Si tu veux baiser, tu te maries. Point barre ! Y’a rien d’autre à savoir.
Pas tout à fait d’accord. Le mariage ne saurait être un dogme. je suis opposer à l’avortement mais je ne suis pas pour obliger au mariage. Par contre je suis pour que la femme enceinte par accident et que le père géniteur aient les couilles d’assumer le risque toujours existant d’une grossesse et d’un enfant quand on ’baise’.
Que pensez vous de mes commentaires laissés plus haut. j’aimerai avoir votre point de vue sur mes contres-arguments à vos arguments. Pour en débattre en tout bien tout honneur bien sûr.
On peut avoir une discussion philosophique à ce sujet, mais c’est
malheureusement un luxe pour les femmes qui ont été contraintes de se
faire avorter dans des conditions insalubres, sans parler de celles qui y
ont laissé leur peau. Mais j’imagine que c’est ce qu’on appelle
« assumer les conséquences de ses actes ».
Je ne pense pas que de nos jours les femmes aient besoin d’être contraintes pour aller avorter. Je reconnais qu’il fut une époque ou des cas d’avortements contraints (par la force ou sous la pression) ont en effet existé. Je pense aussi que de nos jours des avortement contraints doivent toujours existé (pression de l’entourage familiale sur la jeune fille).
Cet argument ne vaut pas de nos jours. On n’imagine mal un homme forcer une femme à avorter. Il y a ce qu’on appel des postes de police, un téléphone et un numéro bien connu et simple à composer : le 17. Il existe également une justice (bien qu’imparfaite et plus que perfectible).
Bref, tout en le respectant, je trouve cet argument un peu léger pour justifier un avortement dans tous les cas.
Annie, je suis un homme et je me sens mal à l’aise pour parler avortement.
Cependant, il-y-a une idée qui me trotte dans la tête,
c’est que personne ne peut contraindre une femme à garder son foetus.
Sauf à considérer la femme comme un machine destinée à procréer.
Enfin, le foetus bien qu’il soit un objet vivant, n’est pas une personne au sens légal du terme.
Pas tout à fait d’accord avec cet argument : En tant qu’homme, j’aurai aimé avoir mon mot à dire sur le devenir de ’mon’, et plus précisément de notre enfant. La droit de disposer de son corps pour la femme (il ne me semble pas que l’embryon fasse partie de son corps... mais passons la dessus), ne serait lui permettre de détruire ce qui est composé à 50% de ma génétique.
Bref, si la mère de ma fille avait choisie d’avorter, ma vie se serait effondrée. Car quand on m’a annoncé la grossesse, même inattendue m’est apparue une évidence : JE SUIS PAPA !
Mais on connait bien le déséquilibres entre les droits de la mère et du père. Avant ou d’ailleurs après la naissance. La mère de ma fille ne se privant pas de me couper d’elle depuis un an. Et les démarches de justice pour enfin revoir ma fille sont un véritable parcours du combattant.
Bref je suis pour l’égalité des droits homme-femme. Mais pas pour les privilèges de l’un NI de l’autre. Et une mère n’a aucune supériorité à avoir sur l’homme dans la parentalité.