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rpplbis

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  • Premier article le 16/12/2010
  • Modérateur depuis le 07/03/2011
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Derniers commentaires



  • rpplbis rpplbis 22 novembre 2022 17:33

    Je vais redire que je cherche des alliés pour récupérer mon droit. Je propose à tous mes concitoyens de lire ce que les experts, assistante sociale, magistrats ont écrit. Personne ne me contacte pour voir si ce que je dis est bien vrai ou non.



  • rpplbis rpplbis 22 novembre 2022 17:18

    @rpplbis
    Je n’ai pas envoyé cette lettre aux juges.
    Agoravox ne l’a pas publiée.
    Les juges ne sont tenus par rien. Il sont libérés de toute contrainte sociétale et ils en font un usage mortifère. Pour moi, ils sont mes égaux selon les Droits de l’Homme. Ils me font souffrir en me privant des lois de mon pays et en privant mes enfants des lois de leur pays, alors que je ne leur ai fait aucun mal. Je n’ai fait de mal à personne. Je ne supporte pas d’entendre qu’ils se plaignent de manquer de temps.



  • rpplbis rpplbis 22 novembre 2022 17:14

    Madame, monsieur les magistrats et autres auxiliaires de justice,

    Je n’ai eu à faire avec votre ministère que pour mon divorce.

    Vous dites manquer de temps mais vous avez pris beaucoup de temps et mis beaucoup de moyens pour bâtir un portrait de moi en coupable, par un longue série de mensonges, diffamations du point de vue de la loi.

    De quoi m’avez-vous rendu coupable ? De ne pas respecter des « rôles parentaux ».

    En non-conciliation, la juge a considéré « qu’il ressort du dossier que c’est le père qui s’occupe des enfants au quotidien ». J’ai eu la résidence sur cette remarque qui synthétise un dossier constitué d’une trentaine de témoignages, montrant que je menais les enfants à la crèche, à l’école, au conservatoire, à la piscine, à la danse, au cinéma, en vacances (y compris les grandes vacances, y compris tout seul chez mes beaux-parents sans ma compagne, leur mère), chez les médecins quand il le fallait…

    Ensuite, un expert psychiatre a postulé selon son mot que ma mère était dépressive, sans l’examiner, violant ainsi le serment d’Hippocrate. Je suis selon lui identifié à ma mère (essayez de prouver le contraire !) et je veux, selon lui, réparer ma mère postulée dépressive en rendant la mère de mes enfants dépressive et en faisant le père et la mère auprès de nos enfants. Je vole le rôle de mère à la mère. Voilà pourquoi la mère ne mes enfants ne veut pas s’en occuper, me traitant de macho chaque fois que je lui demande de le faire (je suis obligé lui demander, elle ne le fait pas toute seule).

    Cette situation a duré deux ans, la mère demandant au juge de repousser l’échéance parce que son dossier n’était pas prêt, tout en prétendant que les enfants lui manquent et alors que je lui proposais une garde alternée.

    Nouveau juge qui accepte toutes les demandes de retard de la mère, sans y voir de signification. Il trouve qu’il n’y a rien d’utile pour décider dans le rapport du psychiatre et nomme une psychologue et une enquêtrice sociale pour voir la situation matérielle de la mère (comme si elle ne pouvait pas le dire elle-même  : il fait le dossier d’une des parties, la mère). La psychologue crie pour m’intimider, elle crie devant mes enfants dont elle doit recueillir l’avis ! (ses cris m’envahissent encore sans que je puisse l’empêcher). L’enquêtrice se procure on ne sait comment le rapport du psychiatre, en reprend la teneur (ma mère dépressive… etc. jusqu’au vol du rôle de mère à la mère) et le juge dit l’exact et incompatible contraire de ce qu’il avait dit (il dit : cette thèse est ce qu’il faut pour décider). Il considère au passage que cette enquêtrice a compétence d’expert en psychiatrie !

    Je fais appel. En appel les juges estiment que les considérations sur ma taille à peine moyenne, mon air las et fatigué, les yeux d’un bleu intense de la mère, sa peau bronzée, son T-shirt de coton sur sa peau bronzée, la considération que la mère est fine et jolie sont de la description. Je maintiens que c’est de l’insulte physique de type raciste (il n’y a pas de race, mais il y a un jugement porté sur le physique d’une partialité qui n’appartient pas à l’équilibre de la justice, qui n’appartient pas à notre société, et qui associe des qualités morales à des caractéristiques physiques, par ailleurs falsifiées).

    Crier, hausser les épaules comme a fait F. S. magistrat (ça me hante aussi), veut dire qu’ils ne me croient pas quand je parle. Ils ne me donnent pas le statut d’être humain, tel qu’il est énoncé dans les Droits de l’Homme.

    Je vous demande de me contacter et de m’aider à reprendre pied dans ma vie en m’accordant le droit de ne pas vivre sous les conséquences douloureuses de diffamations.



  • rpplbis rpplbis 22 novembre 2022 17:02

    @spiritwalker
    J’emploie le langage des personnes à qui je m’adresse. Pour moi, leur façon de voir est inepte. J’essaie d’obtenir leur collaboration à ma réhabilitation en argumentant dans leur langage.
    Dans tous le « féminisme », il n’y a aucun portrait de l’homme idéal. Les féministes n’ont que des reproches harcelants à faire aux hommes. Aucun discours du type : « Si vous étiez comme ça, si vous vous comportiez comme ci... on aurait plus besoin de ce combat féministe. »



  • rpplbis rpplbis 10 novembre 2022 17:30

    A propos du livre Par-delà l’androcène.

    Lettre ouverte à Adélaïde Bon, Sandrine Roudaut et Sandrine Rousseau

    (lettre envoyée, j’attends leurs réponses, je sais bien qu’aucune d’elle ne répondra). Agoravox ne l’a pas publiée. Il me semble qu’elle est bien dans le sujet, là :

    Si ce que vous écrivez était vrai, je ne vivrais pas dans la misère juridique, politique, morale, dans laquelle des auxiliaires de justice me font vivre, je ne vivrais pas sous les mensonges et les insultes des juges et de leurs envoyés, psychiatre, psychologue et assistante sociale. J’aurais été au contraire encensé comme ne participant pas, au plus profond de mon âme à ce que vous nommez « virilisme », « androcentré » et d’autres façons semblables.

    Voilà l’agression que j’ai subie de la part des juges à l’occasion de mon divorce, et dont les conséquences désastreuses s’appliquent tous les jours : Un psychiatre a postulé que ma mère était dépressive. Ce faisant, il viole le serment d’Hippocrate. Il prétend que je suis identifié à ma mère ! En moins d’une heure de temps, dans laquelle il a plus parlé que moi, il ne peut rien savoir de cela. Selon lui, je devrais m’interroger sur mon homosexualité ! Selon son postulat, je pratique une « confusion des rôles parentaux ».

    Or, c’est bien le cœur de votre livre.

    Je suis un homme déconstruit, selon vos dires, et c’était coupable au tribunal. Je vous cite : « Elle (la sensibilité) nous permet d’accepter l’altérité, de nous y confronter sans crainte et de nous penser au-delà des construits sociaux. Notre sensibilité nous retient aussi d’exercer notre pouvoir aux dépens d’autrui. » Je me suis bien pensé et conduit « au-delà des construits sociaux ». J’ai bien laissé la mère de mes enfants mener sa vie à sa guise, je n’ai pas exercé « mon pouvoir », pour reprendre vos mots, à ses dépens.

    Les juges ont su et feint d’ignorer que mon ex-épouse cachait son argent, ce qui est contraire à la loi du mariage qui stipule que les époux concourent au ménage au prorata de leurs revenus. Comment pouvez-vous voir un pouvoir masculin dans cette attitude des juges qui cassent les faits en inventent selon leur fantaisie et nient l’idée même de justice ?

    Les juges ont suivi cet avis, rompant les lois qui soi-disant les commandent en de nombreux points : 1/ l’invention d’une dépression à ma mère, invention calomnieuse, diffamatoire 2/ Je vais rajouter une information : les deux frères de la mère de mes enfants étaient incapables d’organiser leur vie et vivaient au crochet de la société, de pensions d’invalidité (j’écris un imparfait parce que l’un est décédé depuis) 3/ l’invention de rôles genrés qui s’appliqueraient à tous et seraient indiscutables (dans la lettre que j’envoie nommément à ces trois femmes, je nomme les juges qui ont écrit cela, qui l’ont daté et signé au nom du peuple français).

    Pour moi, ils ont fabriqué, construit comme vous diriez un dossier de complaisance pour honorer cette idée ignoble, selon laquelle l’homme est coupable et la femme victime. Comme ils ne trouvaient rien dans le réel, ils se sont arrangés avec le réel pour rebâtir cette idée socialement bien portée dans certains milieux.

    Je vous demande de prendre contact avec moi afin que je puisse reprendre pied dans ma vie et dans ma dignité de citoyen qui doit bénéficier de la loi de la République. Je souhaite participer au débat public que vous animez car j’ai largement montré que je ne correspondais pas au modèle viriliste que vous combattez. Sans le vouloir, les juges et leurs experts l’ont bien fait apparaître puisque c’est précisément cela qu’ils ont estimé « devoir corriger » (en toutes lettres dans leurs textes).

    Dans l’attente de votre collaboration à la valorisation des hommes déconstruits, je vous adresse mes meilleures salutations.

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