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schweizer711

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  • schweizer711 23 janvier 2013 00:27

    Article en tous points remarquable - si ce n’est du point de vue du volume, hélas - qui explique à la fois pour quelles raisons, ce ne sont pas seulement les sodomites et les tribades qui sont concernés par le mariage homosexuel, mais toute la société dans l’optique de son devenir, et aussi pourquoi les « genristes » du gouvernement ne veulent à aucun prix du référendum qui permettrait de révéler à la masse des Français ce qui se cache réellement derrière l’anodin, - en apparence -, hymen homosexuel.



  • schweizer711 21 janvier 2013 16:46

    « Et ? c’est une justification ? »

    Pour moi, absolument. Le plaisir permet de mieux supporter les problèmes et les contrariétés de l’existence.

    « le violeur viole parce qu’il aime ça, le psychopathe torture parce qu’il aime ça etc ... »

    Ces exemples qui reviennent à condamnner le plaisir parce qu’il existe des plaisrs infâmes sont de purs sophismes.

    « Donc, peut être avez vous « raison », mais si vous essayer de le prouver intellectuellement et logiquement... »

    Je ne veux rien prouver, intellectuellement et logiquement ou pas, parce que je ne cherche à convaîncre personne. Je me contente d’exposer mes motifs, pour faire comprendre que le combat de Mme Alinea est perdu d’avance, du moment qu’elle s’attaque au goût, donc à un élément majeur de l’art de vivre à la française.

    Au XVIIIe siècle, les voyageurs observaient déjà que les Italiens mangeaient beaucoup moins de viande que les Français.

    Je ne sais pas si cela a vraiment un rapport de cause à effet avec la moindre combativité du soldat transalpin, mais dans son best-seller « L’Homme cet inconnu », Alexis Carrel, prix Nobel de médecine 1912, écrit :

    « Notre structure et les caractères de notre activité dépendent aussi du choix que nous faisons d’une certaine classe d’aliments. Les chefs se sont toujours attribué une nourriture différente de celle des esclaves. Ceux qui conquièrent, qui commandent, et qui combattent, se nourrissent surtout de viandes et de boissons fermentées, tandis que les pacifiques, les faibles, les passifs se contentent de lait, de légumes, de fruits, et de céréales. »

    Le végétarisne et le végétalisme comme régimes d’esclaves, voilà qui correspond assez bien à l’idée que je m’en fais. Et en cela, le cas échéant, ils s’intégreraient parfaitement dans le plan de l’oligarchie qui tente d’affaiblir la Nation (par l’immigration), et la famille (par différents moyens dont le mariage homosexuel et l’homoparentalité, sont les derniers en date), mais aussi le mental des individus (par une alimentation débilitante).



  • schweizer711 21 janvier 2013 13:02

    Ce que bouffent les végétariens, nous, les mangeurs de cadavres, nous appelons cela, avec une condescendance amusée, la garniture.

    Contrairement à la bonne femme de l’anecdote, je ne mange pas de la viande parce qu’il le faut, pas parce qu’il y a des gosses qui doivent grandir et pas pour avoir ka force de travailler, mais parce que j’aime ça.

    Tiens, hier soir, j’ai fait des foies de lapin en cuisson douce - comme quoi la douceur n’est pas l’apanage des sensibleristes - avec une crème de romarin, accompagnés d’une purée de rates à la Robuchon (50 % de pommes de terre, 50 % de beurre), qui atteignaient au divin.



  • schweizer711 20 janvier 2013 20:23

    « Oswald Splengler peut très largement être contredit... »

    Comme tout le monde et n’importe qui, c’est le réfuter qu’est coton smiley

    Pour ce qui est de la paix, persdonnellement, je ne la conçois que sous deux conditions :

    1. que tout le monde soit fort, et conscient de sa force, en même temps (équilibre de la terreur)

    2. que tout le monde soit faible, et conscient de sa faiblesse, en même temps (équilibre de la pétoche)

    « la culture de paix, basée sur une éducation pacifiste, prôannt des valeurs de respect de soi, des autres et de l’environnement. »

    Au cours de vos oraisons, prêches, sermons, homélies, harangues et semonces, n’oubliez pas d’enseigner la complaisance passive aux futurs cornards : « J’ai la terreur des cocus... », nous dit Céline dans « Mort à crédit » avant de préciser « Y’en a des horribles... »

    Ce sont des réalités qu’un homme de paix se doit de ne pas négliger. Ce n’est pas le malheureux Pâris qui me contredira.



  • schweizer711 20 janvier 2013 20:18

    « prendre le contrôle » voilà ton problème comme tous les chrono-ouraniens.« 

    J’ai l’impression que mon intervention du 19.1/12:54 sert de support à un championnat d’autisme.

    .
    Après Deneb et Parlez-moi d’amour, c’etst vieux grincheux, animiste de son état, qui rame dans le sable. Il écrit : »« prendre le contrôle » voilà ton problème comme tous les chrono-ouraniens.« , alors que le problème n’est pas de »prendre la contrôle« , mais de le conserver, ce que les Romains traduisaient par la maxime Si vis pacem para bellum.

    Ce qui fait que tout son galimatias à base de fascisme, d’homme providentiel, d’autoritaire, de »pensée Non-du agir et du Lacher prise taoïste avec son moteur de complémentarité Yin Yang...« , de paranoïa, de terrain, de voisin, de bile, de fumier, de violence, de catharsis, de copain genevois et de Gandhi ...

     »certains d’ entre vous qui comprennent ENFIN que la VIOLENCE EST DEJA UNE DEFAITE !!!!"

    La violence verbale aussi ? smiley smiley smiley


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