« Il n’y a ni Dieu, ni diable, qui ne sont que faux semblants, faux prétextes, une façon de se démettre en termes de responsabilité personnelles et collectives humaines : se démettre de la simple HUMANITÉ ! »
Je pense pour ma part rigoureusement l’inverse : toute tentative d’éliminer Dieu, donc le diable, du débat est le fruit d’une arrogance typique et irrationnelle qui consiste à exonérer l’humain de sa propre nature et de le démettre, face au mal, des responsabilités immanentes à sa condition.
La lecture de cet article confirme vos propos cultivés, par ailleurs souvent empreints d’une futilité narcissique remarquée, elle-même bien alimentée par l’effet de meute local, comme il se doit : le sieur Nabum apparaît sans ambiguïté comme ce qu’il revendique : un gentil bonimenteur. Il n’y a donc ipso facto pas tromperie sur la marchandise.