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Spartacus est capitaliste, libéral, républicain et fier de l’être.
 
Le capitalisme est le droit naturel d’un individu d’investir son capital dans une entreprise dans le but d’en tirer un profit en assumant les risques et responsabilités.
 
Spartacus libéral s'oppose aux susceptibles, aux partisans de la pensée unique ;
Suivez mes fils de discussion.
Je les met les hypocrites de gauche devant leurs contradictions. Principalement issus des secteurs protégés, je dénonce leurs privilèges de manière musclée mais polie, et vous constaterez qu''ils restent incapables d'un commentaire contradictoire. Faute de pouvoir me répondre dur le fond vous remarquerez à quel point je les fait enrager. Il ne savent que stigmatiser l'adversaire faute d’arguments concrets.
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  • Premier article le 02/09/2010
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Derniers commentaires



  • spartacus spartacus 19 mars 2014 15:00

    Navré de vous décevoir, mais je ne suis pas de droite, mais libéral.


    La droite comme la gauche et tous les partis Français sont des partis de gauche et Keynésiens en économie.
    Ne sont-ils pas et ne réclament pas tous anti-libéraux ?

    Etre gauchiste c’est croire en l’interventionnisme et le dirigisme étatique.
    Vouloir mettre les gens en servitude de l’état c’est être de gauche...


  • spartacus spartacus 19 mars 2014 14:13

    En fait même si il y a une production matérielle comme certains billets ou pièces, la monnaie est en fait un consommable « immatériel » comme de la communication téléphonique.

    Peut on dire que la consommation téléphonique est « bio » ou « étique » ?

    Non la monnaie future deviendra concurentielle. Elle ne se dépréciera plus en fonction d’une intervention d’un politicien, d’un gouvernement d’une guerre ou d’une dette créé par d’autres en votre nom pour payer des privilèges a des clientèles qui votent du bon coté.

    Le risque de la faillite de l’émetteur de monnaie étant pris en charge par de la ré-assurance ou fond de garantie comme pour les assureurs.



  • spartacus spartacus 19 mars 2014 13:26

    La prise de conscience que la monnaie est une marchandise comme une autre devrait arriver avec l’augmentation de l’offre. 


    Les monnaies futures privées comme le « Bitcoin » vont être suivies. « Amazon Coins » vient seulement de démarrer. Il est a prévoir que les multinationales créent les leurs pour éviter les risques de change dans un premier temps avec leurs partenaires commerciaux et ensuite vers le particulier. Pourquoi pas des groupes de distribution type « Auchan » ou « wallmark »qui ont déjà une banque et distribuent sur plusieurs pays et devises ? Ils y auraient tout a gagner. 

    Et enfin le monde se libérerait des Keynésiens et l’offre rejoindrait la demande réelle sans l’interventionnisme de l’état dérégulateur du marché libre. Moins de chômage et l’obligation pour les politiciens de gérer en "bon père de famille et égaliser recettes et dépenses.


  • spartacus spartacus 19 mars 2014 12:56

    Ben voyons, c’est pas la faute de ceux qui prennent des « emprunts variables »...

    Comme je le dit toujours, les gauchistes sont dans l’incapacité intellectuelle d’assumer alors ils créent des coupables « factices » pour se dédouaner de leurs erreurs et des comportements qu’ils imposent aux autres par la prise de prêt alors qu’ils sont insolvables....

    La spéculation, je sais que dans l’école Marxiste de profs de gauche française on ne peut pas le dire, est un bienfait économique
    Vouloir se prémunir contre des risques en demandant plus d’État, c’est persévérer dans l’illusion et accroître les problèmes au lieu de les résoudre.
    Je vous propose d’en lire une définition de la spéculation que vous n’apprendrez pas à l’école de l’endoctrinement public phagocyté par les gauchistes. http://www.wikiberal.org/wiki/Sp%C3%A9culation
    Quand aux « taux variables », c’est bien le seul moyen pour les politiciens de gauche de bénéficier d’un profit politique au présent sur le compte du futur.

    Par contre ce qui est grave c’est le socialisme interventionnisme qui a « sauvé » des banques. Si la banque fait faillite, l’emprunteur peut dormir tranquille. Sauver la banque est « la faute ». 

    Les solutions étatiques sont des inepties. L’état n’intervient qu’en fonction des groupes de pression et des intérêts politiques, le « bien commun » n’est que l’excuse des gauchiste. 
    Ils n’ont que des idées de coercition (impôts, directivismes, contraintes, atteintes aux libertés) comme intellect de réflexion. D’une pauvreté sidérante !

    On se demande pourquoi on interdirait les taux variables. Si le risque est « assumé » et « compris ». 
    Vous imaginez qu’on interdise les verts de s’exprimer sous prétexte qu’ils ont déja dit beaucoup plus de conneries que de bon sens ?


  • spartacus spartacus 19 mars 2014 11:18

    Il y a de très grosses approximations et « non-dits » dans ce texte.


    1-Ce n’est pas « la banque » qui crée la monnaie, c’est « l’emprunteur ».

    2-La création est « temporaire » ce qui n’est jamais souligné. L’argent est « détruit lorsque l’emprunt est remboursé. Dire qu’il y a création sans évoquer la destruction de celui ci est partisan d’une manière de voire à charge le système.

    3-La banque vit de frais, d’intérêts, mais ne ponctionne jamais la dette de l’emprunteur. La dette ne lui appartient pas. Elle fournit le service de création, le service de revente de la dette, mais la création n’est jamais sa »propriété« . Son service est payé par les intérêts d’emprunt et les intérêts de placement. 

    4-La dette de l’emprunteur appartient à celui qui l’achète, pas à la banque. Celui qui est le propriétaire des dettes c’est celui qui place en FCP, livret A, assurance vie.

    En fait l’auteur confond et se trompe en créant un coupable factice »la banque« alors que le problème vient d’un monopole monétaire qui n’est pas le fait de la banque mais du monopole de l’état coercitif.

    La solution devrait arriver pour les générations suivantes avec la mise en »concurrence« des monnaies.

    Chacun choisissant la monnaie avec laquelle il veut payer. Le »Bitcoin« est à ces prémices comme le minitel était le prémice de l’internet.
    L’avenir appartiendra donc a ceux qui considèrent la monnaie comme un »élément« consommable ». Et chacun choisira de « vendre » ou « acheter » avec la monnaie qu’il souhaite. Cela se négocie avec la concurrence des monnaies d’état sur les transactions à très haut niveau. 

    Dans un futur libéral et le développement des techniques de paiement, chacun pourra choisir sa devise de paiement, monnaie privée ou publique. La concurrence stabilisera l’inflation. La valeur de ses bien ne dévaluera pas en fonction des désitératas de politiciens Keynésiens créateurs de dettes au nom de ceux qui les payent.

    Dans un futur Keynésien socialiste, il restera le statut quo, et l’état dirigiste utilisera le monopole pour crée de la monnaie de singe qui vaudra toujours de moins en moins, et les gens resterons toujours des ignares de leur rapport à la monnaie et sous servitude de politiciens manipulateur de la valeur de leur argent.

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