Les plus dangereuses sont les nymphes, les toute petites. Paraît-il qu’il n’y a aucun risque de contamination (faudrait que la tique soit déjà elle-même infectée) si on retire la tique maximum 5h après sa ballade. Il existe des petits tire-tiques en plastique. Il faut « pincer » la tique et tourner afin d’avoir la tête avec. 1/3 des morsures s’ensuivent d’une tâche rouge. Ce n’est donc pas très significatif. En revanche, quelques jours/semaines/années après, si vous avez cette maladie, vous pouvez avoir des symptômes divers, ceux de la grippe notamment. A vous de vous rappeler que vous avez mordu par une tique et prendre les traitements adéquats.
Mon beau-père a été infecté et il a fallu plusieurs mois d’examens (scanners...) pour que mon compagnon insuffle aux médecins que ça pourrait être Lyme. Les médecins prennent cette maladie à la légère ou n’y pensent jamais. Mon compagnon est allé sur des sites américains pour se renseigner et le mieux serait, si vous êtes mordu, de garder la tique une fois extraite dans une petite boîte, et l’envoyer à l’institut Pasteur si elle est infectée.
Je suis pas sûre qu’ils prennent des gants. Je suis une jeune diplômée, 25 ans, et je n’ai jamais vu de gants. Traitée comme de la m****, jamais rappelée, convoquée à passer un entretien dans une boîte, mais bien sûr, ils n’ont pas transmis mon CV au DRH, pas de nouvelles après l’entretien, convocations dans des cabinets de recrutement à 50 bornes de chez moi (allô, on a un poste pour vous, venez demain matin. Contente, je saute dans le train - pour en fait me dire "désolé, mais pas assez d’expérience (c’était marqué sur mon CV pourtant !!!!), on va juste procéder à une inscription)... Bref, au chomdu depuis septembre 2011, j’en ai vu des vertes et des pas mûres ! Je suis complètement dégoûtée du monde du travail avant même d’y avoir mis les pieds !
Une réponse, c’est une réponse. C’est une réponse type, tant mieux, on sait à quoi s’en tenir. On sait qu’on peut lâcher l’affaire et passer à autre chose. Il n’y a rien de pire que d’être dans l’attente.
Ce papier m’étonne de par votre naïveté. Je suis jeune diplômée, à la recherche de mon premier emploi. Je ne compte même plus les fois où je n’ai pas de réponse après l’envoi d’une candidature, ou même après un entretien. Des agences d’intérim vous envoient en entretien pour une boîte, vous y allez (même deux fois pour la même boîte car vous avez réussi) et finalement, plus de nouvelles du cabinet. Ils manquent de sérieux et de politesse. Nous ne sommes que des dossiers et des numéros, rien de plus.
Je suis au chômage depuis septembre, je n’ai rien fait depuis. Il faut un temps où j’étais lasse du manque de sérieux et du « foutage de gueule » de mes interlocuteurs. Ca m’a fait rire quand une fois j’ai lu sur le site Keljob.com que certains recruteurs étaient blasés car les candidats leur manquaient de respect (absence, retard, impolitesse...). Mais combien de fois ai-je été reçue en 5 minutes chrono, en retard, dans un cagibi, coupée par les coups de téléphone et déconcentrée par les bâillements incessants des DRH ?
Ne pas se décourager, c’est facile à dire. Ce qu’oublient les gens en poste, c’est que le chômage nous bouffe. On se remet en question quand on n’est pas retenu, rappelé, qu’on passe des heures à éplucher les offres, à adapter nos candidatures pour finalement être jeté à la corbeille avant même d’avoir été lu.