La france était peut être en retard en matière de Routes et de Télécommunications mais elle se relevait de 2 guerres (Indochine et Algérie) et elle maintenait une armée forte avec une force de frappe nucléaire au contraire de l’Allemagne. La France était aussi en avance en matière spatiales (fusée Diamant et autres) et en aviation. Donc Valparaiso vous avez du mal étudier pour votre master Moi je n’en ai pas mais simplement je me documente.
L’allemagne a choisi les infrastructures et les communications la France a choisi les guerres coloniales, l’aviation ,la recherche spatiale et j’oubliais la recherche en matière de centrales nucléaires pendant que les allemands restaient aux centrales charbon
Article de M Sage très juste et si les commentaires de furieux s’abattent contre lui c’est qu’ils ne trouvent aucun argument pour démonter ce qu’il a prouvé dans son article : la grosse vache est une menteuse.
Perso je préfère avoir comme président un mec porté sur le sexe qu’une personne dont le père a pratiqué et soutenu la torture et vendu des disques nazi. Je n’ai pas entendu de désaveu là dessus.
Si si ce serait bien de tomber dans un système soviétique. Ce n’était pas l’opulence mais pour y être allé je n’y ai jamais vu de délaissés coucher sous les ponts Il y avait un véritable partage de la richesse et un ingénieur gagnait à peine plus qu’un os. Ils pouvaient être en pointe dans de nombreux domaines (aviation, armement, espace)
Quand Renault était nationalisé ils étaient le constructeur n° 1 en Europe maintenant ils sont 5 ou 6em et même si cela ne rapportait pas beaucoup à l’époque c’est mieux que de payer du chômage dont le coût social est très important.
Vous ne voyez pas le contribuable payer sur ses impôts pour Matra .... etc mais ça ne vous choque pas qu’a France Télécom ou il y a encore une majorité de fonctionnaires l’accord salarial consacre 100 millions aux salariés pendant que 3,65 milliards sont réservés aux actionnaires soit 36 fois plus Les entreprises du CAC 40 vont reverser 40 milliards d’€ en dividendes. plus rien de bon à attendre de la propriété privée des moyens de production et d’échange