Le problème, voyez-vous, c’est que justement vous ne voyez pas les problèmes...qui pointent ! Avoir faim n’est pas être en état de jalousie mais être dans une situation vitale et précaire, dénuement qui justifie l’opprobe humaniste (chretienne, autre ou de ce genre) face à l’assiette qui déborde, près de celle désepérement vide !!!
Votre étonnement m’étonne, surtout lorsque l’Histoire vous échappe. Au delà du simple précept, la Fraternité veut voir la dignité matérielle de votre voisin (dépourvu de moyens d’existence) assurée ! Je sais, cela ressemble à de la Morale, mais il me semble que nous y revenons, non pas à celle exclusive de "l’ORDRE" mais à celle du coeur, qui invite à un partage plus altruiste, non victime d’utopie ou de chimère nourries dans un terrot de naïveté.
Lorsqu’un patron REVEND l’heure de son ouvrier, aujourd’hui et sans vergogne il accuse celui-ci d’être de lui COUTER trop cher alors qu’il est en partie la source de ses revenus ! Hier, cela était accepté, dans la mesure ou en sa qualité de LEADER, il s’engageait de facto à assurer de l’ouvrage à son employé, en récompense ET CONTREPARTIE du bénéfice appuyé sur l’heure oeuvrée : c’était le DEAL !
Actuellement, et en ces temps MODERNES, ce même "responsable" s’expatrie, (science, outils et capitaux, légitimes ou non) sans oublier de rapatrier et revendre beaucoup plus cher encore avec un plus gros bénéfice encore, ce qu’il acquiert chez de nouveaux "esclaves", bien moins "COUTEUX" que ceux qui ont concourru à son enrichissement premier ! Vous ne voyez toujours pas le problème ? Pourtant, jadis, les marchands qui spéculèrent sur les grains...ont conduit le pays jusqu’àux révoltes... puis à la Révolution...
La rareté ne justifie pas tout, et les cimetières, dit l’adage populaire, sont plein de ces indispensables qui se crurent les pivots du monde...qui tourne désormais sans eux quand les héritiers bouffent sans scrupules les cagnottes accumulées "honorablement" !
Comme l’oeuf et la poule, s’il est des généraux qui remportèrent des victoires, ils ne le purent sans les trouffions et si le Mess est mieux pourvu en bonnes chères, la troupe est bien nourrie...fusse de rata !
Dans mon esprit, loin de l’égalitarisme, seule l’obscènité entre le TOUT et le RIEN me fait gerber ! La sauvagerie - acceptable dans le règne animal - est condamnable pour le genre humain ! La richesse n’est même plus aristocratique, avec ce que cet adjectif peut contenir de "noblesse" et "d’élégance" : elle est VULGAIRE ! Je dirais même plus, et à l’instar de Coluche, elle est GROSSIERE !!!
Avec ce retour, au temps des brioches, proposé : vous ne voyez toujours pas le problème ?
Les entreprises ne partagent pas les bénéfices car ils représentent LE PASSE mais lorsque vous insistez pour de l’augmentation on invoque le FUTUR "incertain" qu’il ne faut pas fragiliser ! Question : quel est le moment favorable à la reconnaissance de la force du travail humain fourni et à quel moment celui-ci doit-il recevoir sa récompense supplémentaire en récoltant une part de l’argent (travail + spéculation) ? Un PDG, fut-il le plus talentueux de la terre, est-il humainement acceptable qu’il touche 5 à 600 SMIC ? Quelle légitimité "économique" justifie cela ? L’obscénité réside dans le voisinage d’une écuelle vide proche d’une marmite archi pleine qui "dégueule" ! George SAND, comme l’Abbé Pierre également, avait pour precept : "Nul n’a DROIT au superflu tant que chacun n’a pas l’essentiel" ! Pour ma part, je souligne que ce qui "légal" n’est pas toujours "légitime", le grand V HUGO soulignant que l’un n’est que juridique tandis que l’autre provient de la justice...
Quelle digression dans cette suite de commentaires dont le ton "nerveux" devient vite inflationniste, tant les passions prennent la place de la raison. Cela rappelle le message qui, transmis uniquement de bouches à oreilles, voit sa substance donc sa nature totalement transformée à l’arrivée !
L’auteur, globalement, souligne en substance l’exigence de Descartes qui est de ne prendre en compte que ce dont il peut vérifier - par lui même - la véracité, loin de la simple "opinion" qui n’est pas de facto LA VERITE ! Le doute, effectivement, ne doit pas à son tour et par inversion, se transformer en DOGME mais dans cette article, l’Auteur et sur ce sujet seulement, semble démontrer qu’en certaines circonstances, il est vrai que les scientifiques du dimanche bricolent allègrement, tentant chez les profanes, de leur laisser prendre des vessies pour des lanternes !
La sécurité routière ! On oppose à la France : l’Angleterre, l’Italie et L’Allemagne et autres pays comme étant moins "meurtriers" sur leurs routes que ce maudit hexagone (et ses 4 coins comme disent ces bavards) ! Sans être scientifique et souilgner que comparaison n’est pas raison il est stupide d’ignorer :
1 au centre de ces pays, ceux-ci le traversent et il ne peut donc s’établir une comptabilité macabre qui ignorerai ces milliards de km/trajets annuels sur notre sol, et rendre ce pays - LA FRANCE - coupable de dangerosité supérieure notamment à deux pays presque insulaires (80 millions de touristes ici) ! Tout ça pour croire (sans affirmer) que parmi toute cette Europe qui parcourre des milliards de km par an (calculez par jour, puis par véhicules, puis par mois, etc) en traversant notre cher et vieux pays, peu d’accidents sont à déplorer en proportions des kilomètres parcourrus sur notre sol et qu’en conséquence, malgré la compassion et la tristesse pour tous ces malheureux, la répression forte et souvent injuste, n’est pas aussi sincère qu’affichée comme telle ! Comment croire que des millions et des millions de déplacements quotidiens seraient possibles sans heurts, gràves ou non ?
Lorsque la passion (ici la rage) est le directeur...la raison fout le camp et conduit au ...suicide ! Il est malhonnête de feindre, en s’abstenant (ponce pilate) et en connaissant pertinemment la conséquence de cette posture laquelle interdit ce que la morale démocratique exige : faire ou défaire, par le même outil et par le même chemin, la force du OUI et du NON !
Pire que Pincchio, tout se voit sur le visage de ces sophistes et, comme les affaires URBA et autres saloperies dont ils demeurent toujours moralement comptables à mes yeux, ils accréditent hélas le slogan de Guy BEDOS : " c’est dur d’être socialiste, surtout quand on est de gauche !"
49% de 47% ne sont pas une majorité écrasante et puis les sondages, du CSA de surcroît, sont moins prévionnels que la météo qui parlent des nuages qu’un vent inattendu, voire une tempête ou une bourrasque, peuvent balayer en un souffle violent et dévastateur, alors....