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Sardas

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  • Sardas 2 janvier 2011 14:14

    Merci beaucoup pour ce récapitulatif !
    La vraie révolution cinématographique cette année c’est bel et bien avatar qui est le premier filme vraiment abouti qui se sert à la perfection des images de synthèse pour nous faire vivre dans l’imaginaire de l’auteur et des créateurs du filme. Quand on voit Avatar on se rend compte que les possibilités du cinéma et du cinéaste sont maintenant infinies (pour peu d’avoir le budget, certes...). Je vais de moins en moins au cinéma car comme dit plus haut, je préfère m’instruire par la lecture ou la vidéo sur Internet. Le cinéma est donc le support idéal pour retranscrire un rêve, et c’est ce qu’Avatar fait merveilleusement bien... Je n’avais plus été envouté par un filme depuis les disneys de ma jeunesse, mais là j’étais tout simplement émerveillé par la beauté du filme et son réalisme qui nous rend ce monde imaginaire accessible.



  • Sardas 15 juin 2010 19:45

    Ce qui est fou c’est que Taddei ne fait rien de plus que son métier, même s’il le fait bien. On se rend bien compte dans cette interview que le système médiatique ne se permet aucune pression sur lui. En fait ce sont tous les autres animateurs d’émission qui censurent car leur esprit étroit admet si peu la contradiction qu’ils pensent que les propos provocateurs de certains de leurs invités pourraient leur être préjudiciables. Et effectivement quand on a l’impression d’avoir quelque chose à se reprocher, on subit un rappel à l’ordre de ceux qui savent qu’ils peuvent avoir de ’linfluence sur vous.



  • Sardas 17 janvier 2010 21:55

    Le début de l’article est assez intéressant, même si ce n’est qu’une pub voilée pour un blog, mais la fin est consternante. Quand on utilise les maths de manière aussi grossière pour soutenir une thèse, c’est que le raisonnement est biaisé et que l’intention première de l’auteur n’est pas de convaincre par un raisonnement qui se tient mais de faire adhérer à sa thèse afin d’instaurer un rapport d’autorité avec lui.
    J’en déduis que si l’auteur s’y connaît autant en économie qu’en Probabilités, alors il n’y connaît rien et ferait mieux de garder son avis de profane pour lui.



  • Sardas 7 septembre 2009 02:24

    Je regarde Secret Story régulièrement et comme l’auteur de cet article, je trouve l’émission extrêmement intéressante. Cessez de cracher sur le « premier degré » et arrêtez de vous cacher derrière un article entier ou bien deux paragraphes de commentaires pour le nier : c’est ce qui est le plus intéressant car après 2 quotidiennes et un prime, n’importe qui a vite fait de comprendre les ficelles habillement maniées par Andemol. Donc oui, tous les fans autoproclamés ici ne valent pas plus que le boutonneux de base, la jeune anorexique ou la ménagère de 50 ans.

    Maintenant, en se penchant sur ce deuxième degré qui permet de justifier votre attrait pourtant évident pour le premier, je souscrit à peu près à ce qui est dit ici, mais je vais tout de même en parler.

    Premièrement, pourquoi une émission si unanimement décriée est-elle si majoritairement regardée ?

    Parce que c’est un des derniers endroits de liberté d’expression à la télé : tout ce qui est sale doit être montré et non pas caché car les altercations ne font jamais de mal à qui ou quoi que ce soit d’autre qu’à des anonymes dont on ne connait que le prénom. On reconnait enfin au téléspectateur son droit de jugement sur un évènement parce qu’on le lui sert tout cru. Un peu comme une compétition sportive. Vous me direz que les séquences montrées à la télé sont soigneusement choisies, que d’autres sont volontairement cachées, que les séquence en questions sont bien souvent introduites et commentées afin de « guider » le spectateur. Certes, tout comme on a droit aux commentaires dans un match de foot... Peu de gens enlèvent le son pour mieux profiter du match pourtant.
    Par opposition aux émissions si consensuelles qu’on nous sert habituellement, le spectateur a enfin droit à des altercations, à des critiques gratuites et méchantes, à des confrontations d’égo assumées. Les règles du jeu, il n’y en a pas vraiment. On peut cracher sur tout ce qui bouge parce que si on crache sur l’un, on n’a pas peur des réprésailles médiatiques des amis de la personne en question puisque c’est la première fois qu’elle met les pieds dans le show-biz.

    En quoi le rapport entre le spectateur et l’émission est-il changé ?

    Le spectateur assiste jour après jour à une expérience psycho/sociologique facilement décryptable. Du fait du système de votes, il entretient un rapport particulier avec les gens qui sont dans la maison car on lui offre ouvertement ce pouvoir divin que de juger son prochain. Si les habitants devaient désigner eux-même chaque semaine la personne qui doit partir, alors la distance séparant le téléspectateur de son écran serait augmentée d’un bon mètre car son jugement n’aurait aucune influence sur le déroulement du jeu. Même pour celui qui ne vote pas, car il a tout de même le sentiment que s’il n’a pas gaché son forfait, d’autres l’auront fait pour lui.
    Comme dans une émission politique, le spectateur observe l’évolution des personnages, de leur caractère et de leur position dans le groupe. Ils jugent l’intimité qu’ils créent avec l’un ou avec l’autre en fonction du lien affectif qu’ils créent avec la personne, au même titre que l’on juge des liens de classe, de pertinence et d’affinité socio-économique avec un homme politique. Secret Story a pour avantage de mesurer en direct l’effet d’une semaine de palabres entre les candidats de la maison alors que la course à la présidentielle dure 6 mois au bout desquels on est soulagés de voir enfin les résultats pour passer à autre chose. Là on n’attend qu’une semaine.

    Bref, Secret Story marche bien car en une seule émission, vous avez le sentiment de vérité du sport où les images ne mentent pas et de pouvoir critique sur l’émission tel un citoyen assistant à un débat politique.


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