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qyutiun

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  • Premier article le 14/01/2008
  • Modérateur depuis le 03/04/2008
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Derniers commentaires



  • quen_tin 6 novembre 2009 12:17

    Expliquez moi en quoi la gratuité de la santé (ou le socialisme) en serait la cause. N’est-ce pas parce que tout n’est pas encore gratuit que les CSP+ se soignent mieux ?

    Expliquez moi comment plus de libéralisme économique améliorerait les choses et ferait que les pauvres se soigneraient aussi bien que les CSP+, ou que la différence serait plus faible par exemple, et expliquez moi pourquoi les Etats-unis en est un contre exemple.

    Parce que sinon, en suivant votre raisonnement, je risque de conclure qu’on manque encore de socialisme en France.



  • quen_tin 6 novembre 2009 10:03

    Si la sécurité social peine à protéger les « déconnectés » (Ce qui est un problème réel et complexe : comme une organisation sociale s’occupe-t-elle de ceux qui n’y participent pas, sans présumer du fait qu’ils ne veulent pas ou ne peuvent pas participer ? Le problème ne serait-il pas plutôt de limiter au maximum le phénomène d’exclusion involontaire ?), je ne vois pas en quoi un système libéral le ferait mieux.

    Il aurait été judicieux de fonder votre opinion sur des études ou des faits... Or étant donné l’importance de la pauvreté et de l’exclusion aux Etats-unis, ainsi que le taux de mortalité infantile qui y est supérieur à la quasi-totalité des pays européens (et Cuba !) et une bonne partie des pays asiatiques, alors que ce pays possède une croissance supérieure à la notre mais une économie plus libérale, on peut sans mal montrer par les faits que, effectivement, « libéralisme = loi de la jungle »...



  • quen_tin 6 novembre 2009 09:50

    Je peux admettre que certains droits soient assujettis à des conditions particulière (dans la mesure où un avantage particulier doit toujours favoriser celui dont les conditions sont défavorables). Dans certains cas, ces conditions peuvent être assimilées à des devoirs.

    Mais contrairement à des devoirs, un droit doit rester quelque chose de naturellement garanti par la collectivité. Il est « normal » d’avoir droit à la liberté d’expression par exemple, et ce type de droits fondamentaux doit s’appliquer à tous sans condition. La collectivité est là pour les individus, et non pas l’inverse.

    Mettre en place des devoirs qui serait en tant que tel applicables aux individus, sans qu’ils ne soient la condition logique de l’application d’un droit, revient simplement à organiser l’assujettissement des individus au pouvoir, ce qui est totalitaire et inacceptable. Un devoir ne doit et ne peut être que la condition logique d’application d’un droit, et cette condition d’application doit être telle que ceux qui sont défavorisés en bénéficient.

    Il me semble que c’est généralement le cas des acquis sociaux.



  • quen_tin 4 novembre 2009 00:36

    La simplicité n’est certainement pas un critère de vérité.
    Les approches à la Georges Bush (ceux qui ne sont pas avec moi sont contre moi), celles au sein desquels les milieux seraient entièrement cloisonnés, sont soit des escroqueries, soit des fantasmes.



  • quen_tin 4 novembre 2009 00:33

    Dans l’extrait du débat Chomsky / Foucault, je retiens essentiellement chez Michel Foucault le refus de poser des principes de justice ad-hoc, idéaux, de présupposer ce qui est souhaitable, parce que de tels principes seraient nécessairement issus d’une culture particulière (et donc éventuellement de rapports de force particuliers au sein de la société). Je pense qu’une bonne réponse à ceci peut se trouver dans la théorie de la justice de John Rawls, quand il définit au départ non pas des principes de justices, mais les conditions au sein desquelles de tels principes peuvent se négocier et amener à un consensus. Il développe ensuite à partir de cette expérience de pensée des principes de justices, mais ceux-ci sont révisable à priori, tout comme une théorie scientifique est falsifiable.

    Dans cette perspective il n’est pas nécessaire de définir à priori le « mieux », mais seulement les conditions de son élaboration.

    D’autre part quand vous dites que « la gauche deleuzienne se contente de s’opposer aux limitations de la liberté », c’est que la liberté constitue déjà une valeur fondamentale, un idéal. Il me semble que dans tous les cas on en revient systématiquement à une base d’idéaux fondamentaux.

    Pour finir, selon votre définition, le communisme est plutôt de droite (puisqu’il part d’une conception de l’homme idéale, comprend le collectivisme, ...). Je pense donc qu’on s’éloigne légèrement de la conception habituelle de la distinction gauche/droite et qu’on part sur autre chose. Pour moi le critère déterminant, celui qui colle le mieux à la perception intuitive, reste donc la vision de l’individu en rapport à la société, soit centrée sur l’individu, soit universelle (l’adresse postale / l’horizon).

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