• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Stef

Juriste. Spécialisé dans les questions fiscales, sociales et juridiques des petites entreprises (création d’entreprise, non salariés, PME...).

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 33 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • Stef 4 septembre 2007 21:05

    C’est qu’il a du talent AB !

    Dommage qu’il soit gaché par son sujet.

    Villepin n’a vraiment pas l’intérêt qu’il prétend susciter.

    Rendez nous compte plutôt de Céline ou Houellebecq.



  • Stef 4 septembre 2007 18:31

    En voulant rouler des mécaniques devant les vrais puissants et les vrais riches qu’il envie, le grand maître de la communication que serait NS s’est peut-être pris les pieds dans le tapis.

    La dépénalisation du droit des affaires est en effet un débat technique passionnant et tout à fait légitime qui ne mérite pas l’opprobre que les propos grotesques de NS a suscité.

    Pour les techniciens du droit, la dépénalisation est une évolution de la sanction dans le but d’une meilleure efficacité.

    A l’apparition d’un fait social nuisible, on crée une sanction pénale sévère pour y mettre un coup d’arrêt. La menace de la sanction conduit le corps social à intégrer le risque et à se réguler. La sanction pénale ne devient plus nécessaire. Il est alors possible, voire nécessaire, d’adopter un mode de régulation plus adapté et efficace.

    Exemple :

    L’émission d’un chèque sans provision était, il a quelques années encore, un délit pénal passible de l’emprisonnement. Elle est désormais sanctionnée par l’interdiction bancaire et des pénalités financières. Plus récemment, on a institué des procédures de régularisation du défaut de provision sur l’initiative du contrevenant. Plus récemment encore, les pénalités ont été plafonnées (pour les chèques de moins de 50 euros). Au lieu d’encombrer les prisons de mères de famille indigentes, on a institué une régulation efficace sans supprimer l’interdiction.

    La dépénalisation bien comprise n’est ni complaisance, ni indulgence, mais le remplacement des sanctions pénales par des modes de régulation plus efficaces et moins traumatisantes.

    Le droit pénal des affaires a sans doute besoin d’une petite cure de dépénalisation. Le code de commerce est truffé de sanctions pénales et chaque année apporte son lot de nouvelles incriminations.

    De là à défendre ce projet avec des propos grotesques tels que ceux de NS au Medef, il y a un pas. Ce poujadisme caricatural a déclenché les réactions qui se font l’écho ici.

    Un défaut de communication et la réforme est plombée. Dommage.

    Ca va être dur de ramer dans l’autre sens pour Mme Dati.



  • Stef 3 septembre 2007 22:39

    C’est ce que fait Attali !

    Voir son blog sur http://www.liberationdelacroissance.fr



  • Stef 26 août 2007 15:08

    L’immobilier, c’est évident, n’est fait que de micro marchés. Les prix des villas à Cannes avec vue sur la mer ne suivent évidement pas les mêmes évolutions que ceux du F3 à Bondy.

    Je voulais continuer d’argumenter en faveur d’une baisse avérée des prix mais il fait beau et mon gamin m’appelle pour une ballade...

    De toute façon tout est dit dans le forum du site de l’auteur.



  • Stef 26 août 2007 14:58

    Ton lien vers le Sénat est invalide.

    Ici c’est mieux : http://www.senat.fr/rap/r96-52/r96-5228.html

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv