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Valentius

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  • Valentius 22 juillet 2009 01:29

    Je voulais dire, avant que mon IE se plante, le conflict entre les libertariens porteurs de droits et de libertés absolues, et les « conservateurs », qui croient en la nécessité des règles, que ce soit dans le domaine sociale ou dans celui economique. Ce conflict est visible chez le PS entre ceux qui s’opposent à la loi HADOPI (entrave à la liberté de l’expression) et ceux qui la soutiennent (régulation, support de la culture et de l’exception française)



  • Valentius 22 juillet 2009 01:25

    Sylvain :

    si vous prendrez dix économistes, vous pouvez être sûr qu’ils vont trouver dix solutions différentes à la crise. Vous me permettrez donc d’attendre un peu avant de me prononcer sur la pértinence des politiques gouvernamentales, tout en vous rappelant que la France se porte beaucoup mieux que la plupart des pays de l’UE.
    Que Sarkozy « voulait instaurer » quelque chose, s’appelle, dans mon dictionnaire, un procès d’intention, et vaut difficilement comme argument pour laisser la crise de côté dans un discours sur les conséquences de cette crise.
    Troisièmement, comme je l’ai déjà dit à logan, l’idéologie libertaire dont vous parlez, et qui a notamment été portée par Greenspan, n’est ni de droite, ni de gauche, et peut se retrouver des deux côtés. Vous trouverez le conflict entre libertariens, porteurs des libertés « positives », absolues, pas plus loin que chez le PS, à l’occasion de la loi HADOPI. Quant à Sarkozy, il a clairement parlé contre le capitalisme financier, notamment dans un discours dans le sud, Aix ou Nimes, bien avant que la crise se déclenche.
    Je suis d’accord avec vous que les recettes economiques de la campagne éléctorale (dont la loi TEPA est une conséquence) ne sont plus adaptées à la nouvelle situation, dominée par la crise. Donc mon seul critère pour évaluer les mesures du gouvernement Sarkozy, sera la gestion de la crise, et surtout la façon dont la France, je l’espère, trouvera une croissance avec des créations d’emploi, bien avant les EU.



  • Valentius 22 juillet 2009 01:12

    logan :

    Il faut en effet bien distinguer les choses. On peut rentrer dans les détails, je me limiterai pour le moment à vous rappeler qu’il y a dérégulation et dérégulation. Quand la Bell (ou la SNCF, si vous préférez) profite de son monopole d’une façon défavorable pour le client (vous noterez, je n’ai pas employé le mot « consommateur »), alors il faut en finir avec le dit monopole. Quand il y a un manque effroyable de taxis à Paris, faut en décrasser le système. Ce genre de situation est facilement détéctable. Il y a de l’autre côté la dérégulation idéologique. Là aussi je vous rappelle que ses origines se trouvent dans les courantes libertariennes, qui ne sont ni de droite, ni de gauche, et qui se retrouvent des deux côtés.
    Toutes les dérégulations ne se valant pas, il faut en soutenir les bonnes et lutter contre les mauvaises. En tout cas, généraliser, est loin d’être suffisant.

    Ceci concernant la dérégulation. Par ailleurs vos arguments sont si vous me le permettez loin du sujet. Que l’Europe ait pris sa part dans les casinos financiers développés aux EU, c’est sûr. Même les allemands, fameux pour leur prudence, l’ont fait, et je pourrais vous rappeler aussi que la France se porte mieux que l’Allemagne.
    Mais encore une fois, il n’est certainement pas la faute à Sarko. Qu’il eut des tendences, ou non, c’est pas un argument pour oublier la crise ou la lui mettre sur le dos. C’est pas lui qui a conduit l’Europe dans le sillage des EU, ce n’est pas lui non plus qui a inspiré à Alan Greenspan ses politiques motivées idéologiquement (mais une philosophe nommée Ayn Rand, dont vous avez entendu parler peut être).

    Troisièmement, j’attends des arguments pour l’affirmation « cette crise aurait largement pu être évitée ». Eviter le déluge venu de l’outre-Atlantique ? Vous devez être un sacré homme politique si vous savez comment. Et pourquoi les allemands ne l’ont pas fait, eux, les prudents, les sages, qui gouvernent en union nationale, gauche et droite ?
    J’attends des arguments pour l’affirmation concernant les « cadeaux aux banquiers » , et non pour soutenir un système financier gelé. Aussi pour l’affirmation selon laquelle Sarko aurait « porté idéologiquement » les idées néoliberales, quand on sait que depuis des années il fustige le capitalisme financier et défend le capitalisme d’entrepreneurs. Ceci est oublié, pour retenir les phrases sur le pouvoir d’achat (qui, selon toutes les statistiques que vous trouverez, n’a d’ailleurs même pas baissé).

    Finalement, je ne pense pas, comme mon ami américain (de gauche) que les crises sont inévitables, naturelles, viennent et s’en vont toutes seules. Il y a certainement l’idéologie là-dedans, et les choix politiques, comme vous le dites bien, mais pas ceux de la France. 



  • Valentius 21 juillet 2009 16:54

    Si j’étais DSK, je ferais bien attention, car la moindre prétention de sa part d’une quelconque « dimension internationale » dans un contexte éléctoral sera certainement suivie par des renvois railleurs à ses mésaventures extra-conjugales, dont toutes ses capacités ainsi que le pardon de sa femme ne sauraient le protéger.



  • Valentius 21 juillet 2009 16:45

    Bonjour,
    Je suis désolé de vous le dire, mais vous partez d’une prémise (le soit-disant « bilan catastrophique ») complètement faussée par l’oubli, j’ose soupçonner involontaire (mais alors, quel oubli, ma foi !), du fait que nous nous trouvons en pleine crise économique et financière, crise dont ni le président ni ses « amis » ne sauraient être tenus résponsables.

    Il en découle que tout votre article ne ressemble à autre chose qu’une attaque de plus, dans la bonne vieille ligne de « Battre la Droite », n’importe comment, même si cela mène à la ruine de la France. Ou comme on l’appelle aujourd’hui même à gauche, « l’anti-sarkozysme primaire ». Que dire, bien originel. Chapeau, hein.


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