13:40

    I Steven,

    I din’t knew that you were following LENR on Agoravox as well !

    I am a long time follower of LENR on newenergytimes, and since late 2012 a subscriber.

    I am more and more convinced, that despite many desillusions with some experiments, LENR will work. Widom-Larsen theory is pushing the experiments in the right direction (hydrogen forced within metallic structure plus some electromagnetic effects).
    Additionally, the more I am reading about quantic physics, the more I do believe that there may be technological ways, at atom level, to overcome nicely this dawn Coulombian repulsion !

    Recent publications from official labs, showing that the nuclear shape is greatly depending on energy levels, and not a simple grape of balls may be opening new way of thinkings.

    Back in 2005, we have already discussed that together over mails. I believe this is the right time to throw over the net some fresh ideas...even if this may look stupid or esoteric at first glance !



  • QuanticEnergy91 QuanticEnergy91 24 février 2013 12:24

    Il est évident que pour mieux me faire comprendre, mon discours est volontairement extrêmement simplificateur, et il est donc normal que certains points heurtent fortement les personnes qui comme vous ont approché de près les théories. Mais c’est le seul moyen de faire comprendre le concept sans ressortir les mathématiques et les éléments de base de la physique quantique telle qu’elle enseignée.

    En particulier, quand je parle d’ondes stationnaires, effectivement, je laisse implicitement penser qu’il s’agit d’ondes continues comme dans le monde réel que nous connaissons.Or au niveau de l’atome et en dessous, c’est un monde quantique, discontinu, que nous n’arrivons pas à imaginer. C’est un peu comme si tout ce que nous voyons dans notre monde de continuité se trouvait brutalement projeté et se produisait sur un volume de grillage. Du coup, le monde ondulatoire qui fait bel et bien un consensus au niveau des champs (Schrödinger), est en même temps un monde discret, qui donne un aspect corpusculaire. Un photon par exemple est bien un phénomène ondulatoire (boson du champs électromagnétique), mais en même temps il apparait bel et bien comme un grain séparé qui peut s’isoler. C’est compliqué pour tout le monde !

    Dans le cas des électrons, je ne confonds évidemment pas les ondes de probabilité de la théorie quantique avec les ondes électromagnétiques telles que nous les pratiquons dans notre monde continu. Mais en même temps les équations de Schrödinger qui permettent de faire des calculs sur les ondes de probabilité, travaillent bel et bien dans un espace multidimensionnel sur des champs électromagnétiques quantiques, et avec toute la simplification abusive que ça peut représenter pour un expert, parler de maximas d’ondes stationnaires permet d’éviter de voir l’électron comme un objet, une bille, qui s’agite dans une zone de probabilité, car c’est plus immatériel que celà.

    C’est pareil pour les neutrons et protons. les représenter systématiquement comme des grains de raisin collés dans la grappe du noyau est profondément inhibant pour essayer de comprendre ce qui peut se passer à ces échelles. car c’est beaucoup plus immatériel que celà.

    je suis bien conscient que mon discours est outrageusement simplificateur, mais le but est d’approcher une réalité différente sans s’encombrer l’esprit des formulations mathématiques nécessaires à la science exacte.



  • QuanticEnergy91 QuanticEnergy91 23 février 2013 18:49

    Bonjour,

    Merci de votre réponse à mon article. Je l’apprécie beaucoup, car visiblement vous avez lu attentivement l’article, et vous y répondez point par point de façon très avisée et professionnelle.

    Ceci étant, certains de vos arguments reprennent malheureusement les idées un peu préfabriquées par le courant de pensée de la science officielle, celles qui justement inhibe par avance toute véléité de chercher autre chose. C’est un peu créaticide !

    L’argument principal qui vous fait douter de la fusion froide, c’est l’absence d’émission de neutron.

    Pourquoi diable voudriez-vous qu’il y en ai ! Evidemment, dans le cas de la fusion classique, à chaud, on force la fusion à partir de deutérium, ou de tritium, ou les deux. Dans ce cas, le produit final, Hélium4 laisse un pauvre neutron excédentaire, et il est éjecté. Dans la fusion froide, ce n’est pas le cas. On part de noyaux d’hydrogène, le but étant de le fusionner soit avec des noyaux voisins, soit avec d’autres noyaux d’hydrogène en empruntant des neutrons. Dans la théorie de Widom-Larsen, qui sert de base à certaines expérimentations actuelles, l’idée est de passer par une chaine proton-neutron (ou pseudo neutron ?), fusionner sans problème de barrière Coulombienne, puis de régénérer un proton par désintégration ultérieure. Le processus ne génère pas de neutron rapide.

    L’idée de ces expérimentations est de créer des conditions dans lesquels les protons d’hydrogène se trouvent confinés, avec des électrons à l’intérieur d’une matrice métallique, avec éventuellement des effets électromagnétiques supplémentaires, pour créer localement des conditions propices à une réorganisation des systèmes d’ondes. Certains pourraient évoquer à ce moment des effets tunnels qui sont aussi recherchés dans la fusion classique.

    Dans les expériences réalisées, l’absence de radiations ou de neutrons est plutôt normale, et en contrepartie, la présence de transmutations et d’hélium4 est plutôt la signature d’un effet nucléaire.

    Ce qui m’inquièterait le plus dans tout ça, c’est plutôt, si on y arrive, de savoir avec quelle probabilité d’occurrence ! quel niveau d’énergie/cm3 pourrait on tirer d’une éventuelle technologie disponible ?

    Pour le reste de vos remarques :

    -  L’énergie infinie du vide n’est plus une question. Voir toutes les publications sur le sujet, et aussi les travaux du CERN. Même si on ne sait pas ce que veux dire cette Energie, ni ce qui vibre exactement et où !

    -  Pour ce qui est de la dualité onde corpuscule, effectivement, cela pose toujours un problème de compréhension. Cela dit le consensus est plutôt d’un monde ondulatoire, les expériences faisant apparaître un comportement corpusculaire pourrait être dû à la perturbation du champs de force considéré, dès que l’on ajoute un appareil de mesure ( Brian Greene dans la réalité cachée)



  • QuanticEnergy91 QuanticEnergy91 23 février 2013 15:38

    J’ai bien conscience de tout ça ! pas de problème.

    A l’occasion, je publierai sur ce site un papier que j’ai écris en 2005 : l’innocence perdue du 19° siècle. A cette époque, marie Curie dans son labo, ou même Einstein dans son office des brevets, pourvait se permettre, en amateur, d’avancer des idées fumeuses sans être cloué au pilori ( enfin presque !).

    Celà nous a valu une avalanche de découvertes qui ont fait la bonheur des scientifiques...après coup. Quelle fiereté de pouvoir ensuite expliquer l’inexpliquable !

    Je plaisante. Il faut un peu des deux ! 


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