Ça remue la vase par ce que vase il y a. Le relation homme/femme ou femme/homme comme vous préférez mais ça marche dans le deux sens. Depuis des millénaires la femme est secondaire et doit être consentante, je ne dis pas que toutes les relations sont ainsi mais certainement une bonne partie, sous des formes un peu subtiles parfois. Pendant longtemps une femme seule était une vielle fille ou une gigotte, il n’y a pas si longtemps d’ailleurs. Les jeunes filles le comprennent vite. Si les femmes ne veulent plus devoir être consentante il faut que les hommes les apprécient autrement que comme « un cul qui passe dans la rue » (excusez du cru). Je ne veux pas faire une généralité, mais j’ai une vie sociale et j’entend ce que j’entend, ainsi que l’entente dans le couple dès que ça rigole sur le sexe...du coup les femmes doivent nous montrer ce quelle sont en dehors d’objet de désir. C’est un cheminement qui devrait se faire en commun car nous sommes les deux faces d’une même réalité. Peut-être qu’il y en en fait, deux humanités, une féminine et une masculine, à charge de reconstruire un rapport fécond, pas forcément ou exclusivement biologique.
Je ne dit pas que ça tourne autour du sexe, le sexe sera le liant, un peu une monnaie d’échange quand même... avec le consentement qui va bien... Là c’est juste qu’elle ont intégré que l’homme peut tout et pas elle donc... (c’est juste un regard sur la situation qui m’a évoqué ça...).
C’est difficile, pour moi, de traiter de ses sujets hors contextes qui les incarnes, un contexte introduit des nuances de nature à « désacraliser » les acquis de la seule parole dite. Comme disait Theillard de Chardin l’humanité doit devenir une boule de pensée... une noosphère, ça m’avait bien plu, on en est peut-être loin... mais qui sait...