Pour moi ce n’est pas un sans-couilles mais quelqu’un qui sait très bien ce qu’il fait : trahir son pays pour des intérêts étrangers. Comme le général Pétain.
L’important est de savoir si ces néoconservateurs sont rationnels ou pas. S’il s’abusent eux-même sur la prétendue supériorité des Etats-Unis ou sur leur rôle messianique, alors ils pourront déclencher une guerre par surenchère et parce qu’ils auront perdu la raison au moment crucial.
Si en revanche, ils agissent en parfaits rationnels, en joueurs de pokers adepte du bluff, s’ils contrôlent ce qu’ils font, alors on peut espérer un compromis avec la Chine et la Russie.
Il y a le cas de figure où un acteur parfaitement rationnel joue le fou pour effrayer l’adversaire...
Il y a la guerre d’usure (chute du Rouble, vente de dollars par les Chinois, ...) qui retarde la confrontation armée...
L’armée américaine est probablement le garant ultime au déclenchement d’une guerre mondiale. Les généraux américains n’ont certainement pas de sympathie pour ces pseudo-intellectuels fascisant, raciste et adepte du choc des civilisations.
Hollande, le président-collabo ainsi que Renzi en Italie ont la main moins lourde que leurs homologues européens dans le tronçonnage de l’état-providence. C’est qu’ils savent qu’une crise révolutionnaire en France et en Italie mettraient le feu à l’Europe entière.
Mais ce n’est qu’une question de temps. Si Hollande ne finit pas le sale boulot, Le Pen ou Juppé s’en occuperont.
Les économistes libéraux n’arrête pas de nos rabâcher que le libéralisme économique est le système le plus parfait.
Un membre de la secte des libéraux peut-il alors m’expliquer pourquoi dans les pays communistes, il n’y avait pas de chômage alors que dans les démocraties occidentales, le taux de chômage réel est aux alentours des 20% ?
En réalité, la démocratie libérale est parfaite pour l’oligarchie. Le chomage pourrait être résorbé en repartissant mieux le travail, en diminuant la durée de travail hebdomadaire.
Il n’existe que pour la productivité, pour mettre la pression sur ceux qui ont un emploi et parce que Hollande, le président-collabo, veut d’abord satisfaire le Medef.