• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Richard Schneider

Richard Schneider

 
"La politique est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde."
Paul Valéry.

Tableau de bord

  • Premier article le 14/09/2011
  • Modérateur depuis le 14/11/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 4 1328 184
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 2695 2665 30
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • Richard Schneider Richard Schneider 29 octobre 2011 15:39

    à jordanne :

    Faut-il condamner un article - très intéressant quant au fond - parce que l’auteur a commis une grave faute d’orthographe ? Bien sûr que non.
    D’abord, parce que cette faute est tellement « grosse » qu’il ne peut s’agir que d’un défaut de concentration lorsqu’on n’est pas habitué à écrire sur un clavier et à vérifier sur un écran. Cela peut arriver à tout le monde ...
    Ensuite, bien que je ne fasse pas partie de ceux qui ont prôné (et qui prônent encore aujourd’hui) que « l’orthographe est la science des ânes » (après l’écriture ?), je pense que, lorsque le continu d’un écrit est intéressant, il est utile de lire jusqu’à la fin.
    Donc, si vous n’avez pas poursuivi votre lecture, c’est avant tout que la démonstration de l’auteur ne vous a pas "branché(e ?).
    Il eût été préférable de signaler l’erreur - tout simplement.


  • Richard Schneider Richard Schneider 28 octobre 2011 17:26

    Bonjour Fergus,

    Comme vous le dites, si le Canard affirme que la mort de Khadafi était programmée, je suis d’accord avec vous : cela est sûrement vrai.
    Je ne pleure pas outre-mesure la disparition d’un fou mégalo ; je regrette que l’intervention occidentale en Lybie ait été dévoyée par les gouvernements occidentaux. Entre sauver les populations civiles de Benghazi et écraser un pays sous les bombes, il y a de la marge. Cette marge a été franchie, soi-disant au nom de la liberté des peuples ; l’hypocrisie et le cynisme des pays membres de l’Otan dépassent les bornes. 
    Pourquoi ne pas envisager une intervention en Syrie ? Où la situation est bien plus dramatique ? C’est vrai, il n’y pas de pétrole en Syrie ! Et puis, « on » prendrait le risque de se faire battre (comme en Irak ou en Afghanistan) !


  • Richard Schneider Richard Schneider 26 octobre 2011 18:16

    Article intéressant, car assez complet sur les imbrications et les ramifications de ces clans qui dominent le monde.

    Juste une observation : ce sera très difficile de s’en débarrasser.


  • Richard Schneider Richard Schneider 26 octobre 2011 17:43

    à l’auteur :

    Lorsque vous écrivez : « elle (la mondialisation) succède à une longue période (1945 / 1980) où la plupart des pays ont expérimenté avec un relatif insuccès son contraire, c’est à dire l’économie dans laquelle l’Etat joue un rôle central », je ne sais si vous faites allusion au bloc soviétique ou à l’Occident. Les « Trente glorieuses » ont vu prospérer des états vivant sous un système appelé « économie mixte ». Le capitalisme rhénan et la France de la IV et début V° République, par ex., ont connu une prospérité inégalée : ni la RFA ni la France (et même les USA issus de la Guerre) ne sont des états libéraux sur les plans politique, économique et social. 
    Aujourd’hui, à cause la mondialisation ultra-libérale qui s’est imposée petit-à-petit vers le milieu des années 80 et surtout après la chute du Mur - qui devait, selon Fukiyama, sonner la fin de l’Histoire - , les gouvernements ont vu leurs pouvoirs se déliter : la Finance et les grands groupes dirigent le monde. On voit ce que cela donne : en Occident la pauvreté et le chômage deviennent endémiques, les coquins se remplissent les poches en exploitant sans vergogne les travailleurs et leurs enfants dans les pays émergents. Tout repose sur le marché, qui devient une sorte de deus machina omnipotent et dont les lois engendrent misère (dans les usines à 1 Dollar/heure), guerres (là où il y a des richesses naturelles à piller), désespoir (Espagne, Grèce, et bientôt Italie et France qui croulent sous des dettes abyssales).
    Aussi votre assertion concernant l’échec des états d’avant la mondialisation me semble-t-elle pour le moins hâtive.


  • Richard Schneider Richard Schneider 26 octobre 2011 17:10

    L’attitude de Sarkozy est insupportable : humilier un chef de gouvernement d’un pays « ami » lors d’une conférence de presse devant tous les médias est indigne d’un homme politique qui se respecte.

    L’impérialisme germanique et l’arrogance française deviennent de plus en plus intolérables.
    Loin de moi de défendre la personne de Berlusconi : vieux beau pervers, il plombe son pays dans les négociations internationales. C’est aux Italiens de prendre leurs responsabilités.
    Ce n’est parce que l’Italie va mal, très mal, que les Français doivent se réjouir. Leur tour viendra plus vite qu’ils ne le croient- quoiqu’en disent nos gouvernants.
    Bientôt l’euromark ne sera réservé qu’aux « bons » européens : Allemagne - évidemment - Autriche, Luxembourg (paradis fiscal) et peut-être les pays scandinaves et la Suisse, qui s’accrocheront à la locomotive germanique.
Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv