Décidément, si l’on en croit le raisonnement de Lymb, Asp Explorer et autres clônes de ce dernier, celui qui se trompe est celui qui a réellement étudié la question. Imaginons un explorateur, un vrai, qui irait dans un pays et qui ferait le récit de son voyage avec preuves à l’appui, eh bien c’est lui qui serait dans l’erreur face à des énergumènes qui seraient restés dans leur coin !
A l’artiste dna : Pour ce qui est des jeux de mots en espéranto, il en sera question au prochain Salon du Livre de Pau. Extrait du programme :
"L’humour verbal en esperanto
Comment peut-on jouer sur les mots, ou avec les mots, dans une langue comme l’esperanto, pourtant construite dans un souci maximal de rationalité, et produire ainsi un humour international, capable d’amuser un public esperantophone, par définition multiculturel ?
Marie-Thérèse Lloancy est l’auteur d’une thèse de doctorat : Esperanto et jeux de mots dans l’oeuvre de Raymond Schwartz (1894-1973)/ [ http://fr.wikipedia.org/wiki/Raymond_Schwartz ]/
espace animation, dimanche 25 novembre, 10 h 30."
L’auteur de ces propos, Lymb, ne doit pas être lui-même un génie puisque des gens d’une autre stature intellectuelle ont vu dans cette langue « un chef d’oeuvre de logique et de simplicité » (42 savants de l’Académie des sciences, en 1924, « une langue constuite avec intellignce » (prof. Umberto Eco, en 1994) et dans son initiateur « un génie » (Maxime Rodinson)...