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  • simplet 26 avril 2007 20:48

    La position de Sarkozy demeure toujours claire et cohérente, comme ses idées, il a la stature , l’assurance et l’esprit de décision d’un dirigeant ; Ségolène n’est pas de taille à l’affronter sur ce terrain, alors elle joue dans le mélo, l’émotionnel, le théâtral, se positionnant en victime et cherchant à éviter à tout prix le duel, que sa position de seconde aux élections lui impose cependant. Pourra-t-elle respirer sans Bayrou si elle est élue ? pourra-t-elle, plus encore ne pas paniquer à l’idée d’affronter directement des chefs d’état tels que Bush ou¨Poutine ? Dort-elle encore avec un objet transitionnel, un doudou ?



  • simplet 26 avril 2007 19:07

    Mon impression est divegente ; je ne saisis pas bien, tout d’abord, pourquoi Sarkozy devrait débattre avec Bayrou, nous devons choisir entre deux projets pour la France et non trois, c’est là le sens du deuxième tour, et donc voir s’affronter les deux leaders de ces projets mûrement concoctés, dans leur mouture définitive. Si, par malheur, l’un des prétendant au poste suprême, n’est pas sûr d’un projet, qu’il (ou elle, en l’occurence) le considère comme irréaliste, imparfait, susceptible d’être modifié, notamment en appelant au secours un sauveur providentiel, alors qu’elle affiche cette faiblesse seule mais ne demande pas à son rival désigné de s’y associer ! Par ailleurs il n’est pas intedit de supposer, les temps de parole des candidats étant minutés, qu’un débat soft avec un homme qui n’est plus dans la course présidentielle et qui brigue un poste ministérielle qui ne sera certainement pas offert par Nicolas SARKOSI (on ne récompense que rarement ceux qui vous ont trahi), réduira d’autant le temps du débat plus acrobatique et petinent avec l’adversaire attitré.



  • simplet 26 avril 2007 18:20

    Deux projets en balance ? Oui, mais l’un des plateaux est écrasé par la densité du premier face à l’évanescence de l’autre. En effet, au regard du premier tour, avec selon toute vraisemblance, un rapport de forces identiques au futur parlement, que peut-il se passer ? -Sarkozy élu peut espérer faire passer ses projets, comme le gouvernement actuel l’a fait ces dernières années (parfois au prix de réaménagements certes) , avec 46% des voix de droite, toutes tendances confondues, et une bonne part des voix centristes (il n’a pas besoin de la majorité de celles-ci, loin s’en faut, et nombre d’électeurs et députés UDF lui sont déjà acquis). Il est peu probable que des députés FN ou Villiériste soient élus et risquent de semer la discorde. Il peut garder le cap, être fidèle à son projet, sans compromissions, ce qui séduit et rassure ses partisans. - Ségolène ROYAL élue, pour sa part, bénéficie d’environ 33% des voix de gauche ; son projet doit à tout prix séduire la quasi-totalité des UDF, groupe très hétéroclite (heureux de leur progression, mais éparpillés) et donc faire coller son projet avec celui naissant et indéfini de ce groupe. Ce faisant elle ne doit pas trop renier les idées socialistes, groupe également très divisé.« Ségolène présidente de tous les François » devra dorénavant être sa devise : courtiser BAYROU sans cocufier HOLLANDE. Chirurgienne du cœur centre-gauche, elle devra veiller aux récentes et hâtives (pour raisons électorales) sutures : ne pas trop tendre celles de gauche au risque de voir lâcher celles du centre-gauche et vice-versa. Le baiser glacial de l’extrême gauche, susceptible d’avoir ses députés et donc contradicteurs, et un Sénat à droite complique encore sa tâche. Son projet actuel ne peut donc être tout au plus qu’une esquisse, une illusion, une approximation ; elle ne sera jamais la femme libre et indépendante dont elle voulait nous donner l’image mais vraisemblablement une marionnette poursuivant ses tergiversations et vire-voltages, tentant de sauver les meubles par une perpétuelle attitude de séduction pathétique. IL n’est à craindre que, si elle est élue, le destin de Ségolène ROYAL ne soit plus identique à celui d’Edith CRESSON qu’à celui d’Angela MERKEL.


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