• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Romain Baudry

Adulescent de 28 ans, sciences-potiron, esclave en droit international et européen, écrivain imaginaire, girouette chronique, apérivore, voyageur statique, angéliste sceptique, asianisant, dilettante diversifié, photodépendant mais vespéral, quelque peu gynocentrique, partageant de nombreux traits de caractère avec le requin-baleine. De façon générale, complètement inutile.

Tableau de bord

  • Premier article le 17/10/2006
  • Modérateur depuis le 14/11/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 4 309 63
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • Romain Baudry 30 janvier 2007 16:09

    A moins que les choses n’aient beaucoup changé depuis que je n’y suis plus, les enfants de la Maîtrise n’ont absolument pas besoin de ce genre de « préparation ». On parle tout de même d’une chorale qui organise des concerts où vient généralement pas mal de monde.



  • Romain Baudry 30 janvier 2007 16:06

    Tiens ! J’ai été membre pendant dix ans de la Maîtrise des Hauts de Seine, mais c’était avant que Gaël Darchen ne devienne calife à la place du calife. La Maîtrise a, pour autant que je sache, toujours eu quelques relations avec le politique (il faut bien décrocher des subventions). A mon époque, c’était encore Pasqua le caïd du coin. Depuis, bien entendu, Sarkozy est devenu une valeur plus sûre.

    Tout de même, venir s’exhiber sur la scène du Sarko-show, je trouve que c’est aller un peu beaucoup trop loin.



  • Romain Baudry 30 janvier 2007 00:36

    Vous avez raison : le pouvoir de gouverner la nation est attribué par les élections législatives et non les élections présidentielles. Mais je pense que vous sous-estimez l’importance des candidats à la présidentielle. Il n’est pas exagéré de dire que le sort de leur parti tout entier est lié au leur. Si Sarkozy est battu, l’UMP - dont il a virtuellement fait sa propriété privée - plonge avec lui. Si Royal est battue, ce sera instantanément le retour des querelles, des divisions et des conflits de personne au sein du PS. Dans les deux cas, le parti dont le candidat aura perdu sera en très mauvaise posture pour remporter les législatives. Le nouveau Président, quant à lui, aura immédiatement nommé un nouveau gouvernement qui bénéficiera encore de l’état de grâce. Il bénéficiera du ralliement de partis proches et d’une couverture médiatique positive. Les candidats de son parti bénéficieront d’une vague presque irrésistible.

    Bref, une cohabitation instantanée n’est pas totalement impossible, mais elle est peu probable.



  • Romain Baudry 30 janvier 2007 00:15

    Si Bayrou était élu Président de la République, je crois en effet probable qu’il ne parviendrait pas à obtenir une majorité parlementaire dans la foulée. L’UDF a survécu à la désertion d’une grande partie de ses troupes, mais elle est encore fragilisée.

    Cela ne signifierait pas nécessairement qu’on se retrouverait dans une situation de cohabitation classique. C’est l’hypothèse que j’évoque en fin d’article : une Assemblée Nationale où aucun parti ne réussirait à obtenir la majorité absolue. En négociant adroitement, Bayrou parviendrait alors peut-être à mettre sur pied cette fameuse coalition rassemblant des politiciens de droite et de gauche (il faudrait bien sûr qu’il se trouve un Premier Ministre consensuel, ce qui ne serait pas chose aisée). Dans une telle situation, Bayrou ne serait ni le Président dominateur qui existe en temps normal, ni le Président en retrait forcé qu’on retrouve en temps de cohabitation, mais quelque part entre les deux, assurant une fonction d’arbitre conciliateur, donnant des orientations aux gouvernement sans pouvoir décider précisément des détails de la politique nationale.



  • Romain Baudry 29 janvier 2007 17:26

    La France n’a pas un régime présidentiel. Elle a un régime parlementaire (possibilité pour le Parlement de renverser le gouvernement) auquel la coutume a apporté certaines particularités. Il n’y a donc pas de comparaison possible avec les Etats-Unis.

    Par ailleurs, si Charles de Gaulle estimait effectivement que le Président devait être au-dessus des partis, il entendait également que ce soit lui qui dirige le pays et non le Parlement. Il va de soit qu’il n’aurait jamais toléré le fait de se retrouver en situation de cohabitation.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv