• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

rpplbis

rpplbis

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 16/12/2010
  • Modérateur depuis le 07/03/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 25 240 533
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 155 120 35
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • rpplbis rpplbis 9 novembre 2022 17:56

    @rpplbis
    Le juge avait envoyé cette assistante sociale pour dire si les horaires de travail de la mère était compatible avec le fait qu’elle ait la résidence des enfants. En quoi l’invention de mon hypocondrie, le mensonge sur les nombreux médecins et psychiatres que j’aurais répond à la question posée par le « juge » ? ça n’a pas d’importance, ça tue un homme, et les hommes sont coupables, vous le savez bien.



  • rpplbis rpplbis 9 novembre 2022 17:52

    @rpplbis Sur leur site, mon texte est présenté ainsi : " [La souffrance d’un père se sentant diffamé et insulté par la justice lors d’un divorce : indifférence de son entourage pour sa situation, réflexion sur le concept de résilience] APA 3965

    « 
    Je ne me sens pas diffamé et insulté par les juges, je le suis. »Hypocondriaque, il s’inventait des maladies graves, se faisait suivre par de nombreux médecins et psychiatres, ce qui, de l’avis de la jeune femme n’a servi à rien.« Une assistante sociale qui a passé 2h au maximum chez moi ne peut rien savoir de mon hypocondrie. C’est une diffamation, ce n’est pas un sentiment de diffamation. Je n’ai jamais eu de nombreux médecins et psychiatres, c’est une diffamation (mensongère qui plus est). Que cette assistante sociale oppose à la fake news qu’elle invente le point de vue de mon ex épouse (ça n’a servi à rien) viole l’équilibre des parties. En appel, 3 juges ont trouvé »conforme à l’équilibre de la justice« l’ensemble de ce texte diffamatoire.
    L’APA se protège, car la puissance de ces »juges" est terrifiante, quand bien même ils l’utilisent pour retirer la loi à un homme et à ses 3 enfants.



  • rpplbis rpplbis 14 octobre 2022 17:40

    Lettre ouverte à Adélaïde Bon, Sandrine Roudaut et Sandrine Rousseau

    (lettre envoyée, j’attends leurs réponses. J’ai écrit plusieurs fois à Julien Bayou, sans avoir eu de réponse pour l’instant)

    A propos de leur livre Par-delà l’androcène.

    Si ce que vous écrivez était vrai, je ne vivrais pas dans la misère juridique, politique, morale, dans laquelle des auxiliaires de justice me font vivre, je ne vivrais pas sous les mensonges et les insultes des juges et de leurs envoyés, psychiatre, psychologue et assistante sociale. J’aurais été au contraire encensé comme ne participant pas, au plus profond de mon âme à ce que vous nommez « virilisme », « androcentré » et d’autres façons semblables.

    Voilà l’agression que j’ai subie de la part des juges à l’occasion de mon divorce, et dont les conséquences désastreuses s’appliquent tous les jours : Un psychiatre a postulé que ma mère était dépressive. Ce faisant, il viole le serment d’Hippocrate. Il prétend que je suis identifié à ma mère ! En moins d’une heure de temps, dans laquelle il a plus parlé que moi, il ne peut rien savoir de cela. Selon lui, je devrais m’interroger sur mon homosexualité ! Selon son postulat, je pratique une « confusion des rôles parentaux ».

    Or, c’est bien le cœur de votre livre.

    Je suis un homme déconstruit, selon vos dires, et c’était coupable au tribunal. Je vous cite : « Elle (la sensibilité) nous permet d’accepter l’altérité, de nous y confronter sans crainte et de nous penser au-delà des construits sociaux. Notre sensibilité nous retient aussi d’exercer notre pouvoir aux dépens d’autrui. » Je me suis bien pensé et conduit « au-delà des construits sociaux ». J’ai bien laissé la mère de mes enfants mener sa vie à sa guise, je n’ai pas exercé « mon pouvoir », pour reprendre vos mots, à ses dépens.

    Les juges ont su et feint d’ignorer que mon ex-épouse cachait son argent, ce qui est contraire à la loi du mariage qui stipule que les époux concourent au ménage au prorata de leurs revenus. Comment pouvez-vous voir un pouvoir masculin dans cette attitude des juges qui cassent les faits en inventent selon leur fantaisie et nient l’idée même de justice ?

    Les juges ont suivi cet avis, rompant les lois qui soi-disant les commandent en de nombreux points : 1/ l’invention d’une dépression à ma mère, invention calomnieuse, diffamatoire 2/ Je vais rajouter une information : les deux frères de la mère de mes enfants étaient incapables d’organiser leur vie et vivaient au crochet de la société, de pensions d’invalidité (j’écris un imparfait parce que l’un est décédé depuis) 3/ l’invention de rôles genrés qui s’appliqueraient à tous et seraient indiscutables (dans la lettre que j’envoie nommément à ces trois femmes, je nomme les juges qui ont écrit cela, qui l’ont daté et signé au nom du peuple français).

    Pour moi, ils ont fabriqué, construit comme vous diriez un dossier de complaisance pour honorer cette idée ignoble, selon laquelle l’homme est coupable et la femme victime. Comme ils ne trouvaient rien dans le réel, ils se sont arrangés avec le réel pour rebâtir cette idée socialement bien portée dans certains milieux.

    Je vous demande de prendre contact avec moi afin que je puisse reprendre pied dans ma vie et dans ma dignité de citoyen qui doit bénéficier de la loi de la République. Je souhaite participer au débat public que vous animez car j’ai largement montré que je ne correspondais pas au modèle viriliste que vous combattez. Sans le vouloir, les juges et leurs experts l’ont bien fait apparaître puisque c’est précisément cela qu’ils ont estimé « devoir corriger » (en toutes lettres dans leurs textes).

    Dans l’attente de votre collaboration à la valorisation des hommes déconstruits, je vous adresse mes meilleures salutations.



  • rpplbis rpplbis 8 octobre 2022 15:28

    Lettre ouverte à Adélaïde Bon, Sandrine Roudaut et Sandrine Rousseau

    (lettre envoyée, j’attends leurs réponses. J’ai écrit plusieurs fois à Julien Bayou, sans avoir eu de réponse pour l’instant)

    A propos de leur livre Par-delà l’androcène.

    Si ce que vous écrivez était vrai, je ne vivrais pas dans la misère juridique, politique, morale, dans laquelle des auxiliaires de justice me font vivre, je ne vivrais pas sous les mensonges et les insultes des juges et de leurs envoyés, psychiatre, psychologue et assistante sociale. J’aurais été au contraire encensé comme ne participant pas, au plus profond de mon âme à ce que vous nommez « virilisme », « androcentré » et d’autres façons semblables.

    Voilà l’agression que j’ai subie de la part des juges à l’occasion de mon divorce, et dont les conséquences désastreuses s’appliquent tous les jours : Un psychiatre a postulé que ma mère était dépressive. Ce faisant, il viole le serment d’Hippocrate. Il prétend que je suis identifié à ma mère ! En moins d’une heure de temps, dans laquelle il a plus parlé que moi, il ne peut rien savoir de cela. Selon lui, je devrais m’interroger sur mon homosexualité ! Selon son postulat, je pratique une « confusion des rôles parentaux ».

    Or, c’est bien le cœur de votre livre.

    Je suis un homme déconstruit, selon vos dires, et c’était coupable au tribunal. Je vous cite : « Elle (la sensibilité) nous permet d’accepter l’altérité, de nous y confronter sans crainte et de nous penser au-delà des construits sociaux. Notre sensibilité nous retient aussi d’exercer notre pouvoir aux dépens d’autrui. » Je me suis bien pensé et conduit « au-delà des construits sociaux ». J’ai bien laissé la mère de mes enfants mener sa vie à sa guise, je n’ai pas exercé « mon pouvoir », pour reprendre vos mots, à ses dépens.

    Les juges ont su et feint d’ignorer que mon ex-épouse cachait son argent, ce qui est contraire à la loi du mariage qui stipule que les époux concourent au ménage au prorata de leurs revenus. Comment pouvez-vous voir un pouvoir masculin dans cette attitude des juges qui cassent les faits en inventent selon leur fantaisie et nient l’idée même de justice ?

    Les juges ont suivi cet avis, rompant les lois qui soi-disant les commandent en de nombreux points : 1/ l’invention d’une dépression à ma mère, invention calomnieuse, diffamatoire 2/ Je vais rajouter une information : les deux frères de la mère de mes enfants étaient incapables d’organiser leur vie et vivaient au crochet de la société, de pensions d’invalidité (j’écris un imparfait parce que l’un est décédé depuis) 3/ l’invention de rôles genrés qui s’appliqueraient à tous et seraient indiscutables (dans la lettre que j’envoie nommément à ces trois femmes, je nomme les juges qui ont écrit cela, qui l’ont daté et signé au nom du peuple français).

    Pour moi, ils ont fabriqué, construit comme vous diriez un dossier de complaisance pour honorer cette idée ignoble, selon laquelle l’homme est coupable et la femme victime. Comme ils ne trouvaient rien dans le réel, ils se sont arrangés avec le réel pour rebâtir cette idée socialement bien portée dans certains milieux.

    Je vous demande de prendre contact avec moi afin que je puisse reprendre pied dans ma vie et dans ma dignité de citoyen qui doit bénéficier de la loi de la République. Je souhaite participer au débat public que vous animez car j’ai largement montré que je ne correspondais pas au modèle viriliste que vous combattez. Sans le vouloir, les juges et leurs experts l’ont bien fait apparaître puisque c’est précisément cela qu’ils ont estimé « devoir corriger » (en toutes lettres dans leurs textes).

    Dans l’attente de votre collaboration à la valorisation des hommes déconstruits, je vous adresse mes meilleures salutations.



  • rpplbis rpplbis 30 septembre 2022 13:02

    Lettre ouverte à Adélaïde Bon, Sandrine Roudaut et Sandrine Rousseau

    A propos de leur livre Par-delà l’androcène. Si ce que vous écrivez était vrai, je ne vivrais pas dans la misère juridique, politique, morale, dans laquelle des auxiliaires de justice me font vivre, je ne vivrais pas sous les mensonges et les insultes des juges et de leurs envoyés, psychiatre, psychologue et assistante sociale. J’aurais été au contraire encensé comme ne participant pas, au plus profond de mon âme à ce que vous nommez « virilisme », « androcentré » et d’autres façons semblables.

    Voilà l’agression que j’ai subie de la part des juges à l’occasion de mon divorce, et dont les conséquences désastreuses s’appliquent tous les jours : Un psychiatre a postulé que ma mère était dépressive. Ce faisant, il viole le serment d’Hippocrate. Il prétend que je suis identifié à ma mère ! En moins d’une heure de temps, dans laquelle il a plus parlé que moi, il ne peut rien savoir de cela. Selon lui, je devrais m’interroger sur mon homosexualité ! Selon son postulat, je pratique une « confusion des rôles parentaux ».

    Or, c’est bien le cœur de votre livre.

    Je suis un homme déconstruit, selon vos dires, et c’était coupable au tribunal. Je vous cite : « Elle (la sensibilité) nous permet d’accepter l’altérité, de nous y confronter sans crainte et de nous penser au-delà des construits sociaux. Notre sensibilité nous retient aussi d’exercer notre pouvoir aux dépens d’autrui. » Je me suis bien pensé et conduit « au-delà des construits sociaux ». J’ai bien laissé la mère de mes enfants mener sa vie à sa guise, je n’ai pas exercé « mon pouvoir », pour reprendre vos mots, à ses dépens.

    Les juges ont su et feint d’ignorer que mon ex-épouse cachait son argent, ce qui est contraire à la loi du mariage qui stipule que les époux concourent au ménage au prorata de leurs revenus. Comment pouvez-vous voir un pouvoir masculin dans cette attitude des juges qui cassent les faits en inventent selon leur fantaisie et nient l’idée même de justice ?

    Les juges ont suivi cet avis, rompant les lois qui soi-disant les commandent en de nombreux points : 1/ l’invention d’une dépression à ma mère, invention calomnieuse, diffamatoire 2/ Je vais rajouter une information : les deux frères de la mère de mes enfants étaient incapables d’organiser leur vie et vivaient au crochet de la société, de pensions d’invalidité (j’écris un imparfait parce que l’un est décédé depuis) 3/ l’invention de rôles genrés qui s’appliqueraient à tous et seraient indiscutables (dans la lettre que j’envoie nommément à ces trois femmes, je nomme les juges qui ont écrit cela, qui l’ont daté et signé au nom du peuple français).

    Pour moi, ils ont fabriqué, construit comme vous diriez un dossier de complaisance pour honorer cette idée ignoble, selon laquelle l’homme est coupable et la femme victime. Comme ils ne trouvaient rien dans le réel, ils se sont arrangés avec le réel pour rebâtir cette idée socialement bien portée dans certains milieux.

    Je vous demande de prendre contact avec moi afin que je puisse reprendre pied dans ma vie et dans ma dignité de citoyen qui doit bénéficier de la loi de la République. Je souhaite participer au débat public que vous animez car j’ai largement montré que je ne correspondais pas au modèle viriliste que vous combattez. Sans le vouloir, les juges et leurs experts l’ont bien fait apparaître puisque c’est précisément cela qu’ils ont estimé « devoir corriger » (en toutes lettres dans leurs textes).

    Dans l’attente de votre collaboration à la valorisation des hommes déconstruits, je vous adresse mes meilleures salutations.

    Article refusé par agoravox, lettre envoyé aux trois autrices

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv