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  • Premier article le 16/12/2010
  • Modérateur depuis le 07/03/2011
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Derniers commentaires



  • rpplbis rpplbis 28 septembre 2022 17:31

    Lettre ouverte à Adélaïde Bon, Sandrine Roudaut et Sandrine Rousseau


    A propos de leur livre Par-delà l’androcène. Si ce que vous écrivez était vrai, je ne vivrais pas dans la misère juridique, politique, morale, dans laquelle des auxiliaires de justice me font vivre, je ne vivrais pas sous les mensonges et les insultes des juges et de leurs envoyés, psychiatre, psychologue et assistante sociale. J’aurais été au contraire encensé comme ne participant pas, au plus profond de mon âme à ce que vous nommez « virilisme », « androcentré » et d’autres façons semblables.


    Voilà l’agression que j’ai subie de la part des juges à l’occasion de mon divorce, et dont les conséquences désastreuses s’appliquent tous les jours : Un psychiatre a postulé que ma mère était dépressive. Ce faisant, il viole le serment d’Hippocrate. Il prétend que je suis identifié à ma mère ! En moins d’une heure de temps, dans laquelle il a plus parlé que moi, il ne peut rien savoir de cela. Selon lui, je devrais m’interroger sur mon homosexualité ! Selon son postulat, je pratique une « confusion des rôles parentaux ».

    Or, c’est bien le cœur de votre livre.

    Je suis un homme déconstruit, selon vos dires, et c’était coupable au tribunal. Je vous cite : « Elle (la sensibilité) nous permet d’accepter l’altérité, de nous y confronter sans crainte et de nous penser au-delà des construits sociaux. Notre sensibilité nous retient aussi d’exercer notre pouvoir aux dépens d’autrui. » Je me suis bien pensé et conduit « au-delà des construits sociaux ». J’ai bien laissé la mère de mes enfants mener sa vie à sa guise, je n’ai pas exercé « mon pouvoir », pour reprendre vos mots, à ses dépens.

    Les juges ont su et feint d’ignorer que mon ex-épouse cachait son argent, ce qui est contraire à la loi du mariage qui stipule que les époux concourent au ménage au prorata de leurs revenus. Comment pouvez-vous voir un pouvoir masculin dans cette attitude des juges qui cassent les faits en inventent selon leur fantaisie et nient l’idée même de justice ?

    Les juges ont suivi cet avis, rompant les lois qui soi-disant les commandent en de nombreux points : 1/ l’invention d’une dépression à ma mère, invention calomnieuse, diffamatoire 2/ Je vais rajouter une information : les deux frères de la mère de mes enfants étaient incapables d’organiser leur vie et vivaient au crochet de la société, de pensions d’invalidité (j’écris un imparfait parce que l’un est décédé depuis) 3/ l’invention de rôles genrés qui s’appliqueraient à tous et seraient indiscutables (dans la lettre que j’envoie nommément à ces trois femmes, je nomme les juges qui ont écrit cela, qui l’ont daté et signé au nom du peuple français).

    Pour moi, ils ont fabriqué, construit comme vous diriez un dossier de complaisance pour honorer cette idée ignoble, selon laquelle l’homme est coupable et la femme victime. Comme ils ne trouvaient rien dans le réel, ils se sont arrangés avec le réel pour rebâtir cette idée socialement bien portée dans certains milieux.

    Je vous demande de prendre contact avec moi afin que je puisse reprendre pied dans ma vie et dans ma dignité de citoyen qui doit bénéficier de la loi de la République. Je souhaite participer au débat public que vous animez car j’ai largement montré que je ne correspondais pas au modèle viriliste que vous combattez. Sans le vouloir, les juges et leurs experts l’ont bien fait apparaître puisque c’est précisément cela qu’ils ont estimé « devoir corriger » (en toutes lettres dans leurs textes).

    Dans l’attente de votre collaboration à la valorisation des hommes déconstruits, je vous adresse mes meilleures salutations.

    Article refusé par agoravox, lettre envoyé aux trois autrices



  • rpplbis rpplbis 28 septembre 2022 17:22

    Lettre ouverte à Adélaïde Bon, Sandrine Roudaut et Sandrine Rousseau




    A propos de leur livre Par-delà l’androcène. Si ce que vous écrivez était vrai, je ne vivrais pas dans la misère juridique, politique, morale, dans laquelle des auxiliaires de justice me font vivre, je ne vivrais pas sous les mensonges et les insultes des juges et de leurs envoyés, psychiatre, psychologue et assistante sociale. J’aurais été au contraire encensé comme ne participant pas, au plus profond de mon âme à ce que vous nommez « virilisme », « androcentré » et d’autres façons semblables.



    Voilà l’agression que j’ai subie de la part des juges à l’occasion de mon divorce, et dont les conséquences désastreuses s’appliquent tous les jours : Un psychiatre a postulé que ma mère était dépressive. Ce faisant, il viole le serment d’Hippocrate. Il prétend que je suis identifié à ma mère ! En moins d’une heure de temps, dans laquelle il a plus parlé que moi, il ne peut rien savoir de cela. Selon lui, je devrais m’interroger sur mon homosexualité ! Selon son postulat, je pratique une « confusion des rôles parentaux ».

    Or, c’est bien le cœur de votre livre.

    Je suis un homme déconstruit, selon vos dires, et c’était coupable au tribunal. Je vous cite : « Elle (la sensibilité) nous permet d’accepter l’altérité, de nous y confronter sans crainte et de nous penser au-delà des construits sociaux. Notre sensibilité nous retient aussi d’exercer notre pouvoir aux dépens d’autrui. » Je me suis bien pensé et conduit « au-delà des construits sociaux ». J’ai bien laissé la mère de mes enfants mener sa vie à sa guise, je n’ai pas exercé « mon pouvoir », pour reprendre vos mots, à ses dépens.

    Les juges ont su et feint d’ignorer que mon ex-épouse cachait son argent, ce qui est contraire à la loi du mariage qui stipule que les époux concourent au ménage au prorata de leurs revenus. Comment pouvez-vous voir un pouvoir masculin dans cette attitude des juges qui cassent les faits en inventent selon leur fantaisie et nient l’idée même de justice ?

    Les juges ont suivi cet avis, rompant les lois qui soi-disant les commandent en de nombreux points : 1/ l’invention d’une dépression à ma mère, invention calomnieuse, diffamatoire 2/ Je vais rajouter une information : les deux frères de la mère de mes enfants étaient incapables d’organiser leur vie et vivaient au crochet de la société, de pensions d’invalidité (j’écris un imparfait parce que l’un est décédé depuis) 3/ l’invention de rôles genrés qui s’appliqueraient à tous et seraient indiscutables (dans la lettre que j’envoie nommément à ces trois femmes, je nomme les juges qui ont écrit cela, qui l’ont daté et signé au nom du peuple français).

    Pour moi, ils ont fabriqué, construit comme vous diriez un dossier de complaisance pour honorer cette idée ignoble, selon laquelle l’homme est coupable et la femme victime. Comme ils ne trouvaient rien dans le réel, ils se sont arrangés avec le réel pour rebâtir cette idée socialement bien portée dans certains milieux.

    Je vous demande de prendre contact avec moi afin que je puisse reprendre pied dans ma vie et dans ma dignité de citoyen qui doit bénéficier de la loi de la République. Je souhaite participer au débat public que vous animez car j’ai largement montré que je ne correspondais pas au modèle viriliste que vous combattez. Sans le vouloir, les juges et leurs experts l’ont bien fait apparaître puisque c’est précisément cela qu’ils ont estimé « devoir corriger » (en toutes lettres dans leurs textes).

    Dans l’attente de votre collaboration à la valorisation des hommes déconstruits, je vous adresse mes meilleures salutations.

    Article refusé.

    Je leur ai envoyé la lettre. Je vous dirai leur réponse s’il y en a une.



  • rpplbis rpplbis 23 juillet 2022 13:04

    Avant de s’occuper des homos, le peuple français pourrait s’occuper que l’État respecte l’hétérosexualité, la paternité d’un père.

    Allez lire la violence que la justice m’a fait, il y a quelques articles sur agoravox qui montre bien les mensonges, les insultes des juges à mon endroit. Ils ont été homophobes envers moi et ils ont été promus.

    Les juges m’ont demandé de « m’interroger sur mon homosexualité ». Ils ont été homophobes sans que cela gêne personne.

    https://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/ma-journee-de-la-violence-faite-237338



  • rpplbis rpplbis 20 avril 2022 18:35

    @CHALOT Vous aimez vos œillères et le dites.
    Je ne rencontre que ça, en général avec plus de discrétion, de circonvolutions...

    Je continuerai mon combat. Peut-être qu’un jour quelqu’un lira ce que j’écris, c’est-à-dire ce que les juges ont fait et écrit, lira vraiment, pour ce que c’est.

    Allez-y les juges, mentez, salissez les hommes qui s’occupent de leurs enfants. Diffamez-les. Tout le monde est d’accord.



  • rpplbis rpplbis 15 avril 2022 21:35

    @CHALOT

    Troisième réponse : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire » - Albert Einstein

    Je suppose que vous aimez cette phrase, bien sûr. Vous en partagez le sens, du moins croyez vous.

    Ne vous inquiétez pas M Chalot, tout le monde me rejette, rejette ma lutte avec des discours, des « raisons » du genre des vôtres. Vous pourrez donc continuer à ne reconnaître l’injustice que dans certains domaines où vous pouvez passer pour le plus généreux des hommes et à refuser de la voir partout ailleurs.

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