Le fait d’inclure l’équipe dans cette opération montre encore une fois le mépris de ces « intellectuels » pour la culture de base. Celle qui est censé rendre les gens plus ouvert au monde qui les entoure. Sarko-Mitterand même combat pour que les plus gros continuent à s’empiffrer.
En tout cas le prochain livre que je lirai pour parfaire ma culture devra avoir un titre dans le genre « Comment se débarrasser du nain » ou « la vie intellectuelle chez les sarko-compatibles ».
Bonjour, Article très intéressant mais là : "la défense de l’environnement n’est qu’un prétexte à de nouvelles
taxes, et à s’attirer les bonnes grâces du peuple, pour les prochaines
élections", j’ai un sérieux doute ! Tout ceci risque d’être bientôt présenté très différemment ou annulé (il ne servirait qu’à montrer que l’on essaie de faire quelque chose -effet d’annonce habituel) car franchement, tout le monde a compris qu’il s’agit d’une taxe de plus et basta !
Un seul son de cloche et évidemment la police, la justice, l’éducation sont toujours les méchants. De toute façon des parents (1 parent) qui veulent élever (pas éduquer !!!) des enfants dans les principes d’une des religion les plus débilitante, qui n’ont pas l’intelligence de se remettre en cause et qui font du prosélytisme (chouette : le mari s’est converti) ne méritent à priori aucune considération !
Quel sentimentalisme infantile ! Quel modernisme et quel dynamisme ! Oui, ce genre de truc a sa place dans le genre d’émission comme « sans aucun doute ». Cela fera pleurer dans les chaumières des gens qui adorent voir pleurer. N’oubliez pas de dire à votre « maman » de verser une larme !
Ce faux humanisme de pacotille est révoltant !!!!!!!
Si ! On peut reprocher à ces personnes d’utiliser des techniques de vente pour faire la charité. Car, où est la vérité ? Est-ce un pauvre hère ou un petit escroc qui arrondit ses fins de mois ?
Nous prenons l’habitude de ces mensonges et ne croyons plus à la vraie pauvreté. Je me retrouve parfois à ressentir plus de dégout que de compassion pour ces gens. C’est triste, n’est-ce pas ? Mais je ne donne plus dans la rue (quand c’est possible - car qui est pauvre quand on a du mal à finir son mois malgrè un vrai travail ?) qu’aux personnes qui me donne quelque chose : une chanson, un air de musique, un dessin...).