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Thomas

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Médecin hospitalier, la quarantaine. Intéressé par la géopolitique, la prévention santé et le développement durable, pionnier de la transparence et de la liberté d’expression, adversaire déclaré des DRM et des systèmes liberticides en général.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/03/2007
  • Modérateur depuis le 23/08/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Thomas Thomas 17 mars 2007 02:58

    Le dernier phénomène (les sites de conseils en drague) est plus discret mais très édifiant sur les difficultés de faire des rencontres et les solutions offertes par internet.

    J’avais commencé de rédiger quelques lignes sur ce sujet (que je connais bien) et je réalise qu’en fait de commentaire, j’avais commencé d’écrire un véritable article. Alors j’irai au bout de la démarche : guettez-le. S’il n’est pas accepté, je le posterai ici.



  • Thomas Thomas 14 mars 2007 23:47

    La démarche de l’article est intéressante mais la méthode est absente.

    Moi qui vais vraisemblablement voter Bayrou (par mépris ou méfiance de ses deux rivaux), j’aurais apprécié une analyse plus vaste du fonctionnement de l’UDF, une analyse qui aurait porté sur la situation de plusieurs municipalités ou régions, permettant de tirer des conclusions valables.

    Au lieu de cela, j’ai une situation ponctuelle, dans laquelle on sent poindre l’implication personnelle et le vécu, donc rien qui prédispose à l’objectivité. Et de cela, vous voudriez que je tire une généralité ? Désolé, la ficelle est trop grosse !

    Vous aviez l’idée pour un article intéressant... et puis rien ! Dommage !



  • Thomas Thomas 14 mars 2007 18:46

    Très bon article, bien argumenté mais sans doute trop long et trop technique pour parvenir à convaincre ceux que le titre provocateur aura d’emblée mis sur la défensive.

    En fait, en revenant aux racines du libéralisme, vous nous révélez que notre clivage gauche/droite ressemble en fait beaucoup plus au clivage américain libéral/conservateur. Soit !

    Du coup, de votre analyse, je retiens essentiellement que je ne suis pas si libéral que je le crois, ce qui m’amènera à modifier le courant dont je me revendique... mais pas mon candidat !

    Enfin, de grâce, remplacez à l’avenir ce vilain anglicisme qu’est « capabilité » et qui n’a aucun sens en français. La traduction serait « capacité » ou, mieux, « aptitude ».



  • Thomas Thomas 5 mars 2007 00:46

    234 réactions, c’est autant de mails dans la boite aux lettres de l’auteur ! Je me suis fais un devoir de lire chaque réaction (même si j’avoue avoir un peu survolé les plus longues) et je n’envie du coup pas trop les auteurs à plus grands succès.

    Beaucoup m’ont donné de nombreuses pistes ou développements auxquels j’aurais aimé avoir pensé en écrivant cet article.

    Le débat a aussi inévitablement évolué vers pour ou contre François Bayrou. L’auteur n’avait délibérément pas pris parti.

    L’objet de l’article tournait plutôt autour du sort de l’UDF et, d’autres ici l’ont exprimé mieux que moi, le risque majeur de bipolarisation de la vie politique française.

    Bien sûr, dans une élection, il y a surtout des vaincus et, pour ceux qui atteignent des scores inférieurs aux espérances, il y aura des remous dans leurs partis respectifs. Sauf que, pour François Bayrou, même s’il semble annoncé qu’il fera d’ores et déjà beaucoup mieux que son parti n’osait l’espérer, il y aura quand même des remous... mais ils viendront de l’extérieur de son parti.

    Que NS ou SR (voire les deux) perd(ent), il y aura toujours un parti de droite modérée et un parti de gauche modérée. Leurs idées, leurs programmes, leurs leaders, leur positionnement évolueront pour prendre en compte les enseignements de l’élection mais leur existence ne sera pas remise en cause. Le risque de scission sera contre-balancé par l’impossibilité de reprendre le pouvoir en étant divisé.

    En revanche, mon avis est que le sort de l’UDF est véritablement en train de se jouer dans cette élection. Si Bayrou était resté à 10%, l’UDF serait restée une composante de fait de la droite classique. Maintenant qu’il a empièté au dela de son électorat traditionnel, à la fois sur les plates-bandes du PS et de l’UMP, il s’est fait deux ennemis.

    Bien sûr, son électorat ne va pas se volatiliser aux législatives mais les candidats de son mouvements risquent fort de se heurter à des stratégies communes PS-UMP qui n’auront d’autre ambition que de les éliminer.

    S’il ne gagne pas, il risque fort de disparaître.



  • Thomas Thomas 2 mars 2007 19:02

    En lisant la totalité des commentaires et en écoutant les adversaires de Bayrou, je constate qu’on l’attaque beaucoup plus sur sa capacité à gouverner que sur son programme.

    Il faut dire que son programme n’est ni plus ni moins flou que celui des autres candidats (avec essentiellement une différence tenant au montant des promesses).

    Cela montre avant tout que ses adversaires le trouvent désormais crédible, et qu’ils n’ont guère mieux à proposer que de le menacer, lui et ses électeurs, de blocage parlementaire.

    Fabius ne fait rien d’autre en annonçant que Bayrou ne pourra s’appuyer sur le PS et il en profite pour adresser un avertissement à tous les membres du PS qui pourraient se sentir pousser des ailes. Quand on a plus que la menace comme argument...

    Finalement, ce qui actuellement concourt le plus à établir sa crédibilité, bien plus que ses idées ou sa personnalité, ... c’est le traitement que lui réserve ses adversaires !

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