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Etudiant informaticien à l’EISTI (Ecole Internationale des Sciences du Traitement de l’Information), Cergy (95)

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  • Premier article le 04/02/2009
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  • santos santos 9 novembre 2007 15:33

    Tout à fait d’accord sur la première partie.

    Je me suis mal exprimé sur la deuxième. Prenons l’exemple (totalement caricatural, j’en conviens) d’un divorce entre une femme « normale » et un homme complètement déboussolé, alcoolique, drogué, et qui bat sa femme. La garde de leur enfant va être confiée à la mère. Pour ne pas que le père « pète un câble », et par respect éthique de son statut de père, si son état le permet, il lui sera accordé par exemple une visite d’une après-midi par mois, en présence se la mère.

    Voici un cas de figure où on accorde typiquement un « droit de garde », et non un « devoir de visite » à l’enfant. L’intérêt premier n’étant d’ailleurs pas le sien mais celui du père.

    Je ne pense pas qu’il soit opportun, dans ce genre de cas, de prôner l’idée de « devoir de visite » en lieu et place de « droit de visite ».

    Si je soulève ce cas de figure, c’est qu’à mon sens, il est relativement fréquent (moins extrême certes).

    Votre idée est tout à fait valable dans le cas d’un divorce à l’amiable, à tords partagés (et « modérés », autrement dit un simple problème de mésentente où de lassitude dans le couple), qui se serait cependant soldé par une décision de justice, qui prononce un « gagnant » et un « perdant ».

    Par contre elle est peut-être moins compatible avec le cas d’une famille où l’un des parents est manifestement inapte à exercer son rôle de parent.

    J’espère avoir été un peu plus clair...



  • santos santos 9 novembre 2007 13:11

    Je retiens cette idée de « devoir de garde » en lieu et place de « droit de garde ».

    Il reste à travailler sur les moyens de déployer ce concept. Modifier les textes juridiques peut être une solution, et me semble justifié.

    Cependant, comment aborder le cas, pourtant fréquent, où la garde de l’enfant est retiré à l’un des parents, par exemple le père, à cause du comportement de celui-ci, par souci de protection de l’enfant.

    Difficile dans ce cas, de présenter le « droit de garde » (souvent très occasionnel), accordé de fait au père, plutôt comme consensus vis-à-vis du père, que dans l’intérêt même de l’enfant

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